Corpus De Texte: Zola, Maupassant, Flaubert: de quel(s) manière(s) les personnages principaux de ces extraits, offrent-t-ils des portraits réalistes?

Corpus de textes.

Ce corpus se compose d'extraits de récits écrits au 19e siècle. Siècle du Naturalisme avec deux romans, « Au bonheur des dames » (1883) de Emile Zola et « Bel-Ami » (1885) de Guy de Maupassant, mais aussi celui du Réalisme avec une nouvelle de Flaubert, « Une cœur simple » (1877). Il s'agira ici de démontrer de quel manière les personnages principaux de ces extraits, offrent-t-ils des portraits réaliste. Nous nous attacherons, dans un premier temps, à la description physique des personnages pour ensuite évoqué les conditions de travail extrêmement difficiles de ces 3 personnages et leur souffrance.

Ces 3 textes rassemble un registre réaliste en s'appuyant sur les description détaillés des différentes parties du corps de chacun des personnages, usées et baffouer avec le temps et les efforts fournis : le texte A s'appuie sur son visage dépourvue d'expression et son manque de vigueur  : « Son visage était maigre … plus aucun âge » (l.26/27) le texte B mets en exergue les pieds de Denise et sa grande souffrance physique, tout son travail repose sur ses appuis « elle avait les pieds...se collait à ses bas. » (l.11/15) et enfin le texte C se sert des mains de la mère Duroy « doigts usés, au membres déformés par les dures besognes » pour montrer la récurrence de ses tâche. Leurs vêtement sont aussi une preuve de pauvreté et de servitude. Félicité (texte A) : « en toute saison...infirmière d'hopital »(l.20/25) ; Denise (texte B) : « mais elle souffrit... le manque d'argent. » (l.5/8).

Nous relèverons aussi les conditions de travails de ces 3 femmes, décrite selon l'épuisement et la répétition de celui-ci, avec de nombreuses énumération dans le texte A : « elle faisait le ménage, cousait...à sa maîtresse » (l.4/7) et le texte B : « elle criait la nuit...meurtries. » (l.5/6). L'auteur peut aussi exprimer cette endurance avec des imparfaits et des adverbes de temps, insistant sur la durée de leurs besognes répétitive comme Guy de Maupassant : « ne parlait point »(l.4) « toujours triste » (l.4).

En effet leurs vêtements, leurs physiques et la dureté de leurs tâches n'est pas visible qu'a l'extérieur. On ne peux que comprendre que leurs santé moral soit entachée. Dans le texte A, Flaubert s'appuie sur une métaphore pour évoquer le comportement de Félicité : « semblait une femme en bois, fonctionnant d'une manière automatique », la tâche ménagère et les services rendu de cette femme on complètement la servante de l'intérieur. Dans le texte B et C la souffrance passe par des adjectifs et des verbes, pour indiquer la sensibilité : « une haine éveillée »(texte C, l.5) ; « les talons qui battaient la fière (l.12) ; cassaient les bras (l.3) » texte B.

Les portraits réaliste de ces femmes offrent une manière bien détailler de ceux ci pour dénoncer la condition des esclaves, leurs états et la pauvreté subit, et il est aussi évident que les auteurs démontre ce que l'homme est capable d'infliger à son prochain pour ses propre intérêts.

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