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Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?

Dissertation : Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Novembre 2023  •  Dissertation  •  785 Mots (4 Pages)  •  259 Vues

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Dès que mon ami m’a invité à ce “souper philosophique”, j’ai été directement très intriguée par la question posée; Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue? Ce célèbre neurologue Autrichien a contribué à la psychanalyse qui est généralement associé à des concepts comme la sexualité, l’inconscient et la psychanalyse elle-même, mais bien évidemment, sa perspective sur la liberté mérite aussi notre attention. Dans cet essai, je vais étudier plus spécifiquement la vision de Freud de la liberté et évaluer si, selon lui, l’homme bénéficie d’une liberté absolue. Pour commencer, je vais d’abord mettre en contexte le concept de la liberté dans la pensée freudienne, ensuite je vais caractériser sa conception, prendre position sur son point de vue et je vais finir en évaluant la pertinence de ses idées dans notre compréhension de la liberté humaine.

Le neurologue autrichien, Sigmund Freud, est le fondateur de la psychanalyse. Il a développé en plus, une perspective complexe sur la liberté, sa vision est plus située dans un contexte où il approfondit la nature humaine, en appuyant sur l’inconscient et les pulsions. Pour Freud, la liberté est un concept complexe, c’est un aspect de la psychée humaine en constante interaction avec les forces inconscientes qui la définisse. Ce psychanalyste pousse l’idée que les individus ne sont pas entièrement maîtres de leurs pensées et de leurs actions, parce que l’inconscient forme une influence puissante sur leur comportement.

Freud définit la liberté comme étant un concept complexe et absolu qui remet en question l’idée d’une liberté totale. Selon la théorie psychanalique freudienne, l’inconscient est un réservoir de désirs et de pulsions retenus qui joue un rôle important dans la formation de nos actions et de nos pensées, le “ça, surmoi et moi”. C’est ces trois systèmes qui forment notre personnalité, le “ça” correspond à nos désirs, nos pulsions, il ignore les jugements et les conséquences que nos actions peuvent porter (inconscient). Le “surmoi” qui est aussi nommé “le juge suprême” est celui qui nous raisonne et qui nous rend conscient des dangers, c’est la Loi intérieure (préconscient). Pour finir, le “moi” est évidemment la balance de ces deux systèmes, Freud l’a défini comme “une pauvre créature” qui souffre et qui subit “la menace de trois dangers, de la part du monde extérieur, de la libido du ça et de la sévérité du surmoi” 1 (conscient). De ce fait, il considère que l’homme à une limite pour pouvoir choisir et contrôler ses actions, car une partie de ce qu’il le motive échappe à sa conscience.

Selon Freud, la liberté est donc relative, elle se manifeste dans la capacité que l’individu à faire ses choix consciemment, par contre ces choix sont souvent déterminés par des forces inconscientes. Le combat entre les désirs conscients et les désirs inconscients créent des tensions, la liberté reste dans la manière dont nous gérons les conflits. Le neurologue insiste sur le fait de comprendre soi-même et résoudre ces désaccords sont cruciales pour atteindre une forme de liberté psychologique. Toutefois, cette liberté psychologique est en réalité limitée par l’inconscient, qui est cependant un élément qui détermine notre comportement.

Après

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