Le sport et l'environnement
Étude de cas : Le sport et l'environnement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sarah Micaud • 12 Juin 2023 • Étude de cas • 820 Mots (4 Pages) • 181 Vues
ORAL BAC 1 HGGSP ET SES
L’impact environnemental des grands évènements sportifs fait de plus en plus l’objet de débat public, le débat n’est pas récent mais il a trouvé de nouveaux échos dans l’actualité avec la déclaration d’acteurs écologistes pour dénoncer l’impact des évènements sur la planète.
Historiquement ce débat s’est cristallisé dans les années 1970 à l’occasion de la candidature de Denver à l’organisation des Jeux Olympiques d’hiver de1976 et se poursuit notamment pour chacun des JO.
Que ce soit pour les JO de Sotchi, la Coupe du Monde en Afrique du Sud, l’échec de la CDM au Qatar. Les organisations sportives internationales se heurtent à un sorte de « seuil d’acceptabilité sociale » ce que confirme le refus de certaines villes à organiser les Jeux Olympiques. Des progrès ont pourtant été accomplis. Des objectifs environnementaux sont fixés, allant des émissions de carbone à la maitrise de l’eau et de l’énergie en passant par la gestion des déchets, la construction d’infrastructure ou encore la promotion des transports.
Mais malgré les discours, les objectifs environnementaux sont en outre régulier mais plutôt en décalage avec les résultats.
Mais en quoi l’organisations d’évènement sportifs fait-elle polémique sur le plan écologique dans le monde ?
Les exemples des JO à la Coupe du Monde de football montrent des promesses environnementales non tenues.
Pourtant, des initiatives écologiques inspirantes arrivent de plus en plus, mais reste encore trop localisées et isolées.
J’ai choisi ces deux compétitions ont été choisies car se sont elles qui monopolise l’attention médiatique et cristallisent. Les débats autour de l’empreinte environnementale du sport. Attirant des millions de spectateurs, et réunissant plusieurs milliard de téléspectateur, elles constituent les 2 plus grands évènements sportifs mondiaux. L’argument écologique est un axe de communication des pays et villes organisatrice de grandes compétitions sportives. Certaines éditions des Jeux Olympiques finissent même par être qualifiés de catastrophes écologiques, par exemple les JO d’hiver organisés à Sotchi en 2014. La ville qui n’est pas du tout adapté a des jeux d’hiver a eu des travaux colossaux. En effet c’est plus de 400km de route, 70 ponts, 12 tunnels et 1 aéroport qui ont été construit. Les espaces vert ont été détruit pour laissé place a plus de 41 000 chambres d’hôtel.
De même pour ceux de Rio en 2016 les organisateurs n’ont pas hésité à détruire des zones naturelle pour construire des infrastructures. Les 17 jours de compétition ont généré plus de 8 millions de m cube d’eau, 17000 tonnes de déchets, 23 millions de L de combustible, 28500 avions en transit et 3,6 millions de tonnes de CO2.
Comme son homologue olympique, la Coupe du monde de football est souvent critiqué. Par exemples la 1ere édition africaine de la coupe du monde de 2010 reçoit un carton rouge écologique avec des émissions record évolué à 2,8 millions de tonne de CO2. Au Brésil en 2014 et en Russie en 2018 le débat est le même, les coupes du monde de football demeurent des évènements très polluants. Quant à l’organisation de la CDM au Qatar, ils ont du construire 12 stades climatisé en raison de la forte chaleur. Tout de même la question du transport aérien des fans reste en outre la source d’émission la plus importante, alors
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