La situation de l'allemagne entre les deux guerres

RAPPORT DE LABORATOIRE        

L’aqueduc de Montréal

Travail présenté à

Madame Fleurent

Jean-Félix Desjardins

Foyer 522

École secondaire Henri-Bourassa

Le 14 mars 2011

INTRODUCTION

Depuis la venue d’Internet, les gens sont de plus en plus aptes à en apprendre sur les maladies mentales comme par exemple la schizophrénie. De plus, les médias parlent souvent des schizophrènes sans abris et ceci ne fait qu’effrayer les gens. Le problème, c’est que les gens ne sont pas informés à ce sujet et que s’ils le sont, ils le sont très mal. La société pense que tous les schizophrènes sont des criminels et surtout, que tous les schizophrènes sont dangereux. Ceci est en lien avec l’aire d’interaction santé et formation sociale car premièrement, les maladies mentales, dont la schizophrénie touchent le volet santé et deuxièmement, les réactions de la société visàvis des malades touchent le deuxième volet soit, la formation sociale.

Mon but est d’en apprendre le plus possible sur la schizophrénie, maladie dont mon père souffrait ainsi que d’informer le plus de personnes possible afin que tout le monde sache ce qu’est la schizophrénie. En plus d’être un cheminement personnel pour en apprendre le maximum sur ce dont mon père souffrait avant de mourir, c’est aussi une quête afin d’aider les gens à devenir plus informés sur le sujet. J’aimerais que les préjugés sur les schizophrènes tombent, j’aimerais que les gens puissent aider les personnes malades dans le besoin, j’aimerais que les personnes schizophrènes se sentent acceptées et qu’elles puissent cheminer de façon adéquate et vivre leur vie le plus normalement possible. Imaginez comment ce serait si la société dans laquelle nous vivons savait tout sur la schizophrénie et que les schizophrènes pouvaient retourner vivre dans leur famille de manière normale, en étant bien contrôlé. Beaucoup de familles seraient sauvées, beaucoup de gens auraient une meilleure estime d’ellesmême et il y aurait beaucoup moins de peine, de colère, de honte, de questionnement chez les personnes atteintes ainsi que chez leur famille.

Ceci touche encore l’aire d’interaction santé et formation sociale car je traite de la maladie mentale en tant que telle ainsi que de la formation de la société à propos de cette maladie encore trop inconnue.

Pour moi, faire ce projet est une très bonne façon de me renseigner alors pour mon cheminement personnel, ce sera excellent. Mon autre objectif est de renseigner la communauté alors j’ai l’intention de distribuer, une fois terminé, mon texte dans les associations sur la schizophrénie et les maladies mentales, les groupes de discussions, les écoles, etc. Si les professeurs lisaient mon travail, ils pourraient peut-être déceler certains signes chez un étudiant. Finalement, dans ce projet, je traiterai de la description de la maladie, de son évolution ainsi que de l’impact et des conséquences de la maladie sur le malade, sur sa famille et sur la société en général. Peutêtre comprendrezvous plus l’impact de la schizophrénie.

Démarche

J’ai vraiment adoré faire ce projet car j’ai très vite progressé. Au départ, mes techniques de travail étaient un peu défaillantes. Je prenais trop mon temps, je corrigeais au fur et à mesure mon texte et ceci me faisait souvent perdre les idées que j’avais en tête. Parfois, je réécrivais une phrase cinq fois de suite. Par la suite, j’ai compris que j’étais mieux de pondre mon texte au grand complet et de faire les modifications une fois la première version terminée. Bref, j’ai aqquis une méthode de travail qui me convenait beaucoup mieux. Ce fut alors beaucoup moins long d’écrire la première version de mon texte. Je n’ai eu qu’à relire mon texte et constater ce que j’avais à changer. Une fois les modifications effectuées, j’étais très fière de mon texte. Bien sûr, l’écriture de mon texte n’a pas été la première étape de mon travail. Avant tout, lorsque j’ai su qu’il fallait faire un projet personnel, j’ai commencé à me demander quel sujet je devais choisir. C’était très vaste et je pouvais prendre n’importe quel sujet mais j’en voulais un qui me touchait vraiment. J’ai alors pensé à mon père, qui est mort de la schizophrénie, et je me suis dit que ce serait une belle opportunité pour moi d’en apprendre plus sur cette maladie. J’ai ensuite commencé à faire beaucoup de recherches. J’ai lu des tas de livres, beaucoup de site Internet, j’ai écouté une foule de documentaires sur le sujet, bref, je me suis renseigné. Par la suite, j’étais prête à commencer mon projet. Il me fallait alors des sous aspects. J’ai divisé mon texte de façon à me renseigner sur les sous aspects de la maladie qui m’intéressait le plus. En faisant ce projet, j’ai appris beaucoup de chose sur la maladie, mais aussi j’ai obtenue beaucoup de méthodes de travail que je n’hésiterais jamais à utiliser dans mes travaux futures. Je suis vraiment heureuse d’avoir réalisé ce projet. J’espère pouvoir aider beaucoup de personnes à mieux comprendre ce qu’est la schizophrénie.

1. Description de la maladie

Même si la schizophrénie n’est plus aussi taboue qu’elle l’était il y a quelques années, les gens ne connaissent pas plus ce qu’elle est. L’aire d’interaction santé et formation sociale est touchée de plein fouet. Dans ce casci, il est question de la maladie en tant que telle, ce qui concerne le volet Santé de l’aire ainsi que de l’aide que la société peut apporter, ce qui touche, le deuxième volet qu’est la formation sociale.

La schizophrénie est une maladie mentale. C’est une sorte de psychose. « Psychose délirante chronique caractérisée par un autisme, une dissociation, un délire paranoïde, et générant une perturbation du rapport au monde extérieur. »^[1] Elle peut faire son apparition sous trois formes différentes. Ces trois formes sont la schizophrénie heberpherie^[2], la schizophrénie paranoïde^[3] et la schizophrénie catatonique.^[4] Bien que ces trois sortes de schizophrénie puissent avoir des aspects différents, elles ont toutes le même provenance et leurs causes sont aussi les mêmes. Nous avons regroupé les causes en deux groupes généraux : les facteurs prédisposants et les facteurs déclenchants. Lorsqu’une personne est atteinte de cette maladie, elle passe par plusieurs phases qui sont propres à la maladie. Ces phases sont les suivantes : la phase aiguë, la phase insidieuse et la phase sémiologie d’emprunt. Parfois, les malades aggravent l’état de la maladie sans même s’en rendre compte. Par exemple, ils prennent de la drogue, ce qui cause beaucoup de dommages au niveau des neurones du cerveau, ce qui a des répercussions directes sur le développement de la schizophrénie. D’ailleurs, la consommation de drogues ferait même partie des facteurs déclenchants. Par le fait même, la citation suivante nous prouve que la consommation de drogue pendant l’adolescence peut déclancher la maladie ou l’aggravée lorsqu’elle s’est déjà présente.

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