Le mythe de l'évolution humaine
Note de Recherches : Le mythe de l'évolution humaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar florizzo06 • 11 Mai 2014 • 3 856 Mots (16 Pages) • 900 Vues
L'homme et le singe
Le mythe de l'évolution humaine ( harun yahya)
La tromperie la plus flagrante du darwinisme est l’affirmation que l’homme a évolué à partir de créatures ressemblant au singe. Cette affirmation a été imposée à la société par le biais de milliers de dessins et de modèles fictifs. Le fait est qu’il n’y a pas de preuve de l’existence de "l’homme-singe’". L’australopithèque, décrit comme le plus vieil ancêtre de l’homme, était en réalité une espèce éteinte de singes, qui n’étaient pas si différents des chimpanzés actuels. Les classifications telles que Homo erectus, que l’on place après l’australopithèque dans la lignée de l’évolution, l’homme de Neandertal et Homo sapiens archaïque, étaient toutes des races humaines.
La légende de l'évolution de l'homme
Tout comme les autres affirmations des évolutionnistes sur l'origine des formes de vie, leur affirmation sur l'origine de l'homme n'a aussi aucune base scientifique. Les découvertes montrent que " l'évolution de l'homme " est simplement une légende.
LA DIVERSITE DES SINGES
A travers l’histoire, plus de 6.000 espèces de singes ont vécu et la plupart d’entre eux ont disparu. Les fossiles de ces espèces éteintes de singes constituent une ressource riche pour les évolutionnistes. Ces derniers écrivirent le scénario de l’évolution humaine en arrangeant quelques crânes qui convenaient à leur but, dans un ordre croissant, et dispersant les crânes de quelques races humaines disparues parmi eux.
Darwin soutient dans son livre La descendance de l'homme publié en 1871, que les êtres humains et les singes descendent d'un ancêtre commun. Depuis, les partisans de Darwin ont essayé coûte que coûte de soutenir cette affirmation. Mais malgré toutes les recherches qui ont été effectuées, l'affirmation d'évolution humaine n'a pas été appuyée par une quelconque découverte scientifique concrète, particulièrement dans le domaine des fossiles.
L'homme de la rue est, dans la majorité, inconscient de ce fait, et pense que l'affirmation de l'évolution humaine est soutenue par une grande quantité de preuves fermes. La raison de cette opinion incorrecte est que le sujet est fréquemment discuté dans les médias et présenté comme une vérité prouvée. Mais de vrais spécialistes de ce sujet sont conscients que l'affirmation de l'évolution humaine n'a aucun fondement scientifique. David Pilbeam, un paléontologue de l'Université de Harvard, déclare ceci :
Ernst Mayr, l’un des défenseurs du néo-darwinisme, admet que le scénario de " l’évolution de l’homme " n’a été appuyé par aucune preuve dans le registre fossile.
Si vous ramenez un scientifique habile d'une autre discipline et lui montrez les preuves infondées que nous avons, il dirait sûrement : " Oubliez ça, ce n'est pas assez pour continuer. " (Richard E. Leacky, The Making of Mankind, Michael Joseph Limited, Londres, 1981, p. 43)
Quant à William Fix, l'auteur d'un livre important sur le thème de la paléoanthropologie, il fait ce commentaire :
Il y a plusieurs scientifiques et vulgarisateurs aujourd'hui qui ont la témérité de nous dire qu'il n'y a "pas de doute" sur l'origine de l'homme. Si seulement ils avaient la preuve.(William R Fix, The Bone Peddlers, Macmillan Publishing Company: New York, 1984, pp. 150-153)
La théorie de l'évolution, qui " manque de preuve ", fait commencer l'arbre généalogique de l'être humain avec une espèce de singe appelé australopithèque. Selon cette assertion, l'australopithèque commença à marcher debout avec le temps, son cerveau évolua, et passa par une série d'étapes pour arriver à l'état de l'homme actuel (l'Homo sapiens). Mais le registre fossile ne soutient pas ce scénario. Malgré l'affirmation de toutes sortes de formes intermédiaires, il y a une barrière infranchissable entre les restes de fossiles de l'homme et des singes. De plus, il a été révélé que les espèces qui sont dépeintes comme les ancêtres des unes et des autres sont en réalité des espèces contemporaines qui ont vécu à la même période. Ernest Mayr, l'un des plus importants partisans de la théorie de l'évolution du 20ème siècle, accepte cette vérité : " La chaîne précédant l'apparition de l'Homo sapiens est en fait perdue. "(Scientific American, décembre 1992)
LE REGISTRE FOSSILE DESAPPROUVE L’EVOLUTION
Le scénario de " l’évolution humaine " n’a pas de base dans le registre fossile tout comme les autres scénarios des évolutionnistes sur les espèces vivantes. Contrairement à la propagande étalée par les médias, il n’y a pas de preuve par les fossiles démontrant que les hommes et les singes proviennent d’un ancêtre commun.
L'australopithèque
Un fossile de crâne d’espèce d’australopithèque bosei codé en OH-5
DES DESSINS IMAGINAIRES
De tels dessins imaginaires représentant l’australopithèque marchant ont été réfutés par les dernières découvertes scientifiques.
Les créatures, appelées par les évolutionnistes australopithèques, ne sont en fait rien d'autre qu'une espèce de singe disparue.
Australopithèque signifie " singe du sud ". Appartenant à différentes catégories, toutes les espèces d'australopithèques sont des singes disparus qui ressemblent aux singes d'aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont les mêmes, ou plus petites que les chimpanzés actuels. Il y a des parties saillantes dans leurs mains et pieds qu'ils utilisent pour grimper aux arbres, comme les chimpanzés d'aujourd'hui, et leurs pieds ont des habiletés simiesques pour s'agripper aux branches. Plusieurs caractéristiques comme la proximité des yeux, les molaires pointues, la structure mandibulaire, les longs bras, et les jambes courtes, sont des preuves que ces créatures ne sont pas différentes
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