PAYSANNERIE EN FRANCE XIVe SIECLE

SOMMAIRE

INTRODUCTION

1. DE LA JACQUERIE A LA REVOLUTION PAYSANNE EN ANGLETERRE : DES ORIGINES IDENTIQUES

1. JACQUERIE ET REVOLUTION PAYSANNE : DES SCENES ET DES ACTIONS HURLEES VOIRE AGITEES DES CRISES

1. DEUX CRISES A DES RETOMBEES MITIGEES

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’histoire de l’humanité s’est faite par une succession de guerre en guerre. Celle-ci fait la particularité des civilisations, des peuples et même des individus tant dans un souci de conquête territoriale que dans la question d’une acquisition de sa liberté, s’effectuant dans le temps et dans l’espace. Lesquelles crises étant à l’origine de maints mouvements protestionnistes qui sévit profondément l’Europe, en effet, l’Europe médiévale devient l’espace privilégié des tous conflits au fil du temps dans les Puissances, les Royaumes, les Villes et aussi les Campagnes etc. De là, les imperfections naissent dans tous les systèmes sociaux existants pendant cette époque. Dans cette optique, plusieurs couches sociales en souffrent qu’elles que soient leur statut, Roi ou peuple, bourgeois ou prolétaire, homme libre ou esclave. N’est-ce pas ce qui contribue à certaines révolutions en Europe telle la révolution des paysans Français ou communément appelée la Jacquerie, la révolution paysanne en Angleterre etc. Ainsi, comprenons par Jacquerie la réaction de certains paysans Français face à une oppression des Seigneurs vis-à-vis de leur condition de vie désagréable ce dans les années 1358, et s’ensuit, la révolution paysanne Anglaise d’où les paysans montrent leur désolation face à un système réprimander dans la période 1381. Lesquelles révolutions feront l’objet de notre exposé. De ce vaste constat, la problématique à suivre est la suivante : quelles sont les origines de la naissance de la Jacquerie ? Comment, se manifestent les deux révolutions ? Et, quelles en sont les retombées ? Pour mieux cerner cette problématique, il sera judicieux de remarquer d’abord de la Jacquerie en France à la révolution paysanne en Angleterre, des crises presque identiques, ensuite de voir des scènes et des actions hurlées voire agitées s’agissant de la Jacquerie et de la révolution paysanne et enfin de constater des retombées mitigées des deux révolutions.

1. DE LA JACQUERIE EN France A LA REVOLUTION PAYSANNE EN ANGLETERRE : DES ORIGINES PRESQUE IDENTIQUES

Dans cette partie, nous allons comment la Jacquerie en France et la révolution paysanne en Angleterre ont vu le jour ou encore ont existé dans l’histoire de l’Europe. En effet, les révolutions s’inscrivent dans une où le continent Européens était confronté à plusieurs crises rendant la vie quotidienne de l’époque très difficile à assimiler. Ce continent étant piler par la famine, la peste noire chose nécessitant la faillite des possessions, des domaines des Rois ou Seigneurs d’avec peu de production disponible. Cependant, ceux-ci vont avoir des pratiques repressionnistes vis-à-vis de leur peuple notamment les paysans. A cet effet, nous étudierons d’une part come origine des deux révolutions l’impôt dans ce système troublé, et, de l’autre l’accumulation de l’indignation affligée aux paysans.

1. L’impôt, raison phare des crises

La Jacquerie est sous la pousse d’une Europe remplie de maux visibles dans tous les compartiments de son espace vital. En effet, d’avec l’avènement de la Guerre de Cent Ans les Seigneurs ne maitrisent plus l’évolution de leur économique qui fonce dans la déroute. Cependant, pour combler ce manquement, il suffira de voir tout prêt afin d’obtenir des solutions immédiates. Les paysans étant pris comme une des solutions discutées par ceux-ci. Laquelle solution est l’augmentation de l’impôt des paysans sur les différentes productions afin d’augmenter leur revenue financière. Cette attitude des dignitaires attriste les paysans d’où leur proclamation à un équilibre financier dans les espaces ruraux.

Par ailleurs, l’Angleterre par la révolution paysanne en 1381 témoigne à peu prêt la même attitude des Seigneurs eu égards de l’utilisation abusive de l’impôt pour améliorer la condition économique à laquelle ne font face. Dans cette optique, ils vont exagérer les impôts sur l’exploitation paysanne. Ce qui ne va d’avec des mécontentements. Ce qui se justifie ce, à travers les déclarations suivantes : cet impôt est un impôt par tête, chacun payant en fonction de son rang dans la société. Chose représentation un accroissement de 2/3 de la fiscalité normale de 1379 à 1381. Telle situation peut sembler la cause maitresse des révolutions. Cependant, le paysan sera indigné.

1. L’indignation paysanne

La Jacquerie toute la révolution paysanne d’avec l’apport négatif des Seigneurs vis-à-vis de la condition paysanne qu’est mise dans l’oubliette. Les Seigneurs ne pensant qu’a leur développement personnel. De ce fait, l’homme rural va pousser un cri d’indignation. Pour lui, il inconcevable de payer un impôt dépassant son rendement agricole et économique. Car, il ne peut rester dans l’obscurité après tous ses travaux réalisés. Celui-ci va lutter pour s’acquitter des dettes qu’il a auprès des Seigneurs. D’où, nous allons constater des manifestations.

Outre des origines des révolutions, nous pouvons assister à des manifestations répressives.

1. JACQUERIE EN FRANCE ET REVOLUTION PAYSANNE EN ANGLETERRE : DES SCENES ET ACTIONS HURLEES VOIRE AGITEES

Ici, entendons par scènes et actions les manifestations qui se sont déroulées dans ces espaces, milieux ruraux. De ce fait, ces révolutions n’ont laissé personne en marge de cet évènement qui prévalait toute l’Europe. Les paysans insistant sur l’amélioration de leur condition de vie par des revendications successives usant de la violence. Nous ne manquerons de réponse immédiate des Seigneurs par la répression. De là, il faut noter d’abord l’attitude des paysans pendant ces conflits, et, par ailleurs montrer la réplique Seigneuriale.

1. L’attitude paysanne dans ces crises

Les paysans dans les deux révolutions vont constater la pratique ignoble des Seigneurs eu égards de l’instauration des impôts dont ils savent bien que ces derniers c’est-à-dire les paysans ne peuvent payer. Laquelle contestation s’ensuit d’avec l’idée de Jacques ou encore la Jacquerie qui va prendre corps et âme dans cette lutte répétitive.

Outre cela, il apparaît que si la masse des révoltés est formée des paysans de toutes conditions, les chefs se recrutent chez les commerçants, les prêtres (beaucoup proviennent de famille paysanne), les paysans aisés (les laboureurs). Parmi eux se détache Guillaume Carle (ou Calle), qui est issu d'une famille de laboureurs et a été soldat. Il n'y a pas d'armée proprement dite, mais des bandes d'insurgés regroupant quelques centaines de personnes. Comme dans toute révolte paysanne, les insurgés s'en prennent aux symboles de la société nobiliaire. Les châteaux sont attaqués, les familles des chevaliers sont massacrées. Les nobles se réfugient dans les villes qui à l'abri de leurs murailles sont beaucoup plus faciles à défendre. Cependant les villes de Meaux et de Senlis apportèrent leur soutien aux révoltés. On rapporte peu de faits contre les biens de l'Église catholique, quelques prêtres ou moines furent un peu bousculés.  De là, il faut s’entendre à la réplique Seigneuriale.

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