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LES INDEPENDENCES ENTRE MYTHES ET REALITES

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Par   •  10 Avril 2016  •  Dissertation  •  1 707 Mots (7 Pages)  •  931 Vues

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SIMON BOLIVAR

LES INDEPENDENCES ENTRE MYTHES ET REALITES

Amo la libertad de la América más que mi gloria propia, y para conseguirla no he ahorrado sacrificios. <>  (Carta al Presidente del Gobierno General de Nueva Granada, 27 de mayo de 1815) SIMON BOLIVAR.

C’est l’année 1501 le rois Charles V d’Espagne ordene à travers une Real cedula l’extermination de Plus de 100 MILLION d’indigènes dans leur propre continent, et autres n’étant pas indigènes ont été menait du continent africain pour être esclaves et traités comme des animaux par le maitre blanc.

300 Ans ont passé pour que naisse un homme capable de faire ébranler les monarchies européennes qui ont massacré et détruit toute une population, une culture, des puissances qui ont pris le plus intimes de nos femmes, nos sœurs, nos mères et de la terre mère. Le 24 Juliet de 1783 né à Caracas Venezuela Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios issu de l’une de première famille qui ont été présente au Venezuela après la colonisation espagnole, Bolivar appartient donc à l’Elite créole ayant dans sa famille hautes personnalités de la vie économique et religieuse du pays.

Dans sa longue trajectoire la famille Bolivar a obtenu diverses fonctions et distinctions comme celles de Régisseur, sous-lieutenant du Roi, ainsi qu’ils ont demandé des titres de noblesse comme celui de marquis de Bolívar et vicomte de Cocorote, ce dernier étant associé à la cession des riches mines de cuivre de Cocorote et de la seigneurie d'Aroa.

Simon, que sa mère ne peut allaiter, se voit confier à une nourrice noire, la negra Hipolita, une des esclaves de la famille. Celle-ci fait plus que de nourrir Simon, elle s'en occupe comme si c'était son propre enfant, et surtout à la mort de son père Juan Vicente de Bolívar y Ponte Andrade en 1786 quand Bolivar n’a que deux ans. Simon Bolivar gardera toujours dans son cœur beaucoup de tendresse pour Hipolita. Peu du temps après Bolivar deviens orphelin le 6 Julliet de 1792 avec la mort de sa mere María de la Concepción Palacios y Blanco moment où son grand-père maternel, don Feliciano Palacios y Sojo, devient son tuteur ayant a peine 9 ans. Simon a eu une enfance très turbulente car après la mort de son grand père il vit sous la tutelle de son oncle Carlos Palacios qui ne lui donne la moindre importance, donc Bolivar à l’âge de 12 ans décide de partir chez sa sœur, Bolivar rebelle depuis toujours se promène dans les rues de Caracas avec des gamins qui ne sont pas de son rang. La famille décide donc de l’inscrire dans l’école publique et laisser sa tutelle à son maitre Simon Rodriguez grand penseur libéral, un homme original et progressiste, dont les idées pédagogiques et sociales auront beaucoup d'influence sur un jeune au caractère encore très malléable.

Idem à son maitre Bolivar est admirateur de Rousseau et autres philosophes français comme voltaire et son favorite Montesquieu, sa jeunesse a était aussi très marqué par l’Émile. C’est grâce à ces illustres hommes que Bolivar va s’en marquer sur les idéaux qui lui feront bouleverser l’Amérique a part entier. Alors je me demande :

Dans quelle mesure le projet de l’Amérique libre de Bolivar était en concordance avec ses idéaux politiques

  1. Simon Bolivar en Europe

Son maitre Simon Rodriguez decide de partir en europe laissant à Bolivar dans une ecole


En 1799, il voyage pour la première fois en Espagne, visitant au passage Veracruz et Mexico, faisant une courte escale à La Havane. A Madrid, il est entouré par ses oncles Esteban et Pedro Palacios, ainsi que par le Marquis de Ustariz qui devient son maître. Simon approfondit ses connaissances littéraires et scientifiques et, comme tout homme du monde qui se respecte, il perfectionne son escrime et sa façon de danser.
Il fréquente de nombreux salons où ont le remarque, à la fois pour son élégance et son intelligence.

Rapidement, il fait la connaissance de María Teresa Rodríguez del Toro y Alaiza, une jeune espagnole dont il tombe amoureux. Il pense immédiatement à fonder une famille, avoir une descendance et revenir au Venezuela pour profiter de ses biens. Mais son oncle, pense que c'est un peu précipité et lui conseille de voyager quelque temps. Il sera temps de penser au mariage un peu plus tard.
Au printemps 1801, il voyage à Bilbao où il séjourne le reste de l'année. Puis il se rend en France, A Paris et Amiens. Le pays, sa culture, les gens l'enchantent. Au mois de mai 1802, il est de nouveau à Madrid où il se marie, le 26, avec María Teresa. Les deux jeunes époux voyagent au Venezuela, passent de moments heureux jusqu'en janvier 1803, date à laquelle meurt María Teresa.

Dans une lettre adressée à un ami qui vit en France, Bolivar exprime ses sentiments après la mort de son épouse:
"Je l'ai perdue; et avec elle la vie de douceur qui réjouissait ma tendre poitrine... La douleur ne me laisse pas un seul instant d'apaisement". C'est une émotion profonde et sincère, exprimée avec beaucoup de romantisme.
Le jeune veuf repart en Europe à la fin de cette même année, passe par Cadix et Madrid, et s'installe à Paris au printemps 1804.

A Paris, Bolivar mène une vie sociale très intense, tout en profitant des plaisirs qu'offre la capitale française. Il a des amours furtives avec une dame française, Fanny Du Villars, dont il fréquente les salons, dans lesquels viennent des hommes politiques, des militaires, des diplomates, des scientifiques, des marchands et de jolies femmes.
Il lit beaucoup, assiste à des conférences et observe avec sagacité les événements politiques et militaires qui sont en train de changer le monde. C'est l'époque, en 1804, où Napoléon est couronné Empereur. Ceci impressionne beaucoup Bolivar qui admire le génie militaire de Bonaparte, mais il critique sa montée sur le trône impérial.
Au cours de ses conversations avec les savants Humboldt et Bonpland, Bolivar commence à aborder le sujet de l'indépendance de l'Amérique du Sud.

En France, il retrouve son maître et ami Simon Rodriguez. La même passion du savoir les anime. Ensemble ils voyagent en Italie, en 1805. A Rome, au mois d'août, ils font l'ascension du Mont Sacré où Bolivar, d'un ton solennel, jure de jamais laisser son âme en repos ni son bras tant que l'Amérique Hispanophone ne sera pas libre de la domination espagnole. C'est un beau geste romantique, mais cela ne sera pas seulement un geste... Il sera le Libertador, celui qui promet et qui tient ses promesses.

Après avoir visité Naples, Bolivar revient à Paris au début de l'année 1806, et il intègre pour un temps les loges maçonniques. A la fin de cette année là, il embarque à Hambourg à bord d'un navire qui le conduit à Charleston, en janvier 1807. Il parcourt une partie des
Etats Unis et revient au Venezuela vers le milieu de l'année.
Pendant son séjour dans la République du Nord, il prend conscience de ce que représente la "Liberté rationnelle".
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