En quoi peut-on dire que les documents, présenté et replacé, témoignent des conditions de vies et de l'état d'esprit des combattants pendant la Première Guerre Mondiale ?
Analyse sectorielle : En quoi peut-on dire que les documents, présenté et replacé, témoignent des conditions de vies et de l'état d'esprit des combattants pendant la Première Guerre Mondiale ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Matt1797342391 • 9 Janvier 2018 • Analyse sectorielle • 579 Mots (3 Pages) • 1 073 Vues
La Première Guerre Mondiale débute en 1914, opposant la Triple Entente contre la Triple Alliance, cette guerre prendra fin en 1918. Dans cette situation, nous avons deux documents, le premier est un texte, Le témoignage d'un poilu, et le deuxième est un article de journal, La bataille de Verdun vue par un Journal en 1916.
En quoi peut-on dire que les documents, présenté et replacé, témoignent des conditions de vies et de l'état d'esprit des combattants pendant la Première Guerre Mondiale ?
Le témoignage, est une lettre de Joseph Deschanet destiné à son frère Henri, le 15 Février 1915, ce texte est tiré de Lettres de poilus, cette lettre expliqué la dureté dans les tranchées, qu'elles soient physiques ou mentales.
L'article de journal est parue dans J'ai vu…, le 11 Mars 1916, l'illustration montre une tranchée alliée de la bataille de Verdun, et surtout un héro de guerre, car il a abattu 60 allemands, avec un article sur ce soldat et un autre sur une semaine de guerre.
Les conditions de vies dans les tranchées sont dantesques, le jour, il est impossible de bouger, il faut attendre la nuit, car les balles allemandes sillonnent les plaines, pour rentré dans les tranchées, en suivant les boyaux. Dans ces boyaux, « c'est une boue infecte, épouvantable, inouïe », souvent il faut souvent « l'aide d'un camarade pour s'en tirer » car la boue arrive « jusqu'aux genoux », c'est un parcours du combattant pour arriver dans les tranchées, c'est une ou plusieurs « heures d'efforts, de glissades, de chutes, de bains de pieds ». Dans les tranchées, il faut « se courber, se cacher », car les balles ennemis sont partout. Les soldats passent la nuit « couverts de boue, les pieds plein d'eau, sous la pluie, la neige, la gelée », ce sont des conditions mortels, le froid peut tuer les soldats dans leur sommeil, les soldats sont empilés, on ne sait pas si ils sont morts ou vivant, si ils se sont éteins ou endormis, et il y en a d'autres qui tiennent la position, qui est le rôle principale d'une tranchée, sous le feu de l'ennemi.
L'état d'esprit des soldats est apeurant, affolant, ils fument « cigarette sur cigarette », ils boivent « de l'alcool et encore de l'alcool, pour se réchauffer et s'abrutir », les cigarettes et l'alcool permettent aux soldats de tenir le coups, d'oublier pendant un certain temps la guerre qui les entoure. Mais quand un « petit bruit sourd, bien connu » retentit dans le ciel, chaque soldats se lève « avec frayeur », c'est la peur qui sonne à la porte et des cries gisent, « une bombe ! La voila ! Gare ! Gare ! La bombe ! », quand un obus arrive, la folie des soldats revient immédiatement, quand il atterrit, « des hommes sont lancés à 40 mètres de là », la plupart du temps ce sont « des débris d'hommes », ils sont « enterrés vivants », c'est « horrible ». Et quand ils ne sont pas touchés, ils deviennent « fous », « sourds »… Le bruit de la guerre les envahisse par la folie.
Mais, il y ales lettres qui permettent de conserver des liens, un soldat dit qu'il est « heureux de t'écrire », pour une lettre destinée à
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