Initiation à l’histoire de la civilisation occidentale
Analyse sectorielle : Initiation à l’histoire de la civilisation occidentale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elliot laplante-nadeau • 6 Octobre 2021 • Analyse sectorielle • 1 520 Mots (7 Pages) • 477 Vues
Elliot Laplante Nadeau
Initiation à l’histoire de la civilisation occidentale
330-910-RE gr.15
Travail de recherche
Le Titanic
Travail présenté à
Mme Catherine Ouellet-Fortin
Département d'Histoire
Cégep Limoilou
Le 20 novembre 2020
le naufrage du Titanic
Le Titanic est un paquebot transatlantique de la White Star Line. Il tient son nom des Titans de la mythologie grec, dû à sa robustesse, son luxe et ça grandeur. (Mcnicholl, M., 2013, paragr.1) Celui-ci a été construit en 1909. Ça première fois à avoir été sur mer était le 31 mai 1911. Le gigantesque bateau, long de 269 mètres, avec une hauteur de 30 mètres et une largeur de 29 mètres, était le plus grand paquebot encore jamais crée à cette époque. (Gautier, Y., s.d., paragr.1) Le premier trajet du navire c’est déroulé le 10 avril 1912, en Angleterre, il se dirigeait vers New York avec 2201 personnes à bord. Il a dû faire quelque escale pour aller chercher des passagers venant de France et d’Irlande. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) Le bateau a été créé de façon révolutionnaire avec une coque à double fond et plusieurs compartiments étanches, qui rendaient le Titanic impossible à couler.
Le soir du 14 avril, le cinquième jour de son inauguration, le Titanic navigue sur l’océan atlantique à 600 kilomètres de Terre-Neuve dans une zone d’iceberg. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) À 23 heures 40, des membres de l’équipages aperçoivent qu’ils sont en direction d’un énorme iceberg. (Parmentier, R., 2014, p.5) Malgré la rapidité et l’efficacité auxquels l’équipage a réagis face à cette situation périlleuse, le navire heurta l’énorme iceberg qui racla sur environ 100 mètres la coque du navire. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) L’iceberg ne laissa pas le bateau intact. Avec une énorme fissure dans la coque, le bateau se remplissait à une vitesse incroyable d’eau. (Parmentier, R., 2014, p.6) Les compartiments qui étaient supposés entre étanches, afin de limiter l’accès à l’eau, n’étaient pas aussi étanches qu’ils le croyaient. L’eau a réussi à s’infiltrer dans tous les compartiments ce qui a causé un déséquilibre du navire et il a commencé à canter de manière vertical. Le navire était supposé pouvoir résister à quatre compartiment remplie d’eau. Le problème était que cinq compartiments se remplissait d’eau. L’architecte du navire était donc en train de réaliser la catastrophe qui allait se produire. Il annonça donc la nouvelle au commandant Thomas Andrew que le navire qu’il croyait insubmersible était en train de couler et qu’il restait une heure et demie ou deux avant que le bateau finisse dans le fond de l’océan atlantique. (Parmentier, R., 2014, p.20) La peur et la panique régna sur le bateau. Les 2201 personnes étaient en état de panique, car ils étaient en train de réaliser que le bateau était en train de couler. La peur de mourir les hantais toute et tous. Le Titanic qu’on leur avait présenté comme un bateau révolutionnaire qui pouvait résister à toute sorte de périples était en train de démontrer le contraire. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) Le navire possédait seulement vingt canots de sauvetage pouvant accueillir 1200 personnes, sois 60 par canot. Vous comprendrez donc que le nombre de canot versus le nombre de passager était irréel. Il aurait été impossible de sauver la totalité des gens présent sur le bateau. Il fallut 1 heure 40 aux secours avant d’arriver. L’opérateur qui était en charge des communications à Cape race, entendait des signaux anodins pendant une bonne période de temps. Jusqu’à ce qu’il reçoive des signaux de détresse, soit CQD pour : « Corne Quickly Danger ». (Broderick, C., paragr.4) Il a ensuite prévenu plusieurs villes comme celles de New York, Montréal et Southampton, dans le but de venir en aide aux personnes abord du bateau. (Broderick, C., paragr.5) Les procédures d’évacuations déficientes qui n’avaient pas été misent au point, ont créés de gros problèmes l’heure venu. (Mcnicholl, M., 2013, paragr.1) Ce manque de planification de la part des créateurs du bateau a créé un désastre, lors de l’évacuation d’urgence. Les passagers se disputaient et se bousculaient pour avoir une place assurée dans les canots de sauvetage. Les membres de l’équipage devaient gérer cette crise sous la pression des passagers de la haute société qui voulait survivre. L’équipage a donc décidé de prioriser les enfants et les femmes d’abord. (Parmentier, R., 2014, paragr.3) Les premières embarcations de sauvetage étaient à moitié remplis. Cela s’est produit à cause du manque d’organisation de la part de l’équipage, qui n’était pas préparé à ce genre d’urgence. De nombreuses vies auraient pu être épargner si la gestion de l’équipage du navire avait établi des plans de secours rapide et efficace. Le bateau commençait à couler de plus en plus jusqu’à ce que, le 15 avril vers 2h20 du matin, les chaudières du navire explosent. Le bateau se dressa au vertical et se brisa en deux. Il subit une pression, qui l’engloutis dans le fond de l’océan atlantique à plus de 3800 mètres de profondeur. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) Parmi les victimes de l’incident, il y a eu au total 52 enfants, 109 femmes et 1329 hommes qui y ont laissé leurs vies. La dernière survivante du drame, qui était aussi la plus jeune, est décédée le 31 mai 2009, nommé Elizabeth Gladys Dean. (Gautier, Y., s.d., paragr.2) Au moment de l’incident, le capitaine a fait preuve de bravoure, il c’était faite offrir une place dans l’équipe de sauvetage, mais a préféré laisser sa place à d’autres gens. Selon lui, un capitaine devrait toujours être le dernier à être secouru. Aussi appelé le vétéran des mers, Edward John Smith est resté dans la mémoire des gens pour son sacrifice de grande ampleur. (Parmentier, R., 2014, p.11)
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