Les différentes réponses à la crise dans le monde 1930 à 1938

« Les différentes réponses à la crise dans le monde 1930 à 1938 »

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        Tout commence à New York, la ville prospère devient le point de départ d’une vague de dépression mondial. L’effondrement a lieu le 24 octobre 1929, la bourse américaine chute entrainant avec elle le reste du monde. Les actionnaires craignant que leurs actions perdent de la valeur, ils décident alors de les vendre. 13 millions de titre se trouvent sur les marchés provoquants une chute de leur valeur. Nous sommes dans une période fragile, la première guerre mondiale vient de finir, l’Europe est encore dans une situation de fragilités économique, et la deuxième guerre mondiale s’apprête à débuter. Nous pouvons ainsi nous demander quelles sont les différentes solutions réponses à la crise éco, social et politique dans le monde dans les années 1930 à 1938. Le krach boursier provoque une dépression économique avec des conséquences et des réponses sont différentes selon les pays, la France va mettre en place des lois, des accords particuliers et les Etats-Unis mettre en place des mesures singulier. D’autre vous totalement changer, ils vont subir une émergence d’un tout nouveaux régimes politiques, autoritaire.

           La crise est la cause de différentes choses qui ont eu lieu bien avant le krach. La crise entraine une dépression. La dépression est un phénomène de longue durée marqué par la réduction de l’activité économique entraine une baisse de la demande, de la production et des revenus et une montée du chômage. La crise de 1929, partie des États-Unis, se diffusera dans le monde entier sous la forme d’une grande dépression généralisée. La croissance économique américaine diminue depuis le début des années 1929. Les résultats des entreprises se dégradent, la production automobile baisse ainsi que les revenus agricoles…On emprunte encore pour acheter des titres en bourse autoriser depuis 1926 aux Etats-Unis. La surproduction agricole et industrielle, le déséquilibre budgétaire et monétaire, le dérèglement de la spéculation boursière et la formation d’une bulle spéculative., le fort recours au crédit sont les déclencheurs de cette crise. Le conflit touche de plein fouet l’Europe, les banques américaines réclamant le remboursement immédiat des prêts consentis pour la reconstruction d’après la première guerre. Seule la France semble, dans un premier temps, épargné. Les Etats-Unis arrêtent leurs échanges commerciaux avec les autres pays et le retrait de leurs capitaux dans les banques européenne (surtout allemandes et autrichiennes). Entrainant la faillite de grandes et entreprise qui vont ainsi en réponse de cela diminuer leur effectives et le prêt d’argent. Par effets dominos plusieurs pays vont subir la crise par exemple l’Angleterre qui va dévaluer sa monnaie livre (-30%). Les conséquences sont tout d’abord économique par exemple la production d’automobile chute de 6 millions en 1929 à 2 millions en 1932. Plusieurs secteurs vous être fortement touchés a part celui de la chimie et de l’alimentaire. La crise va être aussi sociale avec un chômage de masse par exemple 17% population allemande au chômage et la misère, la famine va s’imposer dans certains pays comme le Royaume-Unis. Les conséquences vont être politique aussi avec des pays, des gouvernements changeant complètement, d’autre avec des mouvement populaire, voir autoritaire ce développant et cela fragilise l’ancien régime, la prospérité du pays.

La France et les Etats-Unis sont dans ce cas de bouleversement politique et surtout économique. En France on constate une montée des ligues d’extrêmes droite qui sont des mouvements reposant sur le populisme de plus en plus présent. A cette époque la France était une démocratie, la montée de ces ligues étaient une menace étant données quelles sont antiparlementaire et anti-démocratique. Un nouveau gouvernement se présente devant a la chambre des députés le 6 février 1934. Ce gouvernement était mené par Daladier. Il va révoquer le préfet de police puisqu’il était trop favorable aux ligues. Provoquant les ligues qui décident de manifester ce jour-là, ils menacent d’envahir la chambre des députés. De violents affrontements ont eu lieu (1500 blessés). Quelques jours plus tard des grèves générales ont lieu le 12 février, les français ont peur de la menace fasciste. Lors de celle-ci les communistes et les socialistes vont fraterniser. En juillet 1935, les communistes, les socialistes et les radicaux s’allient pour pouvoir remporter élections de 1936. Ils créent un programme un électorale, c’est la naissance du Font populaire avec le slogan « le pain, la paix, la liberté ». Ils réussissent à remporter les élections d’avril 1936 et c’est Leon Blum qui préside le conseil. Leur élection suscite un espoir qui conduit plus de 2,5 millions d’ouvrier à se mettre en grève. Leon Blum convoque alors le patronal, le monde ouvrier (CGT) pour trouver un accord. C’est la signature des accords de Matignon le 8 juin 1936. Cet accord met en place le contrat collectif de travail, la création des syndicats et le droit d’adhérer, d’appartenir a celle-ci, des délégués représentant les ouvriers auprès de la direction les réclamations individuelles, le droit de grève sans aucune sanction. Un peu plus tard sont votés les lois sociales du 20 juin 1936. On va y retrouver me congé annuel payée d’une durée de 15 jour, la mise en place 40h de travail par semaine et l’augmentation des salaires variant de 7% à 15% selon les régions. Après la signature de cet accord, il eu des grèves massives dans plusieurs établissement, les grèves joyeuses, fin en aout 1936. Néanmoins différentes difficultés surgissent face à ces solutions. Le chômage est toujours la et le gouvernement doit faire face à de nombreuses difficultés économiques. Mais aussi politique, le gouvernement doit faire face aux attaques calomnieuses de l’extrême droite. Face à ces échecs, Blum décide de dissoudre son gouvernement et de démissionner en juin 1937.

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