La relation du chien et les amérindiens Nouvelle France

En 600 mots, cernez la thèse principale de l’auteur et rédigez dans vos propres mots les éléments clefs de sa démonstration. Vous n’avez à formuler ni de commentaire critique ni d’opinion pour ce travail. Il s’agit essentiellement de décortiquer un texte et d’en rendre compte.

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Compte rendu d’un article scientifique

« Vos chiens ont plus d’esprit que les nôtres. Histoire des chiens dans la rencontre des Français et des Amérindiens », Denys Delâge

La thèse principale de l’auteur est en résumé l’utilité et les façons de faire des amérindiens principalement d’Amérique du nord avec leurs chiens.

L’utilité pour la chasse, pour le transport, pour leur rôle joué dans la salubrité, leur rôle même en étant consommé comme viande à certains moments. La grande proximité entre les chiens et leurs *familles* vivant toujours près ou autour des petits villages formés autant par les sédentaires que les campements des indiens nomades.

En somme d’animaux domestiques en Amérique du nord le chien étant le principal et pratiquement le seul à l’arrivée des français. Les français en observeront donc les rôles et services que le chien rend à son clan.

De plus notons que les français transportant avec eux leurs rats et leurs puces sèmeront des nouvelles bactéries qui créeront des maladies importantes chez les tribus amérindiennes n’ayant jamais été en contact avec ces bactéries. Ces maladies dissémineront la population indienne pendant un temps.

Pour en revenir à l’importance des chiens, elle sera nommée et observée autant chez les tribus du nord que du sud. Notamment pour le transport de marchandises les chiens sont attelés en nombre de 6 ou plus et permettent ainsi de facilité les déplacements chez les tribus nomades.

Autant pour la chasse, les chiens débusquent et traquent le gibier rendant également dans ce rôle un grand service.  Les français d’ailleurs notent que leur efficacité est aussi grande que les chiens de chasse de l’europe.

Le chien joue également le rôle de gardien, avertissant et protégeant son clan. Toujours installé autour de celui-ci il devient donc *le guetteur* en chef afin de protéger. Les indiens auront ainsi su profiter et domestiqué le chien en lui conservant ses capacités naturelles. Le chien étant également souvent dépendant pour la nourriture une fois domestiqué, celui-ci profite donc autant de cette proximité.

Le chien augmente la force des clans et permet à l’indien d’Avoir un *outil* qui lui donnera sentiment de force.

Pour les missionnaires ayant partagé la vie des amérindiens, la promiscuité de l’existence au quotidien entre chiens et *sauvages* les surprend et leur laisse dire qu’au niveau salubrité cette présence continue des chiens dans les cabanes leur fait parler de * pauvreté, de saleté, de lubricité*.

Les missionnaires  vont faire état dans leurs notes de cette réalité, et pour plusieurs il est difficile de comprendre et de vivre cet état.

Il en résulte toutefois de leur réflexion la grande importance des chiens pour les amérindiens et soulignent également les relations affectives entre enfants et petits chiots. Les amérindiens à leur façon s’occupent bien de leurs chiens, de façon différente évidemment de la réalité de la France de cet époque mais pas pour autant négative puisque les chiens demeureront pendant très longtemps partie de la famille, de son lieu, de son quotidien. Il aura joué un grand rôle dans leur survie et qualité de vie leur permettant de faire face aux conditions souvent difficiles de leur réalité surtout dans le grand nord. Une *mutuelle dépendance* rend l’existence pour les deux parties plus douces.

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