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L'arrière de la grande guerre

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Par   •  15 Janvier 2018  •  Cours  •  1 343 Mots (6 Pages)  •  542 Vues

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L’Arrière

L’arrière n’est pas un espace de sureté mais aussi un front.

La guerre est une permanence de flux entre le front et l’arrière : propagande, ravitaillement, les amours, le découragement etc.

En quoi l’arrière est un des espaces de la guerre totale ?

I-L ’arrière mobilisée

  1. Question de l’évolution des institutions

Les institutions sont suspendues dès le 4 aout 14, les élections sont reportées, dépossédé de leur pvr. 2 lois : 4 aout 1914 : Crédit de guerre ouvert sans l’accord de députés / le 5 aout : engager les dépenses par décrets

Le gvt n’est donc plus parlementaire, croyant par une guerre courte et vote leur ajournement et vote les lois. Pas de pvr spé au gvt en place, le pvr est à la main de l’exécutif et de l’armée.

Décret du 28 octobre 1913 : Conduire les opérations apr. les militaires :

Dictature de Joffre car a tous les pvrs

Le 4 aout : décret présidentiel : état de siège qui permet à l’armée de réguler le passage des hommes et des ordres.

Durant la durée du conflit, on voit une complexification de la sphère décisionnelle : comité secret, commission parlementaire.

C’est finalement par les commissions parlementaires que les députés reprennent le pvr, il faut attendre Clemenceau en fin 1917 pour que les civils reprennent leur action civile.

  1. Les civils en guerre

Le front de l’arrière conduit à développer une forme de combat

-Les femmes : Les activités traditionnelles sont remplacées, les FE vont prendre la place des hommes aux usines. Allocation pour les femmes mobilisées.

Les femmes conduisent les trams, postiers. On voit la 1ere GM est une phase d’émancipation des femmes, nouvelle responsabilité etc. donc le mot émancipation n’est pas approprié car le salaire est plus bas que les hommes. Dès que la guerre finit, les F retrouvent leur place ‘’ employer par défaut ‘’

La G.G ordre très conservateur en France, H viril mis en avant.

Les syndicats se sont montrés hostile à la féminisation du travail.

On voit une remasculinisassions de la m.o

F. Cochet : 5331 FE / 15000 salariés en 1915

Les prisonniers de guerre, les soldats démobilisés et le W étranger sont une concurrence des femmes.

On voit un contrôle des initiatives des femmes par les syndicats, les voisins, les gens en général

-Les h âgés

Remplacer les hommes mobilisés : instituteur ou médecin à la retraite reprennent du service

Pallier aux manque des h mobilisé

-Les enfants

Soutenir moralement aux combattants : prier, écrire des lettres, tricoter des chaussettes. École joue un role majeure dans l’instrumentalisation

« La foi patriotique des enfants doit être exalté ‘’

1915 : augmentation de la délinquance juvénile : bande plus ou moins violente. L’école reprend le role paternel

Le front à l’arrière est divisé : réagit différemment. Face à un point commun : le courrier  Avoir une mauvaise nouvelle. Touche toutes les classes qui est permanente.

Seul moyen d’avoir des nouvelles : importance du courrier postal.

Les forces intellectuelles et religieuse ont été mobilisé pour que les civils tiennent le coup

  1.  Propagande et censure

La France combat au nom du droit et de la liberté dans les journaux de gauche

Les religieux soutiennent l’effort de guerre, Mgr Baudrillard fonde le comité catholique de propagande française à l’étranger

L’arrière est un enjeu important.

Caricature diffusée en grand nombre.

Les FR ne sont pas dupes de ce qu’il voit et lisent, le bourrage de crâne est perçu. Les infos ne sont pas libres, on parle de demi échec et non de défaite

Mars 2917 : Union des grandes associations FR contre la propagande

Les civils font une ‘’automobilisassions des esprits’’ se l’on Nicolas Beaupré

A partir de nov. 1917, en 1918 on voit une réorganisation de la propagande : Commissariat

II-Un arrière totalisé

  1. Les finances

Les moyens extraordinaires mobilisé au front nécessitent une mobilisation de ressources et acteur sociaux. C’est l’Etat qui prend le role de totalisation.

Pb MAJEURE dans ce contexte : les dépenses de l’exercice budgétaire de 1918 : x11

Pour faire face, adopter une stratégie : bon du trésor et endettement. Considérable car les emprunts remboursent les emprunts. Créditeurs étrangers comme les E.U.

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