Religion et société
Commentaire de texte : Religion et société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sampieru Andreani • 19 Mai 2016 • Commentaire de texte • 826 Mots (4 Pages) • 660 Vues
Dans le premier paragraphe que l'on peut considérer comme une première partie des pages extraites de ce livre,
les deux premières phrases lignes 1,2 et 3 [Le fantasme...musulman.]
l'auteur nous parle du « fantasme de l'archétype » qui peut se définir en un symbole universel d'un type de modèle idéal à un groupe, comme à des peuples européens ancien ou à des intégrismes religieux actuelles, on peut penser à Platon et sa théorie des formes, c'est donc selon lui l' image d'un idéal que l'homme se fait et qui en somme résulte de l'inconscient, aussi bien pour des sociétés anciennes ou des religions actuelles.
Quand l'auteur parle de « comparatisme indo-européen » le terme comparatisme évoque en définition généralement l'étude comparée de différents éléments, en l’occurrence ici l'histoire et les religions, c'est donc l'étude qui analyse les différences d'interprétation des thèmes et idées communs aux religions du monde.
À noter que le terme « les intégrismes » évoqué ligne 2, n'est Sûrement pas d'usage polémique et péjoratif, l'auteur fait référence à sa définition originelle qui est l'évocation des courants traditionalistes dans les religions.
Dans la troisième phrase qui suit, lignes 3 et 4, [tous ces mouvements...l'observance,] John Scheid nous dit que « ces mouvement » qui sont des mouvements religieux, tentent de reconstruire leurs religions respectives en remontant à leurs origines c'est-à-dire dans leurs primitivités avec pour forme un état « parfait » il veut sûrement dire par là dans le sens accompli ou absolu du religieux c'est-à-dire d'obéissance à des règles ou des préceptes d'une communauté donnée, comme par exemple l'observance des préceptes du Coran.
Il poursuit en disant aux lignes 4 et 5, que « ces mouvements » ne tiennent pas compte de l'histoire, de leur histoire, c'est-à-dire de leur construction historique autour des textes sacrés ou des textes normatifs qui se sont cumulés et qui ont évolué selon les périodes. Les textes normatifs sont des textes qui ont une forte valeur coercitive, comme des lois ou des préceptes. Donc en somme il nous explique que « ces mouvements » veulent rester bloquer « aux origines » c'est-à-dire à leurs commencement, malgré leur propre évolution historique, pour y gagné peut-être une quelconque pureté qui serait l'essence même de la religion.
L'historien prolonge son analyse en disant aux lignes 6 et 7, que « ces mouvements » oublient de tenir compte de ce qui a existé et c'est formé depuis des siècles, et ainsi l'extraction c'est-à-dire le retrait de l’ensemble de livre religieux, de loi, de règles propre à chaque église, comme les canons religieux, l'auteur veut par exemple faire référence aux canons biblique qui désignent l'ensemble des textes considérés comme sacrés ayant conduit, sur plusieurs siècles, à l'établissement de la Bible, s'ajoute aussi des canons des d’Églises, comme les églises latines ou grecques, ainsi John Scheid emploie le terme de « tradition réinventée », en poursuivant à la ligne 8 avec affirmation que cette
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