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Position De La Femme

Analyse sectorielle : Position De La Femme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  25 Février 2015  •  Analyse sectorielle  •  615 Mots (3 Pages)  •  819 Vues

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Première partie

Position de la femme

En Grèce, à l'époque classique,la femme semble condamnée aux conditions extrêmes. Mère ou fille, épouse ou concubine, elle est confinée dans l'espace privée du gynécée. Elle n'accède à l'espace public que si son corps même est public, susceptible d'être loué ou vendu au premier client venu. Leur place dans la communauté n'était pas d'une grande importance. Leur rôle social n'existe que dans leur relation avec les hommes.

Deuxième partie

Filles et femmes du citoyen

A Athènes, à l'époque classique, la femme était une éternelle mineure d'âge en droit. Elle ne possédait aucun droit juridique et politique. Elle devait toute sa vie rester sous l'autorité d'un tuteur qui pouvait être son père, son époux ou son fils si elle n'avait ni de père et ni d'époux.

Troisième partie

Citoyenneté des femmes

Les femmes ne pouvaient pas être citoyennes puisqu'elles ne participaient pas à la vie politique. Elles étaient donc appelés « citadine ». Elles pouvaient toutefois être appelées, de façon non officielle, citoyenne par le rôle qu'elles jouaient dans la transmission de la citoyenneté. En effet, l'un des droits civils du citoyen permettait de contracter un mariage légitime avec une femme qui était fille de citoyen. Les hommes pouvaient alors devenir citoyens en épousant une femme issue de la communauté civique.

Quatrième partie

Le mariage

L'existence des femmes n'avaient de sens que par le mariage, qui était généralement entre ses 15 et 18 ans. C'était un acte privé, comme un contrat, qui était conclu entre la famille de la femme et celle de l'homme. On parle de gage, de caution, un acte par lequel le tuteur de la femme donne sa fille à un autre homme. Cet événement n’est pas enregistré sur un acte, il est privé. Pour conférer la femme au statut martial, il faudra aussi y ajouter la cohabitation qui arrive en général après le mariage. La jeune fille n'a jamais son mot à dire dans son futur mariage, elle y est forcée.

La jeune mariée apporte également sa dot dans sa nouvelle famille. La dot n'est pas à proprement parler la priorité du

mari : lorsque sa femme meurt sans enfants ou en cas de divorce par consentement mutuel, la dot doit être rendue. Lorsque la somme est importante, le tuteur de la mariée se protège souvent par une hypothèque spéciale : un bien immobilier est engagé comme contrepartie. Si la dot n'est pas remboursée, la terre est saisie. Le divorce sur l'initiative de l'épouse ne devrait normalement pas être permis : seul le tuteur pourrait demander la dissolution du contrat.

Une stricte fidélité est requise de la part de l'épouse : son rôle est

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