La pensée géographique de la ville et de la ville en France
Analyse sectorielle : La pensée géographique de la ville et de la ville en France. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ratzel • 20 Octobre 2014 • Analyse sectorielle • 820 Mots (4 Pages) • 783 Vues
« La pensée géographique de la ville et de l’urbain en France »,
Hoyaux A.-F., 2014, « La pensée géographique de la ville et de l’urbain en France », in La France, Une géographie urbaine, Cailly et Vanier (ed)Collection U, Armand Colin, pp. 75-87
(Info sur le contexte, livre, période et courant de penser géographique …....)
Aux origines de la géographie urbaine :
Transdisciplinarités, institutionnalisation et reconnaissance auprès d'autres discipline font que la géographique urbaine se forge une identité + publication diverses dans les revues et l’intérêt que peuvent porter les maison d'édition.
Contre certaines idées reçus :
Savoir de la ville que est remarqué a la fin du 19eme siècle, e, effet elle intéresse plusieurs personnes tel que les statisticiens, géographes,, historiens -géographes, biologistes-urbanistes et sociologues.
La place de la ville pas toujours aussi importante dans l'histoire de la géographie. On commence à l'étudier et organisé des méthode de géographie urbaine dans les années 1928.
Blanchard utilise une structuration formelle avec l'analyse de la situation de la ville d'une part puis du site d'autre part. Pour le site il y a des liens étroit avec l'héritage historique et la typologie des fonctions urbaines (objet d'étude : Nancy, Lille ….).
De la construction des premières catégories de la géographie urbaine :
Apparition dans les années 1900 de linéaments d'une théorie des places centrales. Vidal de la Blache insiste sur le fait de désigner des choses qui paraissent différents. Termes urbanisme qui a deux sens, puis devient progressivement « fait urbain » et « urbanisation ».
Il y a donc une évolution des idées et théories qui est matérialisé par la création de l'institut d'urbanisme de l'université de Paris mais aussi dans l'analyse du site et de la situation et se portaient plus sur l'aspect physique pour l'essentiel (déterminisme) qui se met a pencher vers « un effet de site » liée a une utilisation plus métaphorique.
De la géographie classique à la géographie appliquée.
Après la guerre il y a un mouvement croissant de géographes pro-urbain. En effet non seulement il faut reconstruire les villes mais en plus elles sont la marques du progrès. Il y a donc une planification du territoire avec un engagement dans l'action. L État intervient dans l'organisation et l'aménagement du territoire. Le géographe n'est plus neutre mais revendique la pertinence de son expertise et propose des choix cohérents pour l'action. Il y a une géographie « appliquée » qui pour Cholley est une géographie politique.
La géographie a une portée politique plus ou moins directe : Reclus ( Anarchisme) ; Vidal de la Blache (Colonialisme) ; Ratzel (National-Socialisme).
Après 1930 la géographie vidalienne (idéologique + coordination description) est appauvrie, elle laisse place à l'action
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