Etude de l'importance du poignard pour son propriétaire et la relativité du combat au càc pendant la 1ere Guerre mondiale et dans un second temps, les violences psychologiques et les séquelles que la guerre peut laisser.

Le document du poignard est une photographie, le poignard de 1915 il est conservé dans la collection de l’Historial de la Grande Guerre, à Péronne dans la Somme. Le document 1 sont quelques chiffres de Stéphane Audoin-Rouzeau de Les armes et la chair et le document 2 « Champ de bataille » pendant la 2e guerre mondiale est l’aquarelle d’André Dewamber, conservée au musée d’histoire contemporaine, BDIC, à Paris. Dans cette synthèse nous étudieront premièrement l’importance de cet objet pour son propriétaire et la relativité du combat au càc pendant la 1ere GM et dans un second temps les violences psychologiques et les séquelles que la guerre peut laisser.

Ce poignard de 1915 est une arme blanche. Il fait une longueur totale de 33cm avec une lame de 21 cm. La lame est une pointe de baïonnette du modèle de 1884 et le manche, d’une cartouche éclairante de la même année. Les deux partie sont tenues par du plomb fondu, la garde est simplement une rondelle de cuivre, le fourreau est celui d’une baïonnette française raccourci et recouvert de tissu et le système d’attache est récupéré de celui d’un équipement pour révolver français. Cette arme est une arme de corps à corps dont l’utilité se faire surement ressentir dans les combats de corps à corps pendant les assauts ou a l’intérieur des tranchées. Son utilisateur s’en servira dans l’intention de tuer son adversaire quand il est proche de lui ou s’il tombe à court de munitions.

Le poignard est un objet utile pour son propriétaire pendant la première guerre mondiale mais cette dernière est violente et peut laisser des séquelles psychologique.

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