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Eco-cités, la vie en vert !

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Par   •  25 Septembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  663 Mots (3 Pages)  •  655 Vues

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Eco-cités, la vie en vert !

Introduction

En 2011, un journaliste décide d’aller dans une ville au Sud de la Suède, Malmö qui est la ville championne de l’urbanisme écologique et qui compte environ 300 000 habitants. Son projet est de ne plus émettre de CO2 d’ici 2030. Mais comment compte-t-elle s’y prendre ?

Quel est le mode de vie des habitants ?

C’est ce que nous allons découvrir.

Explication

Malmö, dont la transformation en ville écologique a débuté en 1997, présente deux écoquartiers : Bo01, au nord de la ville et Augustenborg, au centre. La plupart des habitants de Malmö ignorent qu’ils vivent dans un écoquartier, ils vivent écolo presque malgré eux et choisissent principalement d’y habiter pour la beauté des lieux.

Je vais tout d’abord présenter le quartier Bo01, ensuite, Augustenborg.

Bo01

Bo01, ensemble de 600 logements construits en 2001, fait la renommée mondiale de la ville. 26 agences d’architecture ont participé à la construction des bâtiments tous uniques de ce quartier. En effet, il en dégage une vraie harmonie. Chaque bâtiment devait disposer de 36 installations favorisant la venue de la faune et de la flore, comme les panneaux solaires, les toitures végétales et même des cabanes à chauve-souris.

Afin d’éviter une pollution excessive, tous les transports en commun fonctionnent au biogaz, un gaz ayant comme composition du méthane et une pointe de sulfure d’hydrogène. Aussi, le quartier est conçu pour favoriser certains comportements : par exemple, seulement 0,7 places de parking par logement sont disponibles et les pistes cyclables sont nombreuses. A Malmö, un déplacement sur trois se fait à vélo.

Qu’en est-il de la place monstrueuse que prennent les pavillons ? Ces derniers disposés de manière américaine mangent trop de terres arables mais multiplient surtout les moyens de transport. Donc, les architectes ont trouvé un moyen ingénieux : la tour UrbanaVillor est un ensemble de pavillons empilés les uns sur les autres, ayant, à chaque niveau, un jardin en hauteur remplaçant les simples balcons avec, en plus, un escalier extérieur permettant d’avoir des contacts avec ses voisins.

Le seul gros inconvénient est que le confort des lieux, l’immensité et la luminosité de ce quartier ne permettent qu’à seule une minorité de riches de vivre de façon durable.

Augustenborg

Augustenborg contient des bâtiments édifiés en 1950, 1800 appartements pour environ 6000 habitants. Le quartier commence à se dégrader en 1980. C’est alors qu’en 1998, il a besoin d’une rénovation et au lieu de se contenter du minimum, la municipalité décide de signer un très gros chèque de pas moins de 20 millions d’euros pour faire d’Augustenborg un écoquartier. Tout comme à Bo01, il y a des panneaux solaires pour l’électricité.

A Augustenborg, c’est l’invasion complète du végétal. Les toits sont recouverts de verdure ainsi que pour certains murs. Bien sûr, cette végétation n’est pas inutile. Elle sert essentiellement

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