Projet de recherche de master
Mémoire : Projet de recherche de master. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yeboue • 9 Octobre 2017 • Mémoire • 5 720 Mots (23 Pages) • 1 040 Vues
Au Dieu Tout Puissant,
Sans qui, nous n’aurons pas eu le courage, la force et le souffle de vie pour arriver à l’élaboration de ce travail.
A notre père, YEBOUE N’dri,
Et à notre mère KOFFI Affoué Solange
Qui nous ont transmis l’amour profond, les valeurs Humanistes,
Religieuses et le goût du travail bien fait.
Trouvez à travers ce travail, l’expression de notre reconnaissance et profonde gratitude.
Ce travail est le résultat de leurs actions et la cité de leur éternité humaine.
REMERCIEMENTS
Un travail de recherche est nécessairement une œuvre collective. Innombrables sont ceux qui nous ont apporté leur concours, matériellement ou intellectuellement, de près ou de loin. Aussi leur témoignons-nous notre infinie gratitude.
Il nous manque de mots adéquats pour exprimer tout d’abord notre profonde reconnaissance à notre encadreur Dr. Désiré Kouakou M’BRAH, qui a bien voulu guidé nos recherches et a participé pour ses nombreux et importants conseils à l’élaboration du présent travail. Il est pour nous, plus qu'un simple directeur de recherche, un précepteur affectueux, patient, minutieux, rigoureux et dévoué.En dépit de ses multiples occupations, il a dégagé une grande partie de son précieux temps pour la relecture de notre manuscrit, ligne après ligne ; corrigeant avec une grande sollicitude, jusqu'à la ponctuation, nos anglicismes. De plus, il a consacré de longs moments à de fructueuses discussions avec nous. Ses nombreux conseils ont contribué à affiner l'ossature et le contenu de notre réflexion sur un sujet délicat, que celui que nous avons retenu. Aussi ne trouvons-nous pas de mots pour le remercier.
Qu'il nous soit permis de rendre un hommage à ces grands savants, les professeurs LATTE EGUE JEAN MICHEL et SEKRE ALPHONSE, respectivement directeur scientifique et chef au département d’histoire à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. C’est aussi l’occasion ici de témoigner ma gratitude envers tous les enseignants du département d’histoire de cette même Université.
Je voudrais également exprimer ma reconnaissance envers tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à l’élaboration de ce travail. Que ce soit par un sourire ou unencouragement ou encore une parole que vous avez peut-être jugée utile, sachez que vous m’avez apporté la joie, le courage, la volonté de toujours bien faire. Il va de soi que cette liste est très loin d'être exhaustive.
A tous ceux que nous n'avons pas cités, nous adressons nos sincères remerciements. Nous ne les avons pas oubliés. Pour ne pas trop fatiguer le lecteur, nous arrêtons ici la liste. Les jours passent mais les souvenirs demeurent.
SOMMAIRE
DÉDICACE……………………………………………………………………p1
REMERCIEMENTS…………………………………………………………..p2
INTRODUCTION GENERALE
A/INTRODUCTION A L’ETUDE DU THEME…………………………..…p4
B/ANALYSE DU SUJET………………………………………………….....p7
C/SOURCES ET METHODOLOGIE………………………………………..p16
D/ANNONCE DU PLAN…………………………………………………….P16
PLAN PROVISOIRE……………………………………………………........p17
PERSPECTIVES………………………………………………………….......p18
CONCLUSION GENERALE………………...……………………………….p19
SOURCES ET BIBLIOGRAPHIES…………………………………………..p21
INTRODUCTION GENERALE
A/ INTRODUCTION A L’ETUDE DU THEME
- INTERET DU SUJET
Parmi les soixante (60) ethnies en côte d’ivoire, nous retrouvons l’ethnie Suamenle/Souamlin qui fait partir du grand groupe Akan, précisément du sous-groupe Baoulé.Ce groupe est méconnu et plusieurs personnes ignorent son existence. Etant nous-même de cette société, nous décidons de faire la promotion de ce peuple et de son patrimoine culturel en choisissant le thème suivant ‘’l’histoires des Suamenlé/Souamlin de Taabo : des origines a la mise en place ’’.
Des Historiens chercheurs ivoiriens tels que les professeurs Loucou Jean Noël, Henriette Diabaté, Pierre Kipré, Allou Kouamé René, Gilbert Gonnin [3]et même des économistes, des sociologues tels que Goly Agré Marc [4], Alfred Schwartz pour ne citer que ceux-ci, se sont intéressés à ce peuple.Ce qui montre que le monde scientifique porte un intérêt particulier à ce peuple.
La présente introduction servira de cadre pour justifier le choix de notre sujet et le délimiter dans le temps et dans l’espace, à présenter la revue de la littérature qui le concerne. Ensuite, nous poserons la problématique et notre méthode d’approche du sujet.
L’intérêt de ce sujet est -il, qu’il est devenu pour nous un enjeu important pour la réussite de notre cycle universitaire.Il s’agit donc de contribuer à la sauvegarde de leur histoire car sa connaissance est fondée depuis longtemps sur la transmission orale, grâce aux vieillards. Et plus le temps passe, la mort diminue le nombre de ces historiens capables de restituer le passé lointain du peuple. Il y a donc urgence de sauvegarder les récits de ces ‘’bibliothèques vivantes’’[1], véritables sources de l’histoire africaine avant leur disparition.
2- MOTIVATION
Le choix d’un thème de recherche obéit toujours à des motivations qui sont à la fois d’ordre subjectif et objectif. En choisissant la région du Suamanla (Taabo) comme zone d’étude, nous n’avons pas échappé à cette règle.
Ce choix se veut donc répondre à l’intérêt personnel, à la satisfaction que peut tirer tout chercheur étudiant sa propre société, son milieu et cadre de vie. En effet, nous sommes sentimentalement attachés à cette région par le fait que depuis les années 1978 - 80, nos parents vivent à Taabo ou nous avons vu le jour. Intégré à la société Suamanla, ils ont établi des relations avec plusieurs familles à Taabo et dans la région. Nous pensions pouvoir utiliser cette position de nos parents dans nos rapports avec nos sujets. A la position de nos parents s’ajoutent les relations personnelles que nous avons nouées avec ceux-ci lors de la collecte des informations qui ont servi à la confection de notre mini-mémoire de licence.
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