Les conditions de vie des Français pendant l'occupation

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La dure condition de vie des Français pendant l’occupation.

De 1940 à 1944, la France est sous l’occupation allemande. Cette occupation est une problématique pour toute la France, particulièrement pour les citoyens français qui doivent se plier sous les contraintes allemandes.

Les allemands ont le devoir de réquisitionner les biens des français dont leur alimentation. Les français mangent très peu, par exemple, une miche de pain pour plusieurs jours leur sont donnés. Pour économisez leurs pains, la croix rouge française leur conseille /voir demander/ de manger des tranchées très fines pour pouvoir conserver les pains le plus longtemps possible. Ils sont même contraints de manger à des paliers de calories fixés ; ils doivent suivre des tickets d’alimentation.

La stricte alimentation n’est pas la seule contrainte, en effet les allemands cherchent de la main d’œuvre auprès des français. Au départ, ils utilisent le moyen de volontariat tourné en propagande, malheureusement les slogans sont peu aguicheurs donc peu sont volontaires. Les allemands nazis changent alors drastiquement de méthode et créent le Service du Travail Obligatoire (STO). Ils pratiquent la razzia-surprise, la pratique d’enlever des personnes, même dans des espaces publiques, pour les forcer à travailler en l’Allemagne. Les miliciens, les policiers, les gendarmes et gardes mobiles français font exactement la même chose. Les français rentrent chez eux avec un air méconnaissable.

Les restrictions de rationnement imposés et le STO sont des conditions que doivent subirent les français. Ces conditions ont été assignés par l’Allemagne avec l’aide constante du gouvernement (militaire) français jusqu’à adopter les règles de celle-ci. Ces deux pays travaillent dans le même but, peut-on alors parler d’une collaboration entre l’Allemagne nazie et la France ?

L’antisémitisme conduit certains Français à une collaboration criminelle[pic 2]

Durant l’occupation Allemande en France de 1940 à 1944, les Allemands doivent capturer un grand nombre de juifs sur le territoire français. La France, désormais soumise à l’Allemagne, est conduit à travailler avec elle pour parvenir à un but : enfermer les juifs.

Tout d’abord pour capturer les juifs, il faut les suivre. Afin de les traquer, L’Allemagne décide de recruter des français. Les personnes employées sont des policiers malhonnêtes, des gangsters et même des maniaques. Ils sont trouvés dans les bas-fonds de Paris : dans des organisations criminelles. L’Allemagne assigne aux malfaiteurs la traque des juifs. D’autres hommes sont impliqués ; des hommes intellectuels, politiques venant tout droit du banditisme, sans compter la presse. On voit alors que la France et l’Allemagne travaillent ensemble sans protestation.

Il a été organisé deux rafles des Juifs, celle du 16 et 17 juillet 1942, plus connues sous le nom de la rafle du Val d’Hiv, réalisées par l’accord de Vichy, dans le but de déporter 22 000 personnes. Finalement, 12 884 personnes sont déportées dans des stades, enfants et adultes arrivant malades. Les conditions sont atroces ; l’eau des tuyaux d’incendie est alimentée dans les rues, deux caisses de biscuits pour 4 000 personnes environ, une cinquantaine de brancards et de matelas pour des milliers de malades, une ambulance et seulement deux médecins par stade. Des déportés sont devenus fous. Pourtant, les autorités françaises rapportent un bilan positif de la situation, déclinant toute aide possible pour améliorer les conditions des Juifs, les laissant souffrir en silence.

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