En quoi les ouvriers sont-ils devenus des outils de développement de la production sociale pendant la première révolution industrielle ?

Problématique

En quoi les ouvriers sont-ils devenus des outils de développement de la production sociale pendant la première révolution industrielle ?

I. La révolution industrielle

1. Ce qui montre la révolution industrielle

Révolution industrielle : la naissance de l’industrie

La révolution industrielle est née en Grande-Bretagne, qui était la plus prospère de son temps. Avec l’invention de la machine à vapeur et le développement du charbon, la révolution industrielle a commencé. L’usine est née, et la société a subi de profonds changements. Au début du 19ème siècle, la France a commencé une révolution dans la production industrielle avec un système d’usine basé sur des machines remplaçant les ateliers manuels basés sur la technologie manuelle, passant d’une économie agricole à une production à grande échelle de produits manufacturés. Dans la première phase de la révolution industrielle française, divers secteurs de production au cours de cette période, principalement le secteur de l’industrie textile, ont commencé à utiliser des machines pour produire en grandes quantités, et l’industrie textile du coton s’est développée rapidement. “La fabrique d’Amiens produit des étoffes de coton et de laine, surtout de laine peignée ou d’estame, dont elle mélange souvent les fils avec ceux de soie, de poils de chèvre, de lin ou de chanvre.”(Ligne1-2), dans la fabrique d’Amiens, principalement des tissus de coton et de laine, tels que la laine peignée et la laine de coton, ont été mélangés avec des fils de soie, de poil de chèvre, de lin et de chanvre, principalement pour la fabrication de vêtements.

1. Acteur principal de la révolution industriel (différents métier lier)

Au début du 19ème siècle, la révolution industrielle a commencé en France, les usines ont remplacé les ateliers artisanaux et les ateliers manuels, en particulier dans l’industrie textile et la métallurgie, utilisant des machines à vapeur comme moteurs pour faire fonctionner les machines, et le nombre de travailleurs dans l’industrie, y compris les femmes et les enfants, a augmenté de façon spectaculaire. “La fabrique d’Amiens compte environ 40000 ouvriers, y compris les enfants. Une moitié habite la ville et ses faubourgs, l’autre dans un rayon de six à dix lieues.” (ligne6-7), souvent appelé au 19ème siècle « l’âge des ténèbres » de l’exploitation des enfants, étaient employés dans les champs à la campagne; Dans les villes, ils aident leurs parents artisans ou deviennent des ouvriers; Dans les usines, ils travaillent 13 à 16 heures par jour pour un travail que les machines ne peuvent pas effectuer. Ils n’ont pas de vacances et ne vont pas à l’école, et seules les familles riches peuvent envoyer leurs enfants à l’école. Lorsque les familles étaient surdimensionnées, les parents envoyaient leurs enfants en ville, où ils étaient embauchés comme domestiques, apprentis dans des usines ou artisans. Dans les grands centres industriels, en particulier dans les industries textile, métallurgique et minière, il existe un besoin d’un grand nombre de travailleurs exploitables, c’est-à-dire le travail des enfants. La révolution industrielle, qui était une transition d’une économie traditionnelle basée sur l’agriculture à une économie basée sur la production mécanisée à grande échelle de produits manufacturés par les entreprises, a permis à de nombreuses personnes de transformer leurs entreprises, car de la fin du Moyen Âge au 18ème siècle, la production presque agricole était prédominante, et il y avait des régions où les rendements étaient très faibles, de sorte que les revenus des agriculteurs étaient également faibles. « Sur les 40000, près de 10000 travaillaient directement ou indirectement, en 1836……» (ligne9-10), « Quand la mode abandonne un article pour en adopter un autre...... et des articles de nouveauté » (ligne11-16), beaucoup de gens travaillent directement ou indirectement, certains directement des paysans aux ouvriers d’usine, certaines personnes sont à la fois ouvriers et paysans, même si les produits manufacturés sont transférés du premier au second, l’ouvrier peut facilement passer à la production du deuxième bien, comme une filature de coton à une filature de laine. Les ouvriers de l’industrie textile, tous travaillant chez eux, dispersés dans de petits ateliers à la campagne, ont leurs propres moyens de production et sont totalement dépendants des marchands qui leur fournissent les matières premières et achètent les produits finis, et à la campagne, ils travaillent chaque année dans l’agriculture de fin juin à début septembre, travaillant dans les marécages d’extraction de tourbe, « Presque tous ceux de la campagne se livrent aussi tous les ans... » (ligne 17-19).

II. La vie ouvrière

1. Qui sont il réellement les ouvrier (nombre genre…)

Avec l’émergence du prolétariat, la révolution industrielle a déclenché un profond changement social, une nouvelle classe sociale qui a rassemblé tous les travailleurs avec seulement la force de travail, au 19ème siècle les travailleurs étaient mal payés, les conditions de travail étaient très mauvaises, exploitées pour de l’argent, affamées et sans logement, les employeurs exigeaient de plus en plus du travail des travailleurs, et en période de prospérité industrielle, les heures de travail ont été prolongées à 15 heures, « Dans les temps ordinaires, chez les fabricants la journée est de quatorze à quinze heures...... quand l’industrie prospère, on prolonge le travail. » (Ligne 21-24), les travailleurs ne peuvent se reposer qu’un jour par semaine, sans vacances. En Europe occidentale, en raison de la croissance démographique et de l’exode rural, il y a plus de travailleurs que d’emplois disponibles, ce qui entraîne un chômage fréquent, les employeurs doivent maintenir et faire pression sur les travailleurs à bas salaires, les femmes et les enfants sont également obligés de travailler pour subvenir aux besoins de leur famille, leurs salaires sont souvent inférieurs à ceux des hommes, les travailleurs ne bénéficient d’aucune protection sociale, les travailleurs domestiques sont payés pour leurs tâches en plus du salaire convenu, mais généralement les femmes, en particulier dans l’industrie textile, « Mais alors tout qui excède sa durée habituelle se paie en sus du salaire convenu et dans la proportion de celui-ci. » (ligne 24-25), l’avènement des machines a créé la classe ouvrière, les ouvriers d’usine constituaient la majeure partie du prolétariat industriel, mais les machines n’amélioraient pas les conditions de travail des travailleurs, de nombreux travailleurs fabriquaient encore des produits à la main, tels que des textiles, et la majeure partie du budget des familles ouvrières était consacrée à la nourriture, suivie du logement, à cause des bas salaires et des loyers élevés, de sorte que les logements étaient insalubres et délabrés, « En général, les ouvriers d’Amiens demeurent dans la partie basse de la ville...... mal éclairés, mal closes, malsaines. » (ligne27-29).

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