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Pierre Pithou, Les libertés de l’Église gallicane (1594)

Résumé : Pierre Pithou, Les libertés de l’Église gallicane (1594). Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Novembre 2024  •  Résumé  •  364 Mots (2 Pages)  •  11 Vues

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Bossuet, Politique tirée des propres paroles de l’Écriture Sainte, Livre IV (1709) :

Bossuet un homme d’Église, et avait un lien avec la gallicanisme (doctrine issu du catholicisme sous l’influence du l’humanisme)

Citation : « les temps aux oreilles des romains doivent être respectés, je l’ai fait de mon mieux. Je me suis étudié à parler de sorte que sans trahir la doctrine, je ne puisse point offenser la majesté romaine »

Il se revendique du gallicanisme en ménageant la papauté. C’est là qu’on perçoit la dimension politique de Bossuet.

Limite à l’absolutisme : le fait de respecter les lois.

Assiste une montée en puissance de l’état royal avec un accroissement territoriale et unification du royaume. Les institutions sont centrées sur la royauté, il décrit ici la concentration royale des pouvoirs.

Paradoxe sur la concentration des pouvoirs et la théorie du droit divin qu’il dvp : à la fois détenteur mais

Bossuet était ici de la bourgeoisie, objectif était de contrainte la noblesse à l’obéissance et faire prospérer le royaume sur le plan

Il décrit une omnipotence royale = n’est responsable que devant Dieu

Malgré tous ce n’est pas un régime arbitraire : lois fondamentales (de succession et d’immuabilité)

Les problèmes de succession ont démarré en 1316 : la masculinité excluant les femmes et les descendants par les femmes dans les règles de succession. Ex du roi Louis X. L’exclusion est complétée par l’exclusion des descendants par les femmes cad le fils de la descendante femme ne peut non plus.

Une décision sans fondement juridique mais politiques et religieux :

- La qt de faiblesse juridique de la reine + risque de mariage avec un étranger

- Les ecclésiastiques voyaient la royauté comme une fonction sacrée et les femmes, exclues de la hiérarchie ecclésiastique, étaient donc considérées comme inéligibles pour le trône.

Pas de fondement ce n’était qu’une coutume donc Richard a exhumé (remis à l’ordre du jours) une règle provenant des franciliens à laquelle appartenait Clovis, pr justifier la masculinité de la dévolution successorale de la couronne.

En substance, cette loi disposait que la terre appartenait aux frères, en d’autres termes, les juristes n’ont rien fait d’autres que d’user de pragmatisme pour mettre en place cette loi sadique.

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