Le troupeau et le berger

Analyse linéaire  le troupeau et le berger

Introduction :

L’œuvre « les caractère » par jean de la bruyère a été publié pour la première fois en 1688 à paris , la bruyère est un écrivain  et moraliste français du 17eme siècle né en 1645 et décédé en 1696 il fait partie du mouvement classicisme , le texte « le troupeau et le berger » extrait de ces caractère il nous présente une scène simple mais pleine de sens. Qui raconte l’histoire d’un berger qui prend soin de son troupeau de moutons. Il veille sur eux avec attention, les protégeant des dangers et les guidant vers de bons pâturages. La Bruyère soulève également la question de la liberté en se demandant si les moutons ou le berger sont vraiment libres ,donc Comment le texte du troupeau et le berger de La Bruyère révèle-t-il des idées sur le pouvoir et la liberté même dans un cadre apparemment calme et paisible ? pour cela nous allons deviser le texte en Deux partie de « quand vous voyez jusqu’à pour le troupeau » un tableau bucolique   ensuite de « image jusqu’à la fin » la morale de l’apologue

Développement 

dans le début du texte, l'auteur nous parle d'une scène qui se déroule parfois. Il nous dit "Quand vous voyez", comme s'il s'adressait directement à nous, les lecteurs. Le mot "quelquefois" nous indique que cette situation peut se produire à différents moments, mais sans précision. L'auteur utilise le présent pour nous plonger dans la scène et nous permettre de la visualiser. En utilisant l'adjectif "nombreux" pour décrire le troupeau, il nous donne une idée de sa taille ensuite le groupe de mots "sur une colline" nous donne une idée de l'endroit où se passe l'action, mais ça reste assez vague. En ajoutant "vers le déclin d'un beau jour", l'auteur nous donne une autre indication temporelle, mais sans être très précis. Cela permet à chacun de se faire sa propre image dans sa tête. Il décrit un joli endroit à la campagne en utilisant des mots comme "troupeau", "colline", "thym et serpolet", herbe Cela nous donne l'impression d'être dans un endroit calme et naturel, où les moutons paissent tranquillement et où l'herbe est fraîche La façon dont La Bruyère décrit l'herbe, comme si elle avait "échappé à la faux du moissonneur", lui donne presque une personnalité. Cela rend la scène plus vivante, comme si l'herbe avait sa propre volonté et pouvait se protéger." le berger est présenté comme étant au centre de l'action. Il est caractérisé par les adjectifs "soigneux et attentif", ce qui laisse entendre qu'il prend grand soin de ses moutons La Bruyère souligne l'attention constante du berger envers son troupeau en utilisant la négation dans la phrase "il ne les perd pas de vue". Cela montre que le berger garde toujours un œil sur ses brebis, renforçant ainsi l'idée de sa vigilance et de son engagement envers leur sécurité. "si un loup avide apparaît", ça montre que le berger est prêt à agir pour protéger son troupeau, peu importe ce qui se passe. "l'aurore le trouve déjà en pleine campagne" nous montre qu'il commence sa journée très tôt, prêt à veiller sur son troupeau dès les premières lueurs du jour aussi est il naturel de lire des exclmation qui traduisent l’admiration pour ce berger idéal « quel soin quel vigilance quel servitude »le rythme ternaire produit un effet d’insistance  la dérnier de ces exclamation présente le berger comme un hbomme qui sacrifie sa liberté La Bruyère soulève des questions complexes sur le pouvoir, la liberté et le sens de la vie. L'opposition entre la condition du berger et celle des brebis invite à réfléchir sur la notion de liberté et de destin. Le choix des mots "délicieuse" et "libre" pour décrire la condition désigne une vie agréable et indépendante l'utilisation de la question rhétorique invite le lecteur à réfléchir sur les relations entre le berger et les brebis,

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