Fiche linéaire spleen LXXVIII Baudelaire
Fiche : Fiche linéaire spleen LXXVIII Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Alexandredde • 25 Avril 2023 • Fiche • 562 Mots (3 Pages) • 225 Vues
Linéaire 10 : Spleen LXXVIII
« On a tous les droits quand on a le spleen » Roland Topor
Le texte étudié est un poème de Baudelaire, « Spleen 78 » issu du recueil Les Fleurs du mal
Charles Baudelaire est né en 1821. Après avoir obtenu son bac de justesse, il s’intéresse à la littérature. Il devient alors critique littéraire, puis il se met à l’écriture des Fleurs du Mal. Baudelaire n’appartient pas à seulement 1 mouvement mais bien à 6 : Le symbolisme dont il est le précurseur, le réalisme, le naturalisme, le romantisme, la décadence, le parnasse. Il est à la quête de l’idéal et idéalise sans cesse la femme.
Dans ce poème, le poète nous immerge dans un moment de sa vie douloureux, dépressif où il se sent emprisonné par son environnement jusqu’à succomber au désespoir, dans le spleen : Baudelaire est dégouté de la vie.
Comment Baudelaire représente-t-il son spleen ?
- Montée de l’angoisse
2 PSCCT introduite par quand et que : effet de poids renforcée par enjambements
Comparaison : sentiment d’enfermement
Lié à météo : bas et lourd + jour noir : annule luminosité
Couvercle : limite
Horizon : pas immensité car devient un cercle donc enfermement total
Poète lié à l’humanité : nous
Noir absolu + nuit et ennui mis à la rime
M construction syntaxique mais 1 PSC : M sentiment, M atmosphère
Comparaison : idée d’emprisonnement avc substantif cachot
Personnification : espérance comparée à chauve-souris qui se cogne : impossible d’atteindre le beau, comparaison peu valorisante
Idée de l’eau s’empare progressivement des lieux : monde en déliquescence
Champ lex obscurité : circonstances ext suscitent le spleen
Lieu clos comme si poète progressivement enfermé
Nous disparaissons : enfermement ds solitude
M structure de la str
Evocation de la pluie : descr paysage triste
Hyperbole de la pluie : accentue enfermement
Comparaison : barreau de prison
Vaste : emprisonnement infini, pas de libération
Araignées personnifiées : peuple muet : angoissant
Au fond de nos cerveaux : dimension psychologique du spleen qui s’empare de l’homme
Organisation syntaxique de ces 3 str : caractère progressif et inexorable de l’angoisse. Ainsi le spleen s’empare du poète et le plonge dans un état qui semble sans retour
- Victoire du spleen
Syntaxe différente : effet de rupture
Métaphore des cloches : idée surréelle symbole de folie : révolte contre Dieu
Diérèse opiniâtrement pr accentuer son effet
Bruit s’empare de la str : chaos ds lequel B semble avoir hallucination collective
Changement important pr poète : souffrance étouffante str 1,2,3 laisse place au déchaînement des images qui mènent au tragique
Bruit assourdissant laisse place au silence
Longueur et largeur du cortège funèbre : une vision ? Point de départ ds réalité pas donné
Allégories espoir et angoisse brouillent frontière entre vision et réalité
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