Explication linéaire spleen Baudelaire

mouvements

analyse

procédés

-description d’un Roi « je »

-des divertissements qui sont inopérants

de la maladie à la mort

tentative des femmes

tentative du savant alchimiste

-la pluie traduit le spleen → « pluviôse » + vieillesse

-paradoxal sens ?

impuissant

→malade

→sexuelles

=dégoutté de la vie

-très vieux = temps qui passe se sent proche de l’amour

L’HORLOGE

-vers 4 montre une vie chaotique qui semble pas avoir de sens

-flatteries des percepteurs/courtisans hypocrites comme des marionnettes

-la chasse divertissements royale ne le divertit plus + s’ennuie : la chasse divertit plus donc pense à sa misère

-humain = bête

-peuple mourant de faim ?

→roi gère mal le royaume

exécutions ? Publiques

-bouffon distrait le roi humour grotesque mais y arrive pas donc →critique

-grotesque = bizarre= goût de Baudelaire

-reflets des pensées

pense à sa vie de misère

- « malade » →aggravation avec malade

→cherche à distraire de la cruauté

opposition lit fleurdelisé (pouvoir royauté)/ tombeau = transformation du vivant en mort comme sous nos yeux (emploi présent) alchimie poétique

tentative de garder en vie le roi en éveillant son désir pour sa femme ou autres

« pour qui tout prince est beau »= cherchent à le séduire ? Hypocrisie, souhaitent obtenir des faveurs

spleen tristesse roi, vision macabre

le savant alchimiste : ce qu’essaie de faire B

alchimie : transformer les métaux mais aussi les êtres, ici retirer ce qui est mauvais dans le roi (péché, spleen)

bains de sang= pour redonner force aux rois vieillissants (légendaire attribué plutôt aux Etrusques)

échec de l’alchimie= mort du roi, anéantissement mort de la poésie

-diérèse →pluvieux

= plus vieux

=très vieux

-souligne sonorité

opposition antithèse riche mais impuissant, jeune mais pluvieux

-vers éclaté

-voca de la chasse « chiens,gibiers,faucons »

accumulation de négation nasales N M

+assonance en I →souligne le passage

-v7 difficile à prononcé = efforts du bouffon

-synecdoque partie pour le tout « le front »

métaphore →lit = tombeau, mort qui mine toute la vie

allitération en « r » « t » qui souligne le vers, rythme la métamorphose

impudique antéposé : souligne indécence des femmes dans leur tenue pour séduire le roi/éveiller son désir

consonnes dures, assonances en « i » qui souligne passage

« souris » terme ancien, convient à ce poème qui évoque royauté des siècles passés

jeune squelette oxymore →encore jeune mais déjà comme mort

enjbnt v13-14 échec +jamais : sans espoir + passé composé = résultat peut pas changer

v14 difficile à prononcer : impossibilité de guérir

anaphore de « et » attente du résultat

« réchauffer »= redonner vie

image du cadavre après le squelette : perte de vie et perte sens (« hébété »)

sang devenu un fleuve des enfer qui provoque l’oubli

vert opposé au rouge= vert de la pourriture

allitération en « i » souligne fin