De nouvelles causes fédératrices : défense de l’environnement, protection de la biodiversité et nouvelle réflexion sur la cause animale.

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De Nouvelles causes fédératrices : défense de l’environnement, protection de la biodiversité et nouvelle réflexion sur la cause animale.

Depuis plusieurs années nous avons observés une reconstitution du lien social notamment dû à l’émergence de différentes causes fédératrices.

Le lien social est l’ensemble des relations qui unissent des individus entre eux à l’échelle d’une société. Les différentes relations de protections et de reconnaissances permettent d’assurer l’intégration sociale des individus en renforçant les valeurs communes et en permettant aux individus d’acquérir une identité sociale. Une cause fédératrice est quant à elle, une raison permettant le rassemblement des individus de manière à ce qu’ils défendent des intérêts communs ou encore des idéologies similaires. Par exemple on retrouve le progrès de la médecine ou encore la nouvelle réflexion sur la cause animale.

Mais aujourd’hui nous allons nous axer sur l’importance de la défense de l’environnement et de la protection de la biodiversité. Les espèces animales et végétales sauvages forment une incroyable biodiversité indispensable à l’équilibre naturel. Elles jouent un rôle important au sein de leur écosystème respectif, dans lequel l’humain puise ses ressources vitales. Or, à ce jour, plus d’une espèce sur trois est menacée de disparition, suivant différent facteurs biologiques associés au risque d’extinction comme la taille de population ou le taux de déclin. Par conséquent, il est primordial de protéger les espèces des menaces anthropiques en trouvant des solutions à l’échelle internationale.

Nous pouvons alors nous demander pourquoi la protection de la biodiversité et de l’environnement occupent une place si centrale dans notre société. Premièrement nous étudierons les causes qui ont mené à cette situation des plus alarmantes. Ensuite nous verrons qu’elles ont été les répercussions des actes de l’activité humaine à travers les cas de l’ours noir et du requin. Et enfin nous finirons avec la présentation du lien social que ces situations ont créée.

I/Les conséquences de l’activité humaine

Depuis plusieurs siècles, l’activité humaine ne cesse d’empiéter sur la biodiversité, jusqu’à en faire disparaitre certaines espèces.

De part les exploitations intensives des terres et des ressources naturelles, les méthodes de production ainsi que les surconsommations et les déchets qu'elles génèrent, l’humain dégrade de nombreux écosystèmes.

Ces phénomènes entrainent une dégradation à cause de la pollution considérable pouvant aller jusqu’à la perte du milieu des espèces voire leurs extinctions.  Parmi les activités responsables, nous retrouvons l’importante hausse dans la croissance démographique qui provoque un étalement urbain poussant ainsi à la destruction d’écosystèmes. De plus la période industrielle qui a grandement accentuée le réchauffement climatique, détruisant également les biotopes de certaines espèces de différentes façons. A cela s'ajoutent la pêche, l'aquaculture, la sylviculture, le tourisme et l'extraction de matières telles que les carrières. Tous ces phénomènes causés par l'humain, impact sur une longue durée et peuvent être irréversible.

II/ Le cas de l’ours noir

Le conflit homme et animal touche l’ensemble des espèces mais certaines sont particulièrement emblématiques sur le territoire national. Nous retrouvons l’ours qui autrefois menacé, prolifère aujourd’hui, une scène devenue banale aux États-Unis comme au Canada. Un ours faisant les poubelles. Les réseaux sociaux regorgent de ce genre d’images.

Promenade dans une station-service ou encore, tentative de rentrer dans une maison. C’est dans l’état du Montana que le phénomène est le plus inquiétant. Dans cette région encore très sauvage, il y a une augmentation de 30% de la population des ours noirs en seulement 10 ans. Une enquête scientifique constate que l’ours noir, n’est plus du tout comme autrefois une espèce en danger.

Néanmoins il peut former un danger pour les êtres qui l’entourent. Depuis le début de l’année 2018 on ne dénombre pas moins de 3 attaques mortelles d’ours au Canada sur des randonneurs. De plus d’après des témoignages, fin juin, un père et son fils se sont promenés dans les montagnes mais ils ont été chargés par un ours dans les Pyrénées. Les attaques des ours sur les troupeaux ont causé la mort de 527 bêtes de janvier à septembre en 2018 cotre 475 sur la même période en 2017.

Pour tenter de comprendre pourquoi ils s’approchent des villes, une étude consistant à prélevés des poils de ces ours grâce à des fils de barbelés accrochés aux arbres En plus du code génétique, ces poils donneront d’autres informations tel que sur ce que l’ours mange. Le manque de nourriture est la raison qui pousse les ours à quitter leur territoire sauvage. Les myrtilles sont une grande composante de leur alimentation mais avec le réchauffement climatique, elles se font de plus en plus rares. D’où la migration des ours vers des zones plus urbanisées.

 Nous pouvons alors tirer comme conclusion que nous sommes chez eux, c’est l’humain l’envahisseur. La poursuite de nos activités détruit leurs habitats au fil du temps.

III/ Le cas du requin

Concernant la pêche, les requins sont donc menacés d'extinction car le développement des activités humaines générant la surpêche amène à la disparition d'habitat naturel marin essentiel à leur survie. Le requin avec sa mâchoire puissante aux dents acérées, le requin fait peur et fascine tout à la fois. Aujourd'hui, massacré par les hommes, ce mal-aimé́ risque de disparaître. Ils sont présents dans tous les océans, les eaux tropicales chaudes, les mers tempérées et les mers polaires près de la surface, mais également à des centaines de mètres de profondeur près des côtes ou en pleine. Cette vaste répartition est le résultat d'une longue évolution qui s'explique par la parfaite adaptation de chaque espèce à sa "niche écologique".

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