Economie de l'environnement
Résumé : Economie de l'environnement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar annanz • 31 Mars 2023 • Résumé • 2 371 Mots (10 Pages) • 241 Vues
15/09/2020
Economie de l’environnement
Si l’on peut continuer de croire en notre problème sans prendre en compte les biens publics ?
Les biens privés : l’exclusivité et la rivalité sont les caractéristiques
Les bine publics : pas de caractéristiques (l’air que nous respirons est un bien public, l’environnement aussi). Le modèle économique contemporain est basé sur l’utilisation des ressources naturelles (pétrole par exemple pour les transports). Notre modèle est accompagné d’un certain nombre d’éléments vivants (pêche dans les océans, disparition des oiseaux). Notre modèle permet d’avoir une espérance de vie plus élevée, une éducation plus développée. Toute l’idée est de savoir si l’on peut continuer à croître en préservant nos biens communs. On peut comprendre très clairement que les écologistes pensent qu’on est entrain de détruire la planète. Ils émettent que si on va en détruisant la planète, il faut avoir des connaissances suffisantes pour pouvoir suppléer aux manquements. Pour les économistes, c’est ok mais pas pour les écologistes qui prennent en compte la destruction de ce qui est naturel. Tous les problèmes concernant l’env. ont commencé à partir des années 70, après le premier choc pétrolier (augmentation forte du prix du pétrole). Selon le rapport Meadows, il y a une nécessite de :
- Stabiliser le capital industriel (on ne devait pas beaucoup se diriger dans la multiplication des industries car elles tirent les ressources naturelles, cela va en augmenter en augmenter l’extraction des matières premières comme le cobalt, les minerais, le cuivre, etc.) ;
- Stabiliser la population mondiale (nutrition : nourrir un milliard de personnes en 1800 est différent de nourrir 7 milliards. Plus la pop augmente, plus les besoins augmentent. La nature ne pourra pas répondre à tous ces nouveaux besoins. On est toujours dans l’augmentation de l’extraction de matières premières : protéines, poisson, … Il faudrait maintenir la population à une certaine limite). Il y a une adéquation en Afrique : plus de production de coton que de production de riz, de cacao qui permettrait de nourrir une population sans cesse grandissante. Et cela cause la famine.
- Réduire la consommation de ressources naturelles non renouvelables par unité de produit industriel (il faudrait être inventif : si on veut produire des ordis, et qu’on a déjà extrait des ressources naturelles, on va encore utiliser du gaz qui va polluer)
- Augmenter la part des services dans l’éco ;
- Réduire la pollution, par unité de produit industriel ou agricole (utilisation de gaz,)
- Affecter en priorité le capital industriel à la production agricole, à la conservation des sols (on peut se passer de plusieurs choses : papier Sopalin qui viennent des arbres ; ne pas laisser le frigo ouvert, etc. On peut chercher à économiser dans plusieurs domaines)
- Augmenter la durée de vie du capital industriel (éviter l’obsolescence programmée sans vraiment de nécessité)
Si on peut mettre cet ensemble sur pied, on va réussir à répondre aux besoins de la génération présente sans compromettre la réalisation de ceux de la génération future. La génération précédente a mangé de saumon naturel, ils ont fini de manger le saumon naturel et ils ont acquis beaucoup plus de connn=aissances pour avoir la reproduction non naturelle du saumon. Ils nous disent que c’est du saumon qu’importe sa nature. Chez les éco, ils ont atteint le développement soutenable car ils ont trouvé les procédés pour nourrir la pop. Pour les écolos, le saumon naturel ne se remplace pas (il n’avait aucun antibiotique, il se conserve moins longtemps, pas d’OGM mais pas très sûr). La soutenabilité est différente dans les deux groupes. Les écolos auraient demander de limiter les besoins de saumon pour pouvoir permettre sa multiplication et permettre de nourrir les autres générations avec du saumon naturel.
Un indicateur de développement durable :
l’ENA (épargne nette ajustée ou épargne véritable) = ENN (nationale nette) + E (dépenses courantes d’éducation) – R (rente des ressources : épuisement de l’énergie des minerais et des forêts).
Si on exploite les ressources et on n’investit pas dans le capital humain, alors cette exploitation de ressources va se traduite par une réduction bcp plus importante de l’épargne nationale. Tout ce qu’on enlève à la nature va en diminuant et les économistes l’assument (R). L’idée est de dire que si le calcul est négatif, on n’est pas dans le développement soutenable ou durable et vice-versa. Le positif ne sera pas forcément positif toujours. Si on continue dans le positif, on est dans une trajectoire de développement soutenable. Voir schéma (voir Gnègnè 2009). On doit troyver un indice qui permet d’associer le revenu par tête à un élément important pour le développement tel que la santé, l’éducation (IDH). Les pays étant en tête sans souvent les pays nordiques (pays ayant des lois sociales). Puisque l’idée de l’ENA est de dire qu’on peut se développer maintenir sans compromettre le futur, on devrait avoir une relation croissance entre l’IDH et l’ENA. Dans le graphique, il n’y a pas de relation. Cela voudrait dire que l’ENA n’est pas un très bon indicateur en matière de développement selon les écoistes.
Lorsque l’on prend l’ENA et le revenu par tête, on a une relation positif si on prend en compte les écoistes. L’ENA détermine positivement le revenu par tête.
ENA = ENB (épargne nationale brute) – CCF (consommation de capital fixe)
Chapitre 2 : Pollution et environnement
La plupart des biens écoiques sont des biens privés (biens rivaux avec degré d’exclusion élevé entre biens purs et bien impurs : abonnement Netflix). L’environnement est un bien non rival (tout le monde peut en jouir) caractérisé par une non-exclusion, aussi entre biens purs (l’air) et biens impurs : l’env. est donc considéré comme un bien public.
Distinction entre polluant et pollution
Selon le BRGM :
Nous avons des besoins énergétiques, nous utilisons les ressources et en conséquence nous avons la pollution qui est un déchet. Le polluant est un produit, substance ou composé chimique responsable d’une pollution. On distingue les polluants primaires, rejetés directement dans le milieu naturel, des polluants secondaires qui proviennent des réactions sur les premiers, ou entre eux.
Pour avoir des bijoux en or, il faut utiliser du mercure pour pouvoir fractionner des roches. Pour exploiter le pétrole, nous sommes passés outre l’étape du pétrole conventionnel pour arriver au pétrole ou gaz de schistes. C’est le renouveau de l’exploitation de pétrole dans les pays tels que les Etats-Unis. On va chercher ce pétrole encore plus loin.
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