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Macro-économie et environnement de l’entreprise.

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Par   •  28 Janvier 2016  •  Cours  •  17 715 Mots (71 Pages)  •  1 060 Vues

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Macro-économie et environnement de l’entreprise.



Chapitre 1-La science économique.


Adam Smith, 1776 : « Une recherche sur la nature et les causes de la richesse de la nation », ouvrage important sur la science économique, il pose un problème simple qui est toujours d’actualité dut a la faible croissance du pays qui tourne autour de 3% (5% pendant les 30G.). La question de Smith se pose encore aujourd’hui, les questions de l’économie sont récurrentes.

Autre vision de Ricardo : analyser et faire le lien entre la répartition des revenus (salaire et profit) et la croissance économique.

  1. Des définitions de l’économie.

  • Raymond Barre : « La science économique est la science de l’administration des ressources rares, elle étudie les formes que prend le comportement humain dans l’aménagement de ses ressources. Elle analyse et explique les modalités selon lesquelles un individu ou une société affecte des moyens limités à la satisfaction de besoins nombreux et illimités. » Définition générale et basique de l’économie car on parle des besoins et des moyens. Fondement de l’économie : lutte contre la rareté.
  • Gary Becker : « Aujourd’hui le champ de l’analyse économique s’étend à l’ensemble des comportements humains et les [aux] décisions qui y sont associées. Ce qui définit l’économie ce n’est pas le caractère marchand ou matériel du problème à traiter mais la nature même de ce problème. Toute question qui pose un problème d’allocation de ressource et de choix dans le cadre d’une situation de rareté caractérisée par l’affrontement de finalités concurrentes relève de l’économie et peut être traité par l’analyse économique. »
  1. Les objets d’économie. (De quoi s’occupent l’économie et les économistes ?)
  • Que produire ?                                                                         

   La satisfaction des besoins des hommes est l’objectif de l’économie, les besoins sont définis comme illimités, ils existent en un très grand nombre. On distingue les besoins susceptibles d’être satisfaits par des biens libre qui existent en quantités illimités et que l’homme ne peut directement s’approprié par exemple des biens utiles : l’air, l’eau, le soleil, mais en revanche il les utilise et en a besoin.  Les besoins économiques qui sont susceptibles d’être satisfaits par des biens économiques, c-a-d des biens produits par l’homme a l’aide de facteurs de production (capital, travail, ressources naturelles), on définit le bien économique comme utile, rare et onéreux (le bien a un cout).

Nous avons donc des besoins illimités face à des biens limités ce qui oblige à faire des choix ; quels biens faut-il produire et en quelle quantité ? Qui doit produire ces biens ?

  • Comment produire ?

L’économiste montre qu’après avoir choisi les biens que l’on voulait produire il faut les produire à des couts minimums et ces biens doivent procurer le maximum de satisfaction. Produire au moindre cout suppose que soit choisie la combinaison productive optimale (ou technique de production) = telle quantité de capitale associé à telle quantité de travail ou de ressources naturelles pour permettre d’assurer la satisfaction la plus grande possible, cumuler cout le plus bas possible avec la satisfaction la plus haute possible. Plusieurs méthodes de productions étant disponibles (par exemple une qui utilise beaucoup de travail et peu de capital ou vice versa) on doit choisir celle qui économise, qui épargne le plus les ressources (donc le travail, le capital ainsi que les matières premières), on doit chercher à épargner les facteurs de productions qui sont relativement les plus rares donc les plus couteux pour utiliser au maximum les facteurs de productions qui sont relativement les plus abondants et donc les moins couteux. Un bien qui est rare coute plus cher qu’un bien qui est abondant (travail>capital le travail va être moins chère que le capital).

  • La répartition des revenus.

Plusieurs types :

1-Répartition de revenus lié à la possession des facteurs de production :

a) Revenus lié au facteur travail qui constituent principalement le salaire.

b) L’intérêt est la rémunération d’un prêt. Obligation : entreprise qui emprunte de l’argent a d’autres agents éco et qui devra rembourser a une période précise. Lorsqu’une entreprise lance une obligation. Elle est constituée de trois éléments : l’intérêt, la valeur de l’obligation et la période sur laquelle elle est faite. Définition taux d’intérêt. Quand la valeur de l’obligation diminue, le taux d’intérêt augmente.

c) les dividendes ce sont les revenus issues de la possession d’actions c.-à-d. de titres de copropriété d’une entreprise dont on partage les profits et les risques. S’il y a des profits on en touche une part = les dividendes et si contraire l’entreprise fait faillite. On en touche une part seulement en fonction des actions que l’on possède.

d) le loyer : revenus issue de la location d’un immeuble.

e) EBE : profit brut de l’entrepreneur avt les taxes des impôts

f) Fermage et Métayage : revenus issue  de terrain agricole. On a un loyer entre F et M .Les loyers pourront être versé en fonction du terrain.

2-Répartition des revenus lié a l’intervention de la fonction publique, l’Etat.

L état participe à la répartition des revenus :

-     En étant un employeur

  • En redistribuant les revenus, et cette redistribution se réalise par une ponction sur les revenus sous la forme  d’impôt et de taxe (ex : tva) puis une redistribution sous 2 forme pp : allocation de tte sorte, et de création de biens publique. Il faudra attendre le début du XX e s pour que l’impôt sur le revenus soit crée.

  1. Répartition des revenus liés aux mécanismes économiques eux-mêmes.

  1. L’inflation,  est liée en gde partie a la lutte des groupe s sociaux pr le partage du revenu national, lié a un rapport de force, capacité de s’imposer sur le marché = gagner de l’argent. La lutte traditionnelle : salaire/profit/prix. A partir de 82/83 désinflation compétitive = baisse du pouvoir d’achat des salariés .Inflation faible est imp car il faut être compétitive, on ne peut plus se permettre une forte inflation. En 81=> inflations de 13 %.
  2. Le commerce international : ex -> augmentation du prix du pétrole a entrainé l’augmentation des richesses des producteurs mais a entrainé la baisse des richesses des consommateurs due au prix élevé (cf Ricardo ).
  • Croissance et cycle :   (attention a bien savoir)

Def liée a la croissance :

  • Une éco est en état de croissce lorsque le volume de la pdtion de biens et services s’accroit d’années en années. Le volume c’est la valeur d’un bien auquel on a enlevé l inflation.
  • Une éco connait l état stationnaire cad une croissce nulle quand le volume de la pdtion de bines et services se répète a l identique d années en années, on a une croissance zéro cad qu’elle ne bouge pas.
  • Une éco connait une croissce négative qd le volume de la pdtion de biens et services diminue d’année en année.
  •  La croissce c’est mouv de long de terme qui est rythmé par des périodes successives de hausse et baisse d la production appelé «  cycle économique ». Vers les 3O G -> croissce qui augmente.  Vers XX e s croissce qui augmente de 3%. A partir des 18 e s apparitions de 2 new cycles :  

1/ Cycle industriel -> c’est le cycle Juglar « cycle des affaires »,  premier cycle Juglar  qui dure 10 ans  pdt les années 60 (ou cycle des affaires). Il est composé de 3 a 4 périodes : - expansion, elle va durer 4 ou 5 ans. Il y a une augmentation de l investissement, dc emploi aussi, dc pdtion aussi, revenus aussi, consommation aussi, investissement aussi, les prix aussi. Conséquences : Les tx de profit tendent a être réduit, au fur et a mesure que la conso augmente le tx de profit des entreprises baisse du ft de l’augmentation des salaires et du tx d’intérêts = la rentabilité de l’investissmnt est de + en + limité = fin de l’expansion et un événement qui se pdt : la crise éco. Elle va durer qq mois, c’est le passage d’une période d’expansion a une phase de dépression qui va être provoqué par les crises d’un bien particulier (crise du chemin de fer qui peut aussi entrainer une crise générale. Le cas de la bourse : période d’expansion = on achète des actions pour avoir de l’argent pour investir et en retirer des dividendes et un + value,  tt le monde spécule sr les actions en espérant ojd d’acheter a des prix bp + bas que demain en empruntant de l’argent et en pensant payer se qu’ils doivent + tard. Arrive à un moment , la valeur des actions est basées sr la valeur des entreprises qui n’a plus de rapport ac la valeur des actions , tt le monde se met à vendre , ceux qui emprunte ne peuvent + rembourser = faillite de l’entreprise et de la banque qui a prêté aux entreprises ne peut dc + prêter = baisse de la pdtion des revenus de l’emploi et de la conso des prix d’investissmnt = dépression=>3eme période  prix tellement bas que les entrepreneurs se permettent de réinvestir, la machine se remet en route= 4 eme période (la reprise) .Expansion crise , reprise de la dépression.

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