Les grands courants de la pensées économiques La période préindustrielle
Fiche : Les grands courants de la pensées économiques La période préindustrielle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marlene Bekalle • 29 Septembre 2016 • Fiche • 2 590 Mots (11 Pages) • 1 364 Vues
Fiche 1 : Les grands courants de la pensées économiques
La période préindustrielle
- La pensée thomiste
Concept du juste pris définit par le cout de production.
- Pensées mercantiliste
- Mercantilisme industrielle
Richesse utilisée pour inciter la production : Puissance étatique et interventionniste.
- Mercantilisme anglais
Idée d’exporter plus que l’on importe.
La période classique anglaise
- Adam Smith
Montre que l’intérêt individuel n’est pas contraire à l’intérêt général.
- Robert-thomas Malthus
Donne une dimension démographique (Le fait que la richesse ne croit pas systématiquement avec la population ; Limitation des naissances.)
- Ricardo
Théorie des avantages comparatifs.
Pensées socialiste
« Marx »
Fiche 2 : Comptabilité Nationale 1
Apres la seconde guerre mondiale, les besoins économique sont tels qu’ils nécessitaient le recours à l’arbitrage par rapport à l’utilisation des ressources disponibles.
Les acteurs économiques
- Les entreprises
Activité de production de bien et de services marchands à but lucratifs.
- Les ménages
Ensemble de personnes physique dont l’activité principales est la consommation
- Les administrations
Objectifs : Produire, redistribuer et réguler l’activité économique
- Les institutions financières
Assure les services financiers à tous les acteurs.
Les secteurs institutionnels
La comptabilité nationale a pour objectifs d’enregistrer tous les mouvements des agents économiques quel qu’il soit et qu’importe où il se trouve. C’est ainsi que nous sommes passées du PNB au PIB.
- Les ménages
Leur fonction première est la consommation mais ils peuvent aussi produire des biens et des services marchands. Ressources principales composé de revenu + produits de ventes + transferts effectué entre agents.
- Les sociétés non-financières
Produire de b/s marchands non financiers.
- Les sociétés financières
s/ d’intermédiation financière et exerce des activités financières. L’intermédiation financière consiste à prendre des fonds à ceux qui ont des moyens pour les verser à ceux qui en ont moins.
- Les administrations publiques
Production de services non marchands : Leur ressource provient des allocations prises aux autres secteurs (acteurs)
- Les institutions sans but lucratifs
Production de biens et services non marchands destiné aux ménages. Ress : versements des ad publics + contributions volontaires des ménages.
- Le reste du monde
Compte retraçant les relations éco entre les unités institu résidentes sur le territoire et non.
Les comptes
- Comptes de productions
Lien existant entre la Y et Cn Interm.
- Solde : VA
- Soc non financière + activité non marchande des l’ad publics + institution sans but lucratifs + activité marchandes des sociétés financières.
- Comptes d’exploitations
- VA + aides financières liées à la production.
- Solde : excèdent brut des revenus Primaires
- Comptes d’affectations de revenu primaires
- Met en évidence la façon dont sont utilisé les R issus directement de la Y : Solde brut des R primaires.
- Comptes d’affectations de revenu secondaires
- Revenu issus de la redistribution sociale
- Comptes d’utilisations du revenu
- Répartition du RD entre Cn finale et E brute.
- Compte du capital
- Compte décrivant la façon dont est utilisée l’épargne brut : Solde fait apparaitre la capacité ou le besoin de financement de l’éco.
Fiche 3 : On s’en fout un peu parce que c’est trop long.
Fiche 4 : Balance de Paiements
- Objectif : comptabiliser toutes les opérations commerciales, financière et monétaires entre un pays donné et le reste du monde. (Les productions produisent plus qu’elles ne vendent sur le territoire alors l’X et l’M sont très important et il faut trouver des marchés pour pouvoir liquider toute les marchandises.)
Principes :
- toute opération donne lieu à une double conséquence monétaire :
- Importation : Valeur négatif (débit) donc perte de valeur de la devise.
- Exportation : Valeur positif (crédit) donc augmentation de la devise.
- Balance de paiement toujours équilibré car tout X trouve un financement et tout M vient de l’étranger.
- Balance de paiement connait deux approches :
Transaction courante :
- Balance commerciale : échange de marchandise (balance du commerce ext)
- Balance des invisibles : regroupe les échanges de services/transfert de revenu/dons
Mouvement de K :
- K à long terme : mouvement supérieur a un an (crédit commerciaux, investissement de portefeuille, etc.)
- K à court terme : action financière inferieur a un an.
- Equilibre de la balance de paiement obtenu par la position monétaire du pays.
Fiche 5 : Les agrégats
Les agrégats macro éco
- VA : créée au cours du processus de Y, elle est égale a CA – CI
- PIB : sommes des VA de l’ens des agents éco résident sur le territoire national auquel vient s’ajouter les subventions faite dans le cadre de cette Y.
- Deux Types de PIB :
- Marchand : sup à 50% des CY
- Formule : VA + TVA + Droits de douane
- Non-marchand : inf. a 50% des CY
- Formule : R + Excèdent brut d’exploitation - subvention d’exploitation reçu + impôts
- PNB : Reference a la nationalité de celui qui Y dans ou en dehors du territoire nationale
- Formule : PIB + R du travail et de la propriété reçu du reste du monde - R du travail et de propriété versé au reste du monde.
- R national :
- R national : Sommes des R primaires
- R national brut : sommes de la Cn finale et de l’épargne nationale.
- IDH : indicateur de dev Humain calculé par le PNUD (longévité, l’instruction, condition de vie, PPA.)
- Investissement : Formation brute de K fixe (renouvellement des équipements etc…)
- Epargne : part du R qui n’est pas consommé, depuis Keynes on fait une distinction entre E/I.
- Croissance et taux croissance : Pour une ent la croissance signifie une augmentation durable de ses activités. Le taux de croissance est la variation du PIB sur une année.
Les agrégats financiers
Agrégats monétaires
- M1 : agrégats qui regroupe l’ens des moyens de paiement immédiats et direct.
- M2 : M1 + placement à vue et des dépôts à court terme.
- M3 : M2 + les prises en pensions
Agrégats de placement
- P1 : Epargne contractuelle et les bons de capitalisation émis par les assurances.
- P2 : toute les obligations + part de SICAV détenu par les agents financiers + réserve technique.
- P3 : est égale aux valeurs des actions et des parts de SICAV
Fiche 6 : La consommation
Définition
Consommation finale / intermédiaire
- Consommation finale : valeur de b/s conso pour satisf immédiatement un besoin.
- Cnf marchande : dépense totale hors prélèvement obligatoire et investissements.
- Non- marchande : services domestique et paiement partiels des services collectifs.
- Conso Intermédiaire : valeurs des b/s acheté par les ent, destiné à la production.
Propension à conso
- Propension moyenne à consommer : conso total au R national
- Propension marginale à consommer : r/ accroissement de la population sur l’accroissement du R
- Formule : c = ΔC/ΔY
Elasticités de consommation
- Elasticité prix/conso : variation relative de la conso suite à la variation relative du prix du b/s consommé.
- Elasticité R : variation relative de la conso suite à la var relative du R.
Les analyses explicatives.
Approche catégorielle (économiste)
- Les lois d’Engel :
- 1er loi : montre que la Cn baisse quand le R augmente, E.
- 2nd : Si R augmente, la conso diminue car élasticité prix des mêmes biens est inférieure à 1.
- Biens Giffen : p/r au bien de première nécessité ou encore bien inf. (bien pour lesquels la Demande baisse si R augmente). Elasticité prix/demande positive. On consomme le bien même s’il coute plus cher car on peut toujours se le permettre p/r a un autre bien.
- Bien de Veblen : s’intéresse à la conso de la bourgeoisie qui cherche à se distinguer avec des consommations dont les prix sont très élevés (luxe) on parle donc de bien supérieur.
La fonction de conso keynésienne
Pour Keynes, la conso est la principale fonction du R.
- Théorie du R relatif : groupe de consommateur qui chercherait à imiter la consommation du groupe qui leur est supérieur (effet d’imitation) par rapport. La conso va donc dépendre du R mais aussi de l’image que le conso veut donner.
- Ménage définissent leur conso par rapport aux dépenses de la classe supérieur (effet d’imitation)
- Ménage cherche à maintenir leur niveau de consommation p/r a la période de conso ou le R a été le plus élevé.
- Théorie du revenu permanent : dev par Friedman ; tout R se compose de R transitoire (argent que l’on a une fois en passant) et R permanent (flux stable).
- Théorie du cycle de vie : Modigliani dit que la conso d’un AE est divisé en 3 parties tout au long de sa vie.
- La vie non active : conso du a la richesse des parents
- Vie active : conso ne diffère pas de la première notamment grâce à un R qui permet l’E.
- La retraite : conso idem grâce à l’E ou à l’héritage.
Fiche 7 : L’investissement
- L’investissement comme la conso est indispensable à l’activité.
Définitions
- I Brut et I Net : Investissement brut = investissement net + amortissement (dépenses liées au renouvellement du capital dans un entreprise).
- Investissement autonome et investissement induit : Investissement autonome est indépendant du revenu national et investissement induit est la conséquence de l’accroissement de la demande finale.
- Investissement de capacité, investissement de remplacement, investissement de productivité :
- Investissement de capacité : lorsqu’on cherche à augmenter les capacités de production suite à une haute demande
- Investissement de remplacement : renouvellement du capital.
- Investissement de productivité : on cherche à améliorer le processus de production.
Déterminants et effets éco de l’investissement
Les déterminants financiers
- L’analyse keynésienne
La décision d’investir doit se faire en comparant l’efficacité marginale du K et le taux d’intérêt. Si l’efficacité marginale est supérieur au taux d’intérêt alors il est favorable d’investir. Dans le cas contraire, on n’investit par car ça va nous revenir plus cher.
- Les limites de l’analyse keynésienne
Certain investissement ne suivent pas cette logique (investissement de remplacement) et comparé l’efficacité marginale par rapport au taux d’intérêt n’est pas assez significatif.
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