LIN2752 – révision fin de session
Résumé : LIN2752 – révision fin de session. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anick Hébert • 5 Juillet 2021 • Résumé • 18 083 Mots (73 Pages) • 320 Vues
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LIN2752 – révision fin de session
Dimanche 25 avril
Brightspace
9 :30-11 :30
60 questions
Vrai/faux
Choix mutliples
Porte sur toute la session
Anatomie du cerveau et concepts de base :
Anatomie
- Anatomie générale du cerveau
- Les cellules du cerveau
- Le cerveau contient majoritairement des neurones (plus d’un trillion)
- Les neurones ont différentes formes et différentes longueurs
- La communication intra-neurone ce fait par signal électrique
- La communication inter-neurones ce fait par signaux chimiques et neurotransmetteurs
- Les neurones sont composés d’un noyau (soma), des dendrites (faisceaux de fibres qui recoivent le signal électrique à travers les neurotransmetteurs dans la synapse (grise)), des axones (transmettent signal électrique et sont recouverte de myéline (blanches)), et synapses (communication entre neurones).
- Synapse électrique : les cellules se touchent et sont reliées par de petits trous, permet à l’influx nerveux de passer directement de l’une à l’autre
- Synapse chimique : les cellules ne se touchent pas et l’influx nerveux a besoin de molécules particulières (neurotransmetteurs) pour frnachir l’espace entre les deux
- Neurtransmetteurs : molécules chimiques qui permettent au signal électrique de passer d’un neurone à l’autre
- Anatomie du cerveau
- Division majeures
- Vue coronale : séparer dans le milieu avant/arrière
- Vue horizontale : séparer dans le milieu haut/bas
- Vue sagittale : séparer dans le milieu gauche/droite
- Supérieur, inférieur, antérieur, postérieur
- Cerebrum, Corps calleux, diencéphale, tronc cérébral, cervelet, moelle épinière
- Corpus Callosum : principale connexion entre les deux hémisphères du cerveau. Constitut un faisceau de fibres
- Lobes
- Lobe frontal : impliquer dans la cognition, c’est le cortex moteur
- Lobe pariétal : cortex somatosensoriel
- Lobe temporal : Première aire de l’audition
- Lobe occipital : Première aire de la vision
- Sulci/Gyri
- Sulcus : sillon/fente séparant les gyri
- Gyrus : Circonvolution/repli sinueux délimité par les sulci, Renferment des structures
- Scissure longitudinale : sépare le cerveau en deux hémisphères
- Sillon latéral : sépare le lobe pariétal et temporal, très profonde, principalement horizontale
- Sillon pariéto-occipital : sépare le lobe pariétal du lobe occipital
- Sillon temporal supérieur : sépare le gyrus temporal supérieur et le gyrus temporal moyen
- Sillon temporal inférieur : sépare le gyrus temporal moyen et le gyrus temporal inférieur
- Gyrus temporal supérieur : renferme le planum temporale
- Gyrus frontal inférieur : renferme les « pars opercularis (Op) » et « pars triangularis (Tr) »
- Sillon central : sépare le lobe frontal du lobe pariétal
- Cytoarchitectonie : l’étude des différences d’épaisseur
- L’épaisseur du cortex n’est pas identique sur tout le cerveau
- Le cortex cérébral contient 6 couches avec des types de cellules neuronales et des fonctions différentes
- Les différentes aires architectoniques sont numérotées
- Elles sont nommées aires de Brodmann (BA) de Korbinian Brodmann, neurologue et neurophysiologiste
- Les 6 couches varient en épaisseur et en densité de cellules neuronales
- L’étude des différences d’épaisseur sert à identifier les bordures des régions du cortex
- Les aires différentes ont des fonctions différentes
- Variabilité anatomique
- Il y a de la variabilité anatomique à cause de l’expérimentateur, du type de test utilisé et des sujets analysés (cerveaux)
- Conséquences : la même pathologie peut avoir des symptôme variés, les mêmes symptômes peuvent découler de différentes pathologies
- Aire de Broca
- Fonctions :
- Une des principales zones responsable du traitement du langage
- Zone de production des mots parlés
- « Traduction en mots » de la signification de gestes liés au langage
- Implication en syntaxe
- Pathologie :
- Aphasie de Broca
- Emplacement :
- Aire frontal gauche
- Emplacement macroscopique :
- Pars opercularis (Op) et pars triangularis (Tr)
- Emplacement cytoarchitectonique :
- BA44, BA45
- Variabilité de l’emplacement chez les sujets
- Les cartes de probabilité cytoarchitectoniques sont utilisés dans les études d’imagerie (ex : IRMf)
- Aire de Wernicke
- Fonctions :
- Zone impliqueé dans la compréhension des mots et du langage écrit et oral
- Implication en sémantqieu
- Résolution de l’ambiguïté sémantique
- Pathologie :
- Aphasie de Wernicke
- Emplacement :
- Aire postérieure gauche
- Emplacement macroscopique :
- Planum temporale
- Bord antérieur du gyrus de Heschl (impliqué dans l’audition)
- Bord postérieur du gyrus temporal supérieur
- Le long du gyrus temporal supérieur
- Emplacement cytoarchitectonique :
- BA22
L’histoire de la neurolinguistique
Premiers modèles de langage
- Au 18e siècle il y a un débat au sujet de la relation entre le cerveau et le comportement
- Débat entre modularité et holisme
- Modularité : La fonction (le comportement) est localisé à des endroits spécifiques du cerveau (aires cérébrales spécifiques)
- Holisme : La fonction se trouve partout dans le cerveau sans localisation
- La première théorie modulaire : phrénologie
- Introduite par Franz Josef Gall
- Phrénologie :
- L’esprit humain est séparé en facultés (espoir, combativité, courage, langage…)
- Le cerveau est séparé en aires distinctes
- Il y a une relation de un pour un entre les facultés et les aires
- Une aire plus grande pour une facultés signifie une meilleure performance dans cette faculté
- La forme du crâne est identique à la forme du cerveau
- La phrénologie n’est pas une science
- Problèmes pour la phrénologie :
- Pas d’analyse statistique
- Les fonctions dont elle parle sont difficiles à définir et à quantifier de façon objective
- Le crâne n’est pas représentatif de la forme du cerveau
- Critique de la phrénologie par Jean-Pierre Flourens
- Lésion à des parties du cerveau
- Comportement non altéré ou réapprentissage
- Sa conclusion : pas de modularité
- Problème : études sur des poulets et des pigeons
- Problème : comportement simple (marcher)
- Apport : Technique de lésion pour déterminer la fonction d’une structure
- Les premiers à proposer une théorie de la modularité basée sur des faits scientifiques :
- Paul Broca (1824-1880)
- Carl Wericke (1848-1905)
- Avec cette théorie, le premier modèle du cerveau est développé
- Contribution de Broca au débat sur la modularité :
- Étude d’un patient avec lésion cérébrale (cérébrolésé)
- Patient célèbre : Leborgne (tan)
- Symptômes :
- Incapable de parler et répétait seulement « tan »
- Paralysie du côté droit du corps
- Autopsie :
- Lésion au lobe frontal gauche
- Le lobe frontal gauche (aire de Broca) est impliqué dans le langage
- Une lésion à l’aire de Broca est associée avec des déficits de production
- Notion de latéralisation du langage
- Dominance cérébrale
- Dominance de l’hémisphère gauche (en général)
- Mais l’hémisphère droit est aussi très impliqué (métaphore, émotions…)
- Contribution de Wernicke au débat sur la modularité :
- Étude sur des patients qui :
- N’avaient pas de paralysie
- Avaient un langae fluide mais vide de sens
- Entendaient mais ne comprenaient pas
- Autopsie : lésion au lobe temporal postérieur gauche
- Le lobe temporal postérieur gauche (aire de Wernicke) est impliqué dans le langage
- Une lésion à l’aire de Wernicke est associée avec des déficits de compréhension
Rôles des parties du cerveau
- Lésion : lésionner une partie du. Cerveau et voir ce que ça donne
- Études chea les animaux
- Études chez les humains (Penfield)
- Études de patients (Broca et Wernicke)
- AVC (accidents vasculair cérébral)
- Accidents
- Déterminer. Leur lésion et étudier leurs symptômes
- Double-dissociation
- Simple dissociation : Une aire. Du cerveau est associé à une fonction cognitive spécifique
- Double dissociation :
- Une aire du cerveau est associée à une fonction A mais pas B
- Une autre aire du cerveau est associée à une fonction B mais pas A
- Les deux aires sont dissociées
- Déterminé par des tests cognitifs
Modèles plus précis
- Affinement du rôle de l’aire de Wernicke
- Connectée à l’aire visuelle
- Lésion peut causer alexie
- Connectée à. L’aire motrice et sensorielle
- Lésion peut causer apraxie
- Rôle du faisceau arqué
- Aphasie de conduction
- Sons et mouvements langagiers gardés
- Compréhension gardée
- Incapacité de répéter
- 19e siècle : utilisation de méthodes électrophysiologiques
- Placer une électrode sur le cortex
- Passer un petit courant électrique
- Observer la modification d’’un comportement
- Conclusion :cette partie du cortex est responsable du comportement
- Ex : stimulation du cortex frontal droit = mouvement côté gauche du corps
- Stimulation du cortex postérieur droit ne donne pas pas de mouvement
- Geschwind. (1960) propose un modèle modulaire du langage
- Pour prononcer un mot qu’on a entendu :
- Le mot est entendu
- Activation du cortex auditif – Cortex auditif vers aire de Wernicke – Compréhension du mot
- Le mo compris doit être produit (répété)
- Connexion entre aire de Wernicke et Broca activée – Faisceau arqué
- Le mot est produit
- Activation de l’aire de Broca – Aire de Broca vers cortex moteur primaire – le mot est produit
- 20e siècle :
- Consensus sur l’existence de modules dans le cerveau
- Différentes aires cérébrales ont différentes fonctions
- Les différentes fonctions sont séparées les unes des autres
- Pas de consensus sur la définition du module
- Pas de consensus sur quels sont les modules
- Pas de consensus sur quelles fonctions sont associées à chaque module
- Exemple de théorie modulaire
- Fodor
- Critères et condition spécifiques pour la définition d’un module
- Application aux domaines perceptuels et cognitifs
- Proposition d’un module de langage
Les méthodes de recherche
Comment construire un test
- Hypothèse : la réponse qu’on s’attend à trouver à la question de recherche
- Basée sur la recherche bibliographique
- Établir une question de recherche
- Définir ce qu’on cherche à savoir
- Faire des observations préalables et voir ce que les autres ont observé avant nous
- Variable indépendante :
- Contrôlée par l’expérimentateur
- Représente la cause suspectée du comportement/processus mental auquel s’intéresse la question de recherche
- Il. Peut y avoir plus qu’une cariable indépendante mais il faut faire attention de garder les interactions claires
- Variable dépendante :
- La variable mesurée
- Représente l’effet de la variable indépendante sur un comportement
- Variable confondante
- Variable ou circonstance influençant les résultats
- Variable non désirée car elle introduit des biais dans l’étude
- La mesure :
- S’applique à la variable dépendante
- Montre la variation
- Représente le résultat
- Permet de tirer des conclusions
- Permet de confirmer ou d’infirmer l’hypothèse
- Il y a deux types de groupes de participants dans la plupart des études
- Le groupe test
- Le groupe qui répond à la question de recherche
- Le groupe pour lequel on s’attend à ce que la variable dépendante varie
- Le groupe contrôle (ou témoin)
- Ce groupe doit différer du groupe test par une propriété seulement
- On ne s’attend pas à ce que la variable dépendante varie dans ce groupe
- Permet de démontrer qu’il y a quelque chose de spécial dans le groupe test en lien avec la question de recherche
- Idéalement, le nombre d’hommes et de femmes doit être aussi égal que possible dans un même groupe (environ 50/50))
- Idéalement, le nombre de femmes et d’hommes doit être aussi égal que possible d’un groupe à un autre (entre le groupe test et les groupe contrôle
- Souvent on essaie d’avoir seulement des droitiers
- Dépend du type de test et du type de tâche utilisée
- L’âge des participants ::
- Ne s’agit pas seulement de différencier les enfants des adultes des sujets âgés
- Les participants doivent avoir sensiblement le même âge dans un même groupe et d’un groupe à l’autre
- L’âge influence le nombre d’années depuis qu’une langue est parlée
- Grande influence en apprentissage d’une langue seconde et en bilinguisme/multilinguisme
- Biais introduits par les participants ou le test
- Fatigue, café, expérience, habituation…
- Le type de test doit prendre ces facteurs en compte
- Nombre de participants
- Pour que les résultats soient fiables il faut un certain nombre de participants
- Ce nombre dépend du type d’’étude
- Les études de cas : 1 participant est suffisant
- Les études avec des cérébrolésés : entre 3 et 10 participants suffisent
- Les études avec des sujets sains : à partir de 30 participants/groupe mais préférablement plus de 30/groupe-
- Les stimuli sont ce qui est présenté aux participants lors d’un test
- Choisis en fonction de la question de recherche
- Choisis en fonction de la tâche et de la méthode employée
- La présélection
- Sert à déterminer quels stimuli sont adéquats et les plus susceptibles d’apporter des résultats intéressants
- La première ébauche de stimuli est présentée à un groupe de participants autres. Que les participants du test
- Propriétés des stimuli
- Ils doivent être similaires entre eux
- Types d’images similaires (couleur, taille, stéréotypicalité)
- Nombre de lettres, nombres de syllabes similaires
- Complexité similaire
- Fréquence d’utilisation similaire
- Tailles de champs lexicaux similaires
- Les conclusions
- Basées sur les résultats
- Basées sur les données statistiques
- Permettent soit de :
- Confirmer l’hypothèse
- Infirmer l’hypothèse
- Montrer qu’il faut plus de recherche
- La conclusion est la réponse à la question de recherche
Méthodes comportementales
- Mesures
- Temps de réaction
- Le temps en millisecondes que le participant prend à réagir au test, à fournir une réponse
- Rend compte de processus cérébraux
- Le temps que ça prend pour. Donner une réponse représente le temps que ça prend pour le traitement de l’information au niveau mental/cérébral
- Mesure « en direct »
- Nombres d’erreurs
- Cette mesure représente le nombre de réponse « fausses »
- Réponses différentes de la réponse attendue
- Erreurs dénotant un processus mental dans le traitement de l’information linguistique par le participant
- Types de tests
- Dénomination d’images
- Une image est présentée au participant
- Le participant doit nommer l’image qu’il voit
- On peut lui demander d’utiliser un nom seul
- Un nom avec déterminant (Défini ou non)
- Un nom avec un adjectif avec un déterminant
- Test servant principalement à tester le lexique (mental)/la morphologie
- Choix d’images
- On présente plusieurs images au participant
- Afin de réduire la possibilité qu’il obtiennent la bonne réponse par chance (2 images = 50% de chance, 4 images = 25% de chance)
- On présente un mot ou une phrase au participant
- Le participant doit choisir l’image qui correspond au mot ou à la phrase soit en appuyant sur une touche soit à voix haute
- Test pouvant servir à tester la syntaxe mais aussi le lexique
- Décision lexicale
- On présente un « mot » au participant
- Il peut être présenté visuellement à l’écrit
- Il peut être présenté auditivement à l’oral
- On demande au participant d’indiquer s’il s’agit d’un vrai mot ou non
- Le participant indique son choix soit en appuyant sur une touche soit en répondant à voix haute
- Test évaluant le lexique, la morphologie et la phonologie
- Amorçage
- Un stimulus (un mot) est présenté, c’est l’amorce
- Après un intervalle de temps un autre stimulus est présenté (un autre mot ou début de mot)
- Le participant doit soit compléter le début de mot soit dire s’il a déjà vu le mot soit dire s’il s’agit d’un mot (décision lexicale)
- On s’attend a. observer un effet de facilitation
- Le participant se souvient inconsciemment d’avoir déjà vu le mot
- Traduction
- Participants bilingues ou multilingues seulement
- On présente un mot ou une phrase au participant dans une langue donnée (à l’écrit ou à l’oral)
- On demande au participant de trduire le mot ou la phrase dans une autre langue
- On peut lui demander de traduire en ajoutant des éléments
- Jugements grammaticaux
- Une phrase est présentée aux participants
- Ceux-ci doivent d.cider si elle est grammatical ou non
- Fait appel aux connaissances linguistiques (principalement syntaxiques) intrinsèques des participants
- Se base sur l’idée qu’une personne parlant une langue à un niveau « natif » connaît implicitement sa grammaire
- Se base sur la théorie de la grammaire universelle
- Jugements de sens
- Variante du jugement grammatical : le jugement de sens
- Fait plutôt appel aux connaissaices sémantqieus des participants
- N’implique pas. Un problème au niveau de la structure de la phrase
- Se base sur la grammaire universelle
Méthodes instrumentales
- Les méthodes instrumentales permettent d’avoir une mesure plus directe des phénomènes pstchologiques et neurologiques
- Plus directe que les méthodes comportementales
- La plupart sont relativement non invasives
- Moins invasif que les lésions
- Permettent les. Études sur des sujets sains
- TMS (transcranial magnetic stimulation)
- Simulation magnétique transcranienne
- Permet d’inhiber une aire spécifique du cerveau
- Permet de simuler une lésion
- Permet d’exciter une aire spécifique du cerveau
- La base du signal :
- Un courant électrique passe à travers la bobine (en cercle ou en « 8 »
- La bobine émet un champ magnétique
- Le champs magnétique émit par la bobine induit un courant électrique dans une région du cerveau
- La région du cerveau dont les neurones sont stimulés est soit inhibée soit excitée
- Si elle est inhibée, on observe le. Comportement qui est affectée (lésion temporaire, simulée)
- Si elle est excitée, on observe le comportement qui est produit (ex : la main se met à bouger)
- Concepts expérimentaux :
- On présente une tâche exprimentale soit pendant la stimulation soit après la stimulation
- Pendant : TMS en direct
- Utilisé pour évaluer l’implication. D’une partie du cerveau tout au long de la tâche
- Après : TMS en différé
- Utilisé pour comparer l’implication d’une partie du cerveau avant et après stimulation
- Avantages et inconvénients :
- Avantages
- Simulation de lésion
- Étude de l’implication d’aires spécifiques du cerveau
- Inconvénients
- Restrictions pour les sujets épileptiques, cardiaques, enceintes…
- Un médecin doit être sur place pendant l’étude
- Permet d’étudier uniquement des aires en surface
- Manque de précision
- IRMf (imagerie par résonance magnétique fonctionnelle)
- Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle
- Montre la fonction
- IRM : imagerie par résonance magnétique
- Montre l’anatomie
- Matériel
- Aimant, bobine, bobine de fréquence radio
- Étapes :
- Champ magnétique principal
- Protons dérangés par. Pulsation de fréquence radio
- Protons réalignés sur le champs magnétique principal
- L’aimant
- Génère le champ magnétique
- Différentes intensités visent différents vaisseaux sanguins
- La bobine de gradient
- Électro-aiman
- Fait varier le champ magnétique de façon linéaire
- La bobine de fréquence radio
- Permet d’obtenir de meilleures images en augmentent le ratio signal/bruit
- La base du signal
- Champs magnétiques
- Pulsations radio et temps de relaxation
- Contratse entre les tissus
- Niveau d’oxygène dans le sang
- EEG (électroencéphalographie)
- Mesure de l’activité électrique du cerveau
- Donne de l’inormation sur le déroulement d’’un processus mental
- La base du signal
- Le signal EEG :
- Mesure « grossière » de l’activité cérébrale
- Représente une conglomération de différentes sources d’activité
- Les potentiels évoqués
- Potentiels électriques associés à des événements spécifiques
- Flux d’information
- Les potentiels d’action voyagent le long de l’axone jusqu’aux terminaisons
- Les neurotransmetteurs sont relâchés dans la synapse
- Les neurotransmetteurs changent le potentiel sur la membrane du neurone post synaptique
- Ces changmenets sont ce que le signal EEG mesure
- Particularités de tous les types de tests
- Avantages et inconvénients
Parole et troubles développementaux
Notions de phonétique et de phonologie
- La phonétique :
- L’étude des sons du langage oral humain et de tout ce qui le compose
- Comporte trois branche
- Phonétique articulatoire (production des sons)
- Phonétique auditive (Perception des sons)
- Phonétique acoustique (ce qui se passe entre les deux)
- Oscillogramme
- Les consonnes : l’état glottal
- Non-voisé
- Les cordes vocales sont relâchées et l’air peut passer librement
- En français : p, t, k, f, s…
- Voisé
- Les cordes vocales sont contractées et obstruent le passage e l’air provoquant une vibration
- En français : b, d, g, z….
- Les consonnes : lieu d’articulation
- Labial
- Bilabial (p, b, m)
- Labiodental (f, v)
- Dental ((t, d, l…)
- Alvéolaire (t, d…)
- Post alvéolaire
- Vélaire (k, g…)
- Les consonnes : la manière d’articulation
- Occlusives
- Nasales (m, n)
- Orales (p, b, t…)
- Fricatives (f, v, s…)
- Affriquées (ts, dz)
- Les voyelles : le degré d’ouverture de la bouche
- Fermé (i, y, u)
- Mi-fermé (e, o)
- Mi-ouvert. (ɛ, œ)
- Ouvert (a, )
- Les voyelles : la position de la langue
- Avant (i, y, e, a))
- Central
- Arrière (u, o)
- Les voyelles : l’arrondissement des lèvres
- Arrondies (y, u, o,œ)
- Non-arrondies (i, e, a)
- Les voyelles : la nasalité
- Orales (i, y, u, e, o, a)
- Nasales (ã, õ)
- Interactions
- La coarticulation
- La production de la parole n’est pas une série d’évènement isolés
- La résultante est l’articulation d’un son qui chevauche celle du son immédiatement adjacent
- VOT (Voice onset time)
- Temps de début de voisement
- Temps entre le relâchement d’une occlusive et le début des vibrations glottales pour la voyelle suivante
- Permet de faire la différence enre des sons qui diffère par le voisement et aussi entre de petites particularités pour un même son
- La phonologie
- L’étude de l’interaction entre les sons
- Elle étudie les phonèmes et les syllabes
- Elle est spécifique à une langue en particulier
- Phonèmes
- Unités distinctes
- Selon certaines théories, il s’agit de la plus petite unité de segmentation de la chaîne de parole
- Unité de construction de la syllabe
- Chaque langue possède un groupe de phonèmes pris dans le groupe de tous les phonèmes possibles
- À moins. De 10 mois on dstingues les phonèmes de toutes les langues
- Avec le temps, la perception s’adapte uniquement aux sons de la langue parlée
- Syllabes
- Paires minimales
- Permettent d’établir quels sont les phonèmes et quels sont les allophones
- On peut les représenter soit par les phonèmes isolés
- On peut les représenter dans des syllabes
- Elle permettent de distinguer des situations
- Deux phonèmes
- Un phonème et une de ses variations
- Deux phonèmes
- « paix » et « baie »
- Un phonème et ses allophones
- Ts et t en français
- Effets McGurk
- Nous faisons des erreurs de perception quand ce qu’on voit ne correspond pas à ce que l’on entend
- Entre les mouvements de la bouche et lessons vocaux
- Règles phonologiques et de syllabification
- Règles. Phonologiques
- Sont propres. Chaque langue
- Décrivent la façon dont les phonèmes peuvent s’organiser entre eux et les interactions qui peuvent en découler
- Règles de syllabification
- Propre à chaque langue
- Décrivent les suites de phonèmes qui créent des syllabes possibles
- Décrivent de quoi les syllabes sont constituées
Dans le mental/cerveau
- Études expérimentales de nous avons vues
- Auteurs
- Van Lancker & Canter (1982)
- Questions de recherche
- Quelles sont les étapes impliquées dans le traitement de la parole dans le cerveau?
- Est-ce que la perception de la parole est spéciale?
- Est-ce qu’il y a une sélectivité pour la parole dans certaines régions qui traitent l’information auditive
- Quels aspects de la parole sont traité où?
- Est-ce que les voix ont un statut spécial dans le système auditif?
- Méthodologie
- Choix d’images
- 7 images de personnes connues
- À chaque image on donne 4. choix
- Choix de voix (variante du choix d’images)
- 7 enregistrements vocaux de personnes connues
- À chaque enregistrement on donne. 4 choix
- Résultats
- Les patients avec lésions à l’hémisphère droite ont plus de difficulté à reconnaître les visages et les voix
- Les patients avec lésions à l’hémisphère gauche ont de meilleurs performances dans les deux tâches
- Interprétations et conclusion
- L’hémisphère droite est liée à des problèmes de reconnaissances visuelle (prosopagnosie) et vocale (phonagnosie)
- La prosopagnosie est souvent accompagnée de phonagnosie
- La voix est traitée de façon particulière dans le cerveau
- Latéralité
- Quelle hémisphère s’occupe du traitement des sons du langage?
- Les deux
- Hémisphère gauche
- Variations sonores rapides
- Intégration des phonèmes
- Hémisphère droite
- Variations sonores lentes
- Intégration des syllabes
- Intonation, prosodie
Troubles développementaux du langage
...
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