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Cas electra, la logique entrepreneuriale

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Par   •  14 Novembre 2017  •  Étude de cas  •  1 177 Mots (5 Pages)  •  1 197 Vues

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La logique entrepreneuriale

Schumpeter =

Il relie la figure de l’entrepreneur à prise de risque + innovation

5 innovations

  • Produit
  • Procédé
  • Organisationnelle ou managériale
  •  Matière première
  • Commerciale

Le business plan : un outil d’anticipation et pour convaincre les investisseurs

2 éléments : l’étude de marché et l’étude Financière

Pour l’étude de marché

  • Le plan de marchéage avec les 4P : le positionnement marketing avec prix produits distribution communication
  • L’environnement externe avec le macro environnement avec Pestel La concurrence la demande
  • L’environnement interne : les forces faiblesses ressources et compétences de l’entreprises, tangibles intangibles

Pour l’étude financière

  • Bilan
  • Compte de résultat

La logique managériale

Mintzberg

Il a défini 3 rôle au manageur :

  • Informationnel : il transmet des consignes il a fonction d’écoute et d’observation et de représentation.
  • Décisionnel : organiser un planning etc.
  • Interpersonnel : coordinateur

Ils sont reliés à plusieurs fonctions

Quelles sont les compétences attendu par les salariés :

  • Technique : qu’est ce que je dois faire et comment je dois procéder  
  • Politique : hiérarchie sa capacité à accéder aux ressources, bien vu par supérieur
  • Relationnel

Rôle hiérarchique et d’organisation

Tangibles

Organisation des ressources humaines

Financières

Physique

Intangibles

Savoir faire et compétences

Notoriété, réputation …

Les finalités de l’entreprise

Drucker

La première est financière, de faire du profit

« Ce n’est pas une fin en soit, ça ne doit pas être une cause mais une conséquence de l’excellence du management »

Créer de la valeur c’est la somme que sont prêt a payer les clients pour acheter la production de l’entreprise

Pour Drucker la première est une

Finalité économique : permettre l’échange, mettre en place une offre pour répondre à une demande

Finalité sociale : tout ce qui est lié au salarié, le collectif

Finalité environnementale 

Finalité sociétale 

Aujourd’hui on parle de RSE : domaine écologique sociale et économique

Management stratégique et opérationnel

Les 4 étapes du management d’entreprise :

  • Finalisation
  • Organisation
  • Stratégique
  • Mobilisation
  • Contrôle
  • Opérationnel

Le management c’est a la fois le lieux mais aussi le lien entre la stratégie et l’opérationnel

L’interdépendance essentielle entre les deux

La Performance

Alfred sloan, Kaplan et norton

Ramener la performance au domaine quantitatif

L’efficience = faire le mieux avec le moins rapport entre résultat et moyens

l’efficacité = rapport en objectif et résultat atteint

3eme indicateur : ceux liées à l’environnement, ceux internes et externes à l’entreprise

Pour exploiter cette performance sloan a mis en place les tableaux de bord de gestion

On retrouver des éléments quantitatifs

Puis tableaux de bord évolution années 90 avec apport de Kaplan et Norton avec des tableaux de bord prospectifs, qui s’articulent autour de 4 points :

  • La performance financière
  • L’efficacité opérationnelle

Les nouveautés qui correspondent à du plus immatériel

  • La satisfaction client
  • Le knowledge management ou capacité d’apprentissage de l’entreprise

Le processus décisionnel

Cyert, March, Simon

La rationalité limitée => Simon

Facteur endogène et exogène qui limitent la rationalité de la décision.

3 types de facteurs de contingence qui limitent la rationalité :

  • La structure de l’entreprise et son degré de centralisation (plus on centralise la décision plus elle sera détenue par un petit nombre et inversement) plus la décision est décentralisée plus elle rapide, pertinente mais elle pourra manquer de cohérence, et plus elle sera centralisée pus elle sera centralisée plus il faudra de temps pur aller recueillir cette information, moins de pertinence mais plus de cohérence.
  • Les différents facteurs internes ou externes à l’entreprise : le budget, le temps, les connaissances, les valeurs, la prise de risque du décideur
  • Le type de décisions : plus ou moins stratégiques ou opérationnels (court terme et plus facile)

Plus la décision sera stratégique plus on prendra le temps et les moyens pour décider parce que l’entreprise est engagée sur le long terme et décisions difficilement réversible

La théorie de Cyert et March :

Pour eux 3 points essentiels à la prise de décision

  • Naïve
  • Biaisé
  • Motivé (pas d’anticipation)

Pour limiter ces 3 écueils il faut mettre en place des règles décisionnelles ensuite de mettre en place un équilibre et un compromis et enfin accorder un maximum d’informations.

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