Aide à la décision en entreprise

UNIVERSITE[pic 1]

' •  [pic 2]

V&t/CJI I[pic 3]

L'ERGONOMIE[pic 4]

REALISER PAR:[pic 5]

[pic 6][pic 7]

[pic 8]

MASTER l        MIAGE

SOMMAIRE

1. Différents principes ergonomiques

1. La cohérence
2. Spécification du plan
3. Choix d’une métaphore d’interaction
4. Perception et interprétation

1. La concision

1. Abréviations
2. Copier-Coller
3. Valeur par défaut
4. Défaire refaire

1. Retours d’informations

1. Les erreurs
2. Informer et rassurer
3. Réduire la charge cognitive

1. Structuration des activités
2. Flexibilité

1. Différents principes ergonomiques

1. La cohérence

Il existe plusieurs logiciels qui permettent de lire des fichiers en format PDF. Parmi eux on peut citer l’outil Adobe Reader qui est très homogène. Très simple d’utilisation, chacune de ses actions essentielles sont présentées sous un menu principal à l’aide de boutons imagé très intuitifs. Dans les menus repartis par catégories sont stockées les actions plus complexes.

Les opérations d’exportation, d’impression, de modification d’un PDF sont rendues plus facile. L’interface est donc très ergonomique et agréable à parcourir.

[pic 9]

1. Spécification du plan

D’autre part pour les outils ayant de nombreuses fonctionnalités tel que Microsoft WORD il est impératif que le menu ne soit pas surchargé. Comme on peut voir ci-dessous Word respecte un menu organisé par thématique (Accueil, insertion, Affichage etc…). Cette méthode sous forme d’onglet permet d’éviter les niveaux de menus trop long et moins intuitif.

A contrario le logiciel de réalisation d’images et vidéos 3D

Blender (figure 2) a une organisation différente. Les menus sont

petits, les boutons sont disposés un peu partout sur la fenêtre et

certaines actions se font à l’aide des raccourcis clavier.

Cette organisation ne favorise pas l’environnement de l’utilisateur car il est facile de se perdre. On peut donc affirmer que Word apporte un soin particulier sur l’organisation des informations et des actions effectuées. Les utilisateurs peuvent effectuer une tâche plus vite tout en clarifiant au maximum le champ visuel et les diverses abréviations.

[pic 10]

Figure1 : Word

[pic 11]

Figure2 : Blender

1. Choix d’une métaphore d’interaction

Dans les navigateurs web tel que chrome ou explorer les

« marques pages » ont la même utilité que dans les romans. Chaque objet du navigateur correspond à une page que l’on peut garder en mémoire comme un post-it pour facilement retrouver les éléments importants sous la barre d’URL.

[pic 12]

1. Perception et interprétation

Prenons l’exemple de FileZila qui est un outil de connexion à un serveur FTP. Lorsqu’on essaie de se connecter rapidement sans indiquer d’identifiant ou de mot de passe, on reçoit instantanément une notification « clignotante » accompagné d’un son. C’est donc un pop-up composé d’une icône illustrant une mise en garde. Le son émit permet à l’utilisateur de rapidement porter l’attention à la notification. Ce type de notification permet d’interagir de façon approprié avec l’utilisateur pour lui indiquer les bonnes étapes à respecter pour la bonne utilisation du logiciel.

[pic 13]

1. La concision

1. Abréviations

Les interfaces tel que Sublime texte, phpStrom ou Notepad+ utilise l’auto-complétion, qui peut se définir comme le fait de terminer une tâche comme le remplissage d’un champ ou la saisie d’un mot.

Cette fonctionnalité est très utilisée par les utilisateurs qui n’ont qu’à jouer avec les premières syllabes puis choisir parmi les propositions.

[pic 14]

1. Copier-Coller

Entre les différents logiciels de la suite Microsoft office on peut remarquer que le copier/coller fonctionne très bien. Si on coupe des cellules d’un tableur Excel et qu’on les colle sur Word celui- ci va automatiquement créer un tableau Word. Et on peut tout de même copier une image sur le bureau de l’ordinateur puis le coller dans Word directement sans passer par le menu insertion.

1. Valeur par défaut

Plusieurs moteurs de recherche permettent aux utilisateurs de personnaliser leur interface. On peut prendre l’exemple de Firefox qui rend partiellement possible la personnalisation de l’interface. Elle donne à l’utilisateur l’occasion de choisir ses Marques-pages et aussi des éléments appelé « semi-statique » c’est le fait de choisir des options (panneau littéral, imprimer etc..) puis les ajouter ou supprimer du menu en effectuant un drap&drop.

L’utilisateur peut ainsi adapter la navigation à son bon vouloir et l’utiliser selon ses préférences. Mais cette fonctionnalité est moins présente chez chrome qui limite la personnalisation au choix du thème et de la police d’écriture.

...