Management organisationnel

La théorie à précédé la construction d ’outils et la mise en place de démarche structurée d ’analyse stratégique que l ’on appelait

alors « définition de la politique générale d ’entreprise ».

C ’est dans la « Harvard Business Review » que son publiés autour des années 60 ’ un certains nombre de textes fonadateurs. En

55 Kline développe les notions de « Forces et Faiblesses » et de leur nécessaire diagnostic. Igor Ansoff développe ses fameux

schéma Bysantins avec des boites symbolisant des étapes et des liens et boucle entre celles-ci première figuration d ’un processus

structuré faites d ’étapes s ’enchaînant les unes aux autres mais c ’est le modèle LCAG que l ’on retiendra le plus souvent comme

premier modèle synthétique de politique général. Les principaux éléments sont en place : L ’analyse concomitante de l ’interne

en termes de force et faiblesses et de l ’externe en terme d ’opportunités ou de menaces ce qui donnera la terminologie SWOT

(Streng, Weakness Opportunity, Threat en anglais) pour qualifier l ’ensemble des outils construits selon la même logique, puis la

définition et l ’évaluation de différents scénarios ou options stratégiques, l ’intégration des valeur du Dirigeant par le choix d ’un

scénario et de la responsabilité sociale de l ’entreprise, enfin la formulation de la stratégie opérationnelle.

Début des années 60 ’ c ’est aussi les premières expériences opérationnelles d ’application de ces schéma de plannification au

sein des grandes entreprise anglo-saxonnes (shell notamment) et au DOD (US Department Of Defence) par Mac Namara ce qui

donnera aux premier outils leurs lettres de noblesse.

Ce sont enfin les cabinets de conseil américain qui vont vulgariser ces approches par des outils de réflexion tout à fait nouveaux

pour les Directions Générales: les Matrices. La première Matrice AtttraitXatouts de McKinsey puis la percée du BCG grâce à sa

première matrice dont le principal mérite est d ’avoir vulgarisée auprès d ’un très grand nombre de décideurs et d ’étudiants la

discipline stratégique.

Ensuite c ’est l ’explosion d ’outils matriciels Mckinsey 2, BCG2, ADL, SRI pour ne citer que les principales. Chaque cabinet

développe ses propres approche en essayant de palier les faiblesses des matrices précédentes. Enfin au début des années 80 ces

outils seront très attaqués pour leur rigidité et l ’usine à gaz que devenait leur mise en œuvre. Le terme de Planification

stratégique va laisser la place à celui de d ’analyse puis de management stratégique renvoyant les experts trop techniques dan

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