SCIENCE POLITIQUE

Introduction a la science politique

Deuxième Partie :

Les Comportements Politiques

Chapitre 3 : L’électeur

Section 1 : Les variables lourdes du comportement électoral

Depuis 1970, tout ce qui constitue les déterminants du vote était un peu passé de mode. Les citoyens subissent toute une série de variable  qui ont une influence sur le vote. L’individu est influencé par beaucoup de facteurs --> les variables lourdes

1. Les recompositions du vote de classe

Dans les années 70, il y a eu des recompositions du vote de classe. --> influencé par le marxisme, c.a.d que les politologues ont cherché a trouver les variables du vote ouvrier.

On va ensuite étudier le vote des non-ouvriers.

Le déclin du vote ouvrier de la gauche c’est fait au dépend de l’abstention et bcp tourné vers l’extrême droite

A partir de fin 70, est apparu de nouveau clivages entre les groupes sociaux.

Les indépendants votaient plus a droite qu’auparavant

« Il faut que tout change pour que rien ne change »

1. L’effet patrimoine

Les sondés sous-évaluaient leurs revenus de peur d’être embêtés

• Donc prendre en compte leurs patrimoines

Sondage électoral: Abouti sur : la possession d’un patrimoine aurait des effets idéologiques et religieux

• Enquêtes pas très concluante

1. Le sexe et l’âge

(voir livre)

les femmes votent plus a droite

Section 2 : Electeurs stables et électeurs volatiles en France

Volatilité de l’électorat : 1970 : reconstituer les itinéraires des électeurs. 

73-78 : 14% d’instables 

Considérés comme faiblement intégrés. Ils rejetteraient les affrontement gauche-droite

Ces instables sont souvent des modérés qui aimeraient voir une alliance de la droite et de la gauche et ils sont considérés comme ayant un profil intermédiaire entre le parti de départ et celui d’arrivée.

2 facteurs :

• L’émergence a l’extrême droite du FN (extrême droite)
•  ?

86 ? : cohabitation

Finalement, gauche et droite gouvernent ensemble

Bipolarisme électoral

1. Appréhender la mobilité a partir des résultats électoraux

Les calculs en pourcentages ne prennent pas en compte les abstentions

• Résultats faux car ils ne prennent pas en compte la totalité de la population totale.

La mobilité électorale peut se calculer:

•  par apport au pourcentage des suffrages estimés. Ce qui fausse totalement les résultats

OU

• Analyser la mobilité électorale en pourcentage des inscrits. --> on fait apparaitre les abstentionnistes

Mobilité nécessairement forte.

Quand on analyse les pourcentages par apport aux abstentionniste, on voit que la mobilité est forte.

II) Mesurer la mobilité a partir des résultats d’enquêtes électorale

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