La consommation de la drogue à l'école
Fiche : La consommation de la drogue à l'école. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leger4801 • 4 Février 2020 • Fiche • 1 297 Mots (6 Pages) • 829 Vues
INTRODUCTION
La drogue qui est un composé chimique, biochimique ou naturel, capable d'altérer une ou plusieurs activités neuronales ou de perturber les communications neuronales. De nos jours beaucoup de jeunes se donnent à la consommation de la drogue à l’école. Et sont victimes de plusieurs échecs scolaires. Ainsi le thème la consommation de la drogue à l’école, face à ce thème nous parlerons des différents types de drogues, des causes, des conséquences et les moyens de lutte contre la consommation de la drogue à l’école.
I-LES DIFFERENTS TYPES DE DROGUE
1-Drogue douce
a- Les perturbateurs
Le cannabis ou d'autres solvants inhalant (Champignons Kétamine) en font partis. Ils agissent sur le système nerveux central (SNC) engendrant ainsi un double effet d'accélération et de ralentissement des processus normaux de l'organisme
b- Les stimulants
(Dont la cocaïne) : Ces drogues, par leur action sur le système nerveux central, produisent une accélération des processus normaux de l'organisme. Ils stimulent la vigilance ou l'humeur de l'individu qui les consomme, créant ainsi une dépendance surtout psychologique. Ils sont parfois utilisés comme médicaments (par exemple comme coupe-faim dans le cas des amphétamines). La poussée d'énergie qu'ils procurent apparait rapidement et est de courte durée.
c-Les dépresseurs
Ce sont des (l’alcool et le café noir) dont l'action sur le système nerveux central procure une sensation de détente, diminuant les sensations de douleur, ralentissant les réflexes, provoquant des étourdissements, agissant sur le sommeil. Elles comprennent notamment l'héroïne, la morphine et la codéine. Ces drogues sont aussi appelées drogues opiacées, car elles sont des dérivés de l'opium du pavot.
2-Drogue forte
a-Les hallucinogènes
Le terme (colles et solvants) s'applique à toutes drogues qui altèrent radicalement l'état mental de l'individu, avec distorsion de la réalité. Ces drogues, aussi appelées "psychédéliques" ou "psychodysleptiques", ont une action puissante sur l'esprit : désorientation, euphorie, hallucinations, troubles émotifs... Elles comprennent l'acide lysergique (LSD), la mescaline, l'ecstasy (3,4-méthylène-dioxyamphétamine).Le LSD est le plus puissant hallucinogène connus.
II-LES CAUSES DE LA CONSOMMATION DE LA DROGUE A L’ECOLE
1-Au niveau social
Les différentes raisons qui poussent les jeunes écoliers à consommer la drogue.
- on peut boire un verre d'alcool pour se détendre, vivre des moments de convivialité avec des amis de classe, pour le plaisir de goûter un bon vin, pour se sentir mieux ou surmonter un moment douloureux.
- fumer du tabac ou du cannabis pour faire comme les autres, pour se détendre ou se stimuler, pour un moment de plaisir partagé avec d'autres amis de classe, ou plus fréquemment parce qu'on ne peut plus s'arrêter.
- consommer de la cocaïne ou des amphétamines pour surmonter la fatigue et "briller en société" ou être "performant" dans son milieu ou encore ne pas avoir honte en classe.
- consommer abusivement une substance, cannabis ou héroïne par exemple, pour atténuer une sensation de malaise, rechercher l'oubli d'une souffrance ou d'une réalité vécue comme insupportable ou oublier une dépression.
- de ne pas aimer l'école
- de ne pas pouvoir parler facilement aux parents
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2-Au niveau physique
Une autre cause possible de la consommation de la drogue à l’école est le désir de stimuler ses capacités physiques ou psychiques. Les élèves pensent alors à tort que la drogue peut leur permettre d’être plus performant à l’école ou pour la pratique d’un sport en particulier.
La dépression et le stress font partie des troubles psychologiques qui peuvent amener certaines personnes à une dépendance à la drogue. Face à un état de profonde tristesse, d’absence de motivation et la désillusion, la drogue peut être vue comme une bouée apportant des sensations de plaisir que la personne ne ressent plus du fait de sa maladie psychologique ou de son état de déprime.
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