Femme et parentalité

Femme et parentalité dans le cadre des DF1 

Il ne faut pas confondre souffrance et responsabilité, la souffrance n’enlève pas la responsabilité de ses actes. Droit au respect a l’intégrité protéger à ne pas être menace pour penser l’intervention au prés des femmes victimes de violences et conjugales particulièrement on va voir 3 repères : contexte sociétal : 1 femme sur 10 déclare être victime de violence conjugale et meurt tout les deux jours et demi. Les

violences conjugales concernent tous les milieux sociaux mais si en tant que travailleurs sociaux on travaille plus auprès de personnes en situation de précarité. Il y a un rapport inégalitaire. Deuxièmement un contexte juridique: on est dans le cadre de la loi et de l’interdit des violences autrement dit la posture des auteurs de violences, la personne a le droit de ne pas supporter sa femme mais pas de recourir a la violence. Troisièmement, le contexte individuel et en particulier identifier les freins et les potentialités, on n' est pas tous égal au même traumatisme et que chacun réagis différemment au traumatisme, il faut prendre cette dimension la pour accompagner. En tant que professionnel il faudra faire un travail sur les émotions que l’on reçoit, car cela nous fait écho comment on pense le couple, les rapports hommes femmes, il faudra donc interroger ses propres représentations pour prendre les distances nécessaire par rapport à ce que cela peut nous renvoyer. La violence conjugal n est pas un fait isolé il faut que se soit répéter et régulier.

Quand on reçoit une personne les femmes demande les écouter et de les croire, faire attention aux questions que l’on va poser car elles peuvent rapidement se sentir déstabiliser, elle on l’impression que l’on remet en causes les perceptions et les choses qu’elles sont en train de dire. Préciser l’intention de pourquoi on pose cette question pour les aider et se repérer aux mieux, il faut se garder de faire des commentaires sur les auteurs de violences. Il y a des situations ou la femme est beaucoup centrer sur l’auteur on invite alors la personne a ce centrer sur elle-même, car elle croit beaucoup en la toute puissance et le travail d’accompagnement c est les inviter a de se déconstruire ses représentations là. Il faut remettre l’auteur dans sa place d’humain et plus dans sa place de toute puissance, comme lorsque l’educ accompagne à ce que la femme parte et quitte le domicile familiale. Le départ en cachette est une stratégie à faire.

L intervention est différente si c est une situation conflictuel ou de violence avéré et répétitive, les femmes qui partent n’ont plus rien et repartent à 0. La question des violences, il n y a pas de violences mineure ni de violence majeure. La honte est un sentiment omniprésent, et se sente responsable de ce qu’elle vive, comme si elles avaient provoqués la violence de leur compagnon.

Il y a la question de la jalousie qui est omniprésente, les hommes pensent que la femme couche avec toute la ville. On va pas qualifier de viole si la femme ne qualifie pas de viole la situation, on en rajoute pas du traumatisme eu traumatisme.

L’homme est dans un transfert des responsabilités, oui mais je t ai frappé car tu t es habillé comme ça, tu as fait ça,… .

Film : jusqu’à la garde, voir magistrat Edouart Durand

Les personnes victimes de violences conjugales sont en situation de stress, de menaces, ce qui domine c’est la peur lié aux traumatismes subis et menaces des violences qui vont être à nouveaux commise. Engendre un stress post traumatique de l’enfant, le père qui fait subir des violences conjugales entraine également un déficit, des violences dans le rôle de parentalité. Ils sont intolérants à la frustration,

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