Dissertation sur le bonheur de l'homme.
Analyse sectorielle : Dissertation sur le bonheur de l'homme.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar berhan koz • 6 Février 2017 • Analyse sectorielle • 515 Mots (3 Pages) • 1 492 Vues
Dissertation
Tous les jours, un homme sur deux n’apprécie pas la situation dans laquelle il vit. En d’autres termes, peu d’hommes approuve ce qu’ils possèdent. Si on ne peut pas satisfaire nos d »sirs, il faudrait apprendre à apprécier ce que l’on a. C’est ce qu’exprimait Roger Rabutain dans le Compte de Bussy : ‘’Quand on n’a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a.’’.
Dans notre société, lorsque notre entourage est aisé, nous vivons constamment dans l’envie. Par exemple, un ami qui achète la nouvelle BMW suite à un héritage, son voisin qui travaille très dur le convoitera car il n’est pas à sa hauteur. Cette impossibilité de satisfaire ses désirs peut amener l’individu à la frustration. Nous voulons constamment posséder les mêmes biens matériels que les autres ? Cette déception peut nous conduire à la dépression. Or, il faut être reconnaissant de vivre sous un toit et se nourrir à sa faim.
D’autre part, dans les relations familiales, il faut apprendre à ses rêves impossibles et aimer ce qu’on a. En effet, beaucoup de parents divorcent suite à des érosions des sentiments. L’enfant qui rêvait de grandir dans une famille unie, voit ses rêves disparaitre. Cette enfant peut être confrontée à des problèmes psychologiques. Il doit surmonter cette situation et être ravie d’avoir toujours ses parents en vie.
Ensuite, de plus en plus de jeunes sont mécontents de leur aspect physique. Une personne qui est mal dans sa peau, peut se causer des problèmes de santé. Par exemple, une fille en surpoids qui passe ses journées devant les magazines de mode, elle va désirer ressembler à une mannequin. Elle pourrait par ses envies être confrontée à la boulimie. Il faut donc renoncer à des fausses images et accepter les différences de chacun.
En revanche, si tout le monde se contenter de ce qu’ils ont, il y aura une absence de progrès. En effet, il y aura un risque que l’homme abandonne la lutte à la résignation.
Finalement, pour aimer ce que l’on a, il faut déjà avoir quelque chose. Par exemple, peut-on dire à un sans-abri d’aimer ce qu’il a, alors qu’il ne possède rien ? Par conséquent, cette vision est réductrice, pour être comblé par sa situation, faut-il pas posséder un minimum pour survivre ?
En conclusion, il est vrai que l’individu doit se contenter de ce qu’il a pour survivre cependant, il ne faut jamais tomber dans une situation de frustration ou de manque.
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