Création de la nouvelle fantastique
Dissertation : Création de la nouvelle fantastique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elsossa • 18 Novembre 2020 • Dissertation • 947 Mots (4 Pages) • 513 Vues
Création de la Nouvelle Fantastique :
1er étape : Je choisis le phénomène fantastique : Le diable (Je voudrais qu’il propose un marché aidant le personnage mais étant le diable il y aura une contre-partie importante).
2eme Etape : Narrateur et Cadre : Sa femme et morte il cherche a tout pris A la revoir une fois puis Le diable lui apparait sous forme d’ombre et lui propose un pacte. ( à 3h33).
Cadre ; L’histoire est raconté sous légende avec par un barmann.
Cette année-là, nous étions partis dans une taverne pour fêter le nouvel an. Derrière le comptoir, se dressait un barman imposant. Je remarquai qu’il lui manquait l’oreille droite. Ce détail m’intrigua, puis je n’y pensai plus car je rejoignis mes amis et me mêlai à la joie de ce réveillon. A la fin de la soirée, alors que minuit approchait et que tous les clients du bar avaient déjà bu plusieurs verres, je m’approchai du barman pour lui demander si avec une seule oreille, il arrivait à tout entendre.
Il esquissa un sourire puis me dit : « J’entends très bien ». J’osai lui demander pourquoi il était amputé. Il perdit son sourire et resta muet pendant quelques minutes. Puis il me demanda si j’avais le temps d’écouter un long récit. Je m’installai confortablement sur le tabouret au comptoir pour lui montrer que j’étais prêt à l’écouter. Voilà ce qu’il me conta : (raconta)
« Je vais vous raconter une histoire bien extraordinaire que j’ai vécue. Vous la croirez ou non. Un soir comme celui-ci, la veille d’une nouvelle année, alors que j’étais avec ma femme qui était tout pour moi, je la perdis brusquement. Ma femme mourut à la sortie d’un restaurant : elle s’effondra sur le trottoir (à la sortie d’un restaurent, ma femme s’effondra sur le trottoir et mourut.)
A peine le temps de la prendre dans mes bras que son cœur ne battait plus. Je n’avais plus qu’entre les bras un cadavre avec au cou le collier de perles noires que je venais de lui offrir pour preuve de mon amour qui ne vieillissait pas avec le temps. »
Je me demandai où voulait en venir ce barman et le rapport avec son oreille coupée.
Il reprit : « J’entrai dans une soudaine dépression. Ne pouvant plus supporter la perte de ma tendre aimée, je tentai désespérément de l’oublier mais tout me ramenait à elle. Je décidai le lendemain même de sa mort de me séparer de tous les objets qui avaient appartenu à ma femme. Je commençai par m’occuper du collier de perles noires qu’elle avait porté le jour de son décès. J’allai trouver un joaillier situé dans une ruelle proche de mon appartement. Je n’avais jamais remarqué cette boutique auparavant. L’enseigne portait le nom : « Rêves obscurs », les lettres étaient peintes en blanc sur un fond noir. Le joaillier était un petit homme au visage rond perdu dans sa boutique sombre où il n’y avait presqu’aucun bijou. Il se dirigea directement vers moi pour me prendre le collier des mains. Il voulut bien me le racheter à un prix raisonnable. A cet instant, je marmonnai « je donnerais n’importe quoi pour la revoir… ». Le vendeur m’entendit et me tendit, en plus de l’argent du collier, une petite boite en me précisant de l’ouvrir durant la nuit. Je rentrai chez moi en ne songeant plus à la boîte. En revanche, je pensais sans cesse à me chère femme.
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