Nouvelle Fantastique

HISTOIRE FANTASTIQUE

Charlie Montgomery et ses parents ont entreprit un voyage familial en Europe. Leur premier arrêt fut les catacombes de Paris. Le père de Charlie avait une passion pour les catacombes et de leur histoire, de plus il voulait tenter de découvrir ce qui était arrivé à son oncle Daniel, disparu pendant l’été 2009, lors d’une visite semblable à Paris. Lors du tour guidé des fosses souterraines, Charlie s’éloigna de ses parents et se dirigea vers une salle remplie d’ossements et de têtes de squelettes. Il découvrit alors, dissimulés dans une pile d’os à l’écart, un livre relié de cuir et tout poussiéreux. Il ressemblait étrangement à un journal personnel. Il l’ouvrit et sous l’écriture délavée de la première page, il crut discerner le nom de son grand-oncle Daniel de MONTGOMERY. Curieux et surtout intrigué, il débuta la lecture de ce journal.

22 Juin, 2009

« C’était une journée pluvieuse et déprimante. Le ciel gris tirant sur le noir faisait ressortir les couleurs de la nature. Ce fut à ce moment là que je décidai d’appeler ma petite amie Juliette pour lui proposer d’aller en voyage. Cela faisait une éternité qu’elle voulait aller en Europe pour visiter les monuments et les lieux historiques. Je réservai donc nos billets .

24 Juin 2009

J’allai la chercher en voiture, vers midi et nous prîmes l’avion en direction de Paris. Nous y arrivâmes vers 18h30. Pour satisfaire mon amie qui tenait tant à loger non loin de la fameuse Cathédrale Notre-Dame, je choisi le Hilton NoterDamis. Nous logeâmes dans une suite. Je pris la décision de nous rendre aux catacombes la dernière journée de notre voyage culturel et amoureux pour faire une surprise à ma copine. J’avais entendu d’étranges faits dans les nouvelles comme quoi les squelettes prenaient vie, mais je n’y prêtais aucune attention tellement j’avais hâte.

25 Juin 2009

La première journée de notre voyage, j’ai apporté Juliette au musée du Louvre qui nous prit une journée entière à visiter, puisqu’on lisait les descriptions des tableaux, des statues et tous les autres objets d’arts dans le musée qui nous intéressait.

26 Juin 2009

Aujourd’hui, c’est Juliette qui décida de l’itinéraire de la journée. Nous allâmes au sommet de la Tour Eiffel et Juliette rapporta plusieurs clichés de cet endroit. Avant d’aller prendre le repas du soir, Juliette et moi somme allés voir une partie de football opposant le Paris Saint Germain et l’Olympique Lyonnais au Parc des Princes à quinze minutes de la Tour. Ce soir là, le club de football parisien avait lessivé celui de Lyon. J’étais très content puisque le P.S.G était une de mes équipes préféré tout comme le F.C.Barcelone. Ma fiancée et moi mangeâmes au «Chicarestaurante», un restaurant 5 étoiles au milieu du centre-ville de Paris. Nous dégustâmes plusieurs plats typiques français que Juliette trouva particulièrement bons sauf le fromage Bleu à la fin du repas. Après un longue marche en amoureux main dans la main le long de la Seine, Juliette et moi nous sommes enlacés et nous sommes mis se chuchoter des mots doux et gentils comme deux âmes soeurs. Juliette et moi restâmes ainsi pendant plus de trois heures avant de s’endormir dans les bras l’un de l’autre.

27 Juin 2009

Je me levai tôt et sans réveiller toutefois mon amie. Je voulais lui préparer un déjeuner au lit; ce qui habituellement lui plaît beaucoup. Cependant quelque chose de bizarre s’était produit pendant la nuit. Quant Juliette se réveilla, elle commença à m’insulter dans une langue qui ressemblait à du latin; on aurait dit que le diable s’était emparé d’elle. Voici quelques insultes qu’elle me lança:

« -fatuus

brutus

bruti

compressor

...»

Je ne voudrais pas traduire ces mots dans mon journal puisque je connais bien le latin et qu’ils sont un peu offensifs pour les jeunes gens. Tout en sortant du lit, elle prit une voix grave comme celle d’un lion qui rugit et me dit le message suivant en parlant allemand ou une langue dans ce coin de pays:

« -Lassen Sie vor Freitag oder die euch fluchen widerfahren wird.»

Je notai cette phrase dans mon calepin. Je ne sais pas ce que cela voulut dire mais je me promis qu’à mon retour au Canada, j’entreprendrai de faire une recherche approfondie sur cette phrase. Juliette s’évanouit après son dernier mot. Elle s’affala sur le sol comme une feuille quand elle tombe de l’arbre. Je la pris dans mes bras et la transportais à notre cocon d’amour. Je restais à son chevet jusqu’à son réveil. Ce dernier fut brutal : ses bras et ses jambes s’agitèrent dans tous les sens, elle avait des sueurs froides sur tout le corps et avait un visage exsangue. Elle se débattu ainsi pendant quelques minutes comme lorsqu’on chasse les mauvais esprits d’un corps. Elle me montra ensuite ses belles prunelles bleu ciel masquées par quelques fines mèches de ses cheveux châtains. Elle me demanda si j’allais bien avec sa voix normale, celle que j’adorais entendre entendre particulièrement le matin alors que je me réveillais. Je répondis que tout allait à merveille même si au fond de moi, j’étais encore troublé par les évènements des dernières heures.

28, 29, 30 Juin 2009

Pendant ce cours laps de temps, nous visitâmes la plupart des monuments historiques à l’exception de l’Arc de Triomphe et des catacombes.

1 Juillet 2009, 9h30

Le vendredi

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