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Principe Administratifs Entreprise Securiplus

Compte Rendu : Principe Administratifs Entreprise Securiplus. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Mars 2014  •  880 Mots (4 Pages)  •  2 175 Vues

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En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.

Henri Fayol a établi 14 principes administratifs soient; « la division du travail , l'autorité et la responsabilité , la discipline , l'unité de commandement , l'unité de direction , la subordination de l'intérêt individuel et l'intérêt général , la rémunération , le degré de centralisation , la hiérarchie , l'ordre, l'équité , la stabilité du personnel , l'initiative et l'union du personnel.»1 L'entreprise Sécuriplus, correspond à quelques-uns de ces principes mais, selon moi, ne les respectes pas tous. Pour débuter, je vais vous énumérer les éléments qui correspondent aux principes administratifs. En se basant sur la figure 1, nous pouvons déterminer plusieurs de ces fondements tels que; la division du travail, l'unité de commandement, l'unité de direction, la hiérarchie et le degré de centralisation. La division du travail est clairement adopté au sein de cette entreprise, elle contient plusieurs divisions qui sont par la suite divisées en plusieurs groupes. En répartissant les tâches dans ses différents groupes, tous les employés connaissent leurs rôles et responsabilités ce qui permet d'accroître la productivité. De plus, la société respecte le principe de l'unité de commandement, chaque unité a son directeur, ce qui permet d'affirmer que l'unité de direction est aussi respecté, car tous les employés se rapporte à un seul chef ayant tout le même but. La hiérarchie est bien démontrée avec l'organigramme de la figure 1, elle suit une ligne hiérarchique, donc tous les employés sont en mesure de déterminer où il se situe dans l’échelle. Nous pouvons assumer en observant le petit nombre de niveaux hiérarchiques que la prise de décisions direct a lieu entre les directeurs ce qui voudrait dire qu’un degré de décentralisation est suivi, selon moi , la centralisation a pour effet que seule la vision du patron compte, ce qui n'est pas le cas chez Sécuriplus . Si nous nous basons sur le schéma de la figure 2,  nous pouvons déterminer qu'il y a une discipline d'instauré au sein de cette entreprise. À chaque jour, les demandes de réclamations suivent un processus détaillé, ce qui nous permet de conclure que les membres respectent la convention explicite établie. De plus, nous pouvons assumer qu’il y a une stabilité du personnel, si je me base sur une conversation que M. Blanchette a eu avec une de ses employés qui a trois années d’expérience « Marie-Line tu as autant d’expérience que tout le monde ici, pourquoi est-ce que tu te plante aussi souvent? »2 Ceci nous laisse sous-entendre que la plupart des employés ont acquis de l’expérience au sein de l’entreprise ce qui favorise son succès. Le dernier point qui correspond aux principes serait l’équité, en me basant sur ce qui est mentionné dans le texte et les interactions que M. Blanchette a eu avec deux de ses employés, il fait preuve d’équité, il utilise les mêmes termes et procédures pour tous. Abordons maintenant les trois points que je juge qui ne correspondent pas aux principes fondamentaux de Taylor : l’initiative, l’autorité et la responsabilité et l’union du personnel. L’initiative n’a pas lieu ici, lorsque son employé Olivier Le Scelleur lui fait une proposition et je cite : « Il estimait que les employés aux réclamations devraient être consultés afin de pouvoir expliquer les erreurs et de suggérer des façons d’améliorer les choses.»3 M. Blanchette a catégoriquement refusé sa proposition et mentionne « Pouvez-vous imaginer ça! Pour commencer, si les résultats de cette étude devenaient publics, chaque damné client demanderait une remise ou un remboursement en alléguant que nous nous sommes trompés sur ses réclamations.»4 Si M. Blanchette prendrais en considération l’offre de son employé il pourrait avoir une amélioration au niveau de l’inexactitude et ainsi améliorerais la qualité du travail. Poursuivons maintenant avec l’autorité et la responsabilité, même si M. Blanchette fait preuve d’autorité il se dégage de ses responsabilités telles qu’indiquer dans le texte : « S’ils prenaient leurs responsabilités à cœur, les choses iraient beaucoup mieux dans le service.»5 M. Blanchette donne de nombreux avertissements à ces employés mais n’agit pas en conséquence. Il a une figure autoritaire, mais se dissocie quelque peu de ses responsabilités. « La direction ne serait pas exactement satisfaite de moi si une telle chose devait s’ébruiter et mon service aurait encore plus mauvaise réputation en haut lieu.»6 Comme le mentionne Taylor : « Il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs »7 Le dernier point que M. Blanchette ne respecte pas est l’union du personnel, M. Blanchette a envoyé a mainte reprises des avis écrits à ses employés. « J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyés à tous mes commis pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail.»8 Selon Fayol, « il faudrait privilégiés les communications verbales plutôt qu’écrites »9 . Pour conclure, l’entreprise Sécuriplus adopte la plupart des principes fondamentaux de Fayol, par contre, les principes qui ne sont pas adoptés, pourrais favoriser la gestion de l’entreprise si utilisé.

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