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La croissance économique dans une économie dynamique

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Par   •  17 Avril 2013  •  418 Mots (2 Pages)  •  1 178 Vues

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Dans une économie dynamique (c'est-à-dire en changement permanent), la croissance économique est assurée :

• soit par un accroissement des quantités de facteurs de production mobilisés,

• soit par une amélioration de la combinaison productive de sorte que la même quantité de facteurs engendre davantage de produit,

• soit par le progrès technique (dans le modèle de Solow), qui augmente la productivité globale des facteurs.

On parlera donc selon le cas de meilleure productivité du travail, ou de meilleure allocation des ressources ou des facteurs.

En considérant le PIB comme une fonction du capital et du travail, la croissance résulte de trois paramètres :

• la quantité de capital utilisée,

• la quantité de travail utilisée,

• et la productivité globale des facteurs.

Les nouvelles théories de la croissance et du développement économique s'efforcent de faire de la productivité un facteur endogène, que l'on explique par des variables telles que :

• l'effort de recherche et développement, et l'investissement dans le travail (effort de formation), lié à la notion de capital-savoir,

• l'effort d'investissement collectif en infrastructures, matérielles (routières, de télécommunication) ou non (infrastructures institutionnelles, comme : système juridique, réglementaire, monétaire, éducatif, etc.)

Évolution du concept : des physiocrates à l'économie du savoir[modifier]

Pour les physiocrates, la terre était considérée comme le principal facteur créateur de valeur et l'unique source de la croissance économique. Adam Smith (fondateur de l'école classique) retenait, dans la Richesse des Nations, trois facteurs de production : le capital, le travail, et la terre.

• le capital physique (immobilier, matériels de production, biens durables, etc.), qui s'accroît avec l'investissement et, sans investissement, décroît au fil du temps (selon un taux de dépréciation du capital)

• la force de travail des individus : leur énergie musculaire et leur endurance sous l'effort

• le capital humain, qui correspond aux connaissances accumulées par les humains et mobilisables pour travailler (apprentissage, formation d'ingénieur, expérience, etc.)

• on parle aussi de capital social, et de capital culturel, comme variables explicatives de l'amélioration de la productivité ne résultant pas des autres facteurs

• Le facteur « terre et sous-sol » (d'ailleurs de plus en plus aménagé par la main de l'homme) fait partie du capital [réf. nécessaire] :

• soit comme une composante d'un facteur naturel plus large, les ressources naturelles incluant la biodiversité (la notion de capital naturel posant des questions sur le type de durabilité),

• soit comme la composante foncière du capital (propriété foncière).

Pour simplifier, les quatre principaux

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