Cas Festyvet

Dossier FESTYVET

La société Festyvet a été lancée en 2003 à Nice et compte aujourd’hui 143 boutiques en Europe, dont la moitié en France, où elle se classe quatrième de la mode pour enfants avec 11 millions d’articles vendus par an. Jean-Marc Barbier le PDG, l’entreprise a un chiffre d’affaires de 115 millions d’euros.

Question 1)

Selon Peter Drucker, « il n’y a pas de caractère d’entrepreneur, mais il faut du caractère pour l’être ».

Jean Marc Barbier présentes plusieurs qualités nécessaires pour devenir entrepreneur et créer une entreprise.

 Il a fait ses preuves comme manager auprès d’un « grand » du secteur du prêt à porter et a très rapidement atteint un poste à responsabilité. On retrouve donc ici l’esprit volontaire, le dynamisme.

 Par la suite il quitte son travail a responsabilité dans le but de créer sa propre entreprise, il a donc la capacité à prendre des risques et à innover.

 Il à l’aptitude à travailler en équipe, c’est un homme de dialogue qui accepte la critique.

 Grace à son passage chez le « grand » du prêt à porter lui a été très profitable, il a su tirer parti de son expérience et a ainsi bien préparer le terrain avant de se lancer dans son activité. Il a la volonté de connaitre le marché convoité.

Question 2)

La finalité selon Peter Drucker : il montre que les principaux objectifs de l’entreprise se trouvent à l’extérieur de celle-ci, dans leur propre environnement, puisqu’il s’agit de satisfaire un consommateur de plus en plus vigilant. Selon lui, le client est le seul à donner du travail à l’entreprise. « A l’intérieur d’une organisation, il n’existe que des centres de cout. Le seul centre de profit est un client dont le chèque n’est pas sans provision ». La recherche du profit n’est donc pas une fin en soi. L’entreprise doit créer, maintenir et développer une clientèle.

La finalité selon Festyvet : Jean Marc Barbier, par sa fonction, sa culture a opté pour une démarche essentiellement tournée vers le marketing se retrouve dans les étapes de la création de l’entreprise. Jean Marc Barbier n’a pas hésité à investir massivement dans une étude approfondie du marché, il s’entoure de collaborateurs qui partagent sa vision de l’entreprise. Après le démarrage de l’activité, il continue de centrer ses efforts sur la clientèle. La devise de l’entreprise est « le client, encore le client, toujours le client ».

Question 4)

Jean Marc Barbier a surtout utilisé des techniques de marketing pour développer son affaire en s’appropriant les idées de Peter Drucker « Les entreprises sont payées pour créer des richesses, et non pour contrôler les couts ». Il a pris beaucoup de risque. Dans un premier temps, le succès est au rendez-vous, mais en 2010, la situation financière de l’entreprise se dégrade. Le dirigeant a manqué de rigueur budgétaire et sa gestion est essentiellement guidée par son instinct. Le responsable financier est donc contraint d’attirer l’attention du dirigeant sur la nécessité

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