Le marché du blé, fonctionnement et incidence.

Le marché du blé

Le blé est un aliment principal dans l’alimentation de l’homme , au cours des cinquante dernières années, la production mondiale à fortement progresser et la consommation augmente. En effet , cette dernière devrait encore s’accroître dans les années à venir pour atteindre 1000 millions de tonnes de blé en 2020 selon le FAO. Mais cette forte demande ne favorise pas une des plus grande stabilité des prix , on remarque une forte volatilité des prix çe qui n’est pas sans conséquences.

I-Le fonctionnement du marché du blé

Le blé est la deuxième céréale par l’importance de la récolte mondiale( une production qui a presque triplé en l’espace de 44ans passant de 222 millions de tonnes en 1961 à plus de 626 millions de tonnes en 2005 ) , deux tiers de cette production est représenté par l’union européenne , la Chine, l’Inde , les États Unis et la Russie, malgré une rareté des produits agricoles : intrants rare comme l’eau et l’énergie et aussi la rareté des terre cultivable à cause de l’urbanisation, le désertification , de la dégradation des sols ect.. Malgré sa le blé reste le deuxième céréale consommer au monde ( consommation multiplie par 4 depuis 1946 – 150 millions de tonne consommer en 1946 contre plus de 600 millions en 2005 ) ce qui engendre une forte volatilité des prix qui est de plus de 80€/tonne entre 2009 et 2010et une petite baise de moins de 25€/tonne entre 2010 et 2011 . Cette extrême variabilité des prix suscite une grande inquiétude, parce que le blé reste un produit de « base » et cela nuit à la sécurité alimentaire . Mais pourquoi ? Quelque facteurs, la croissance démographique ainsi que la migration dès population des campagnes vers les villes où le blé est d’avantages consommé, l’augmentation des revenus et du niveau de vie est souvent la conséquence d’une augmentation de la consommation de blé.

II - Incidence de l’évolution des prix sur les agents économiques

Bien sûr l’évolution des prix sur le marché du blé à des conséquences sur les agents économiques. Face à une incertitude élevé de la part des producteurs + une volatilité des prix , il y a un risque de baisse des investissements dans le secteur agricole. En France on annonce hausse de l’ordre de 5% du prix du pain , ce qui ne devrait pas grever le pouvoir d’achat des français , mais on ce rend compte que la demande baisse donc l’élasticité du pain est faible , donc on s’aperçoit que ce n’est pas un produit de première nécessité et c’est pareil pour le blé. les gouvernements se sont toujours préoccupé d’assurer les revenus les plus élevés possibles pour leurs agriculteurs et les prix les plus bas pour les ménages, ce qui n’est pas le cas ici vue que les prix augmentent. Les prix des différents produits sont liés à une substitution possible de la consommation ou de la production , d’où les effets de transfert des variations des prix d’un produit à un autre ( ex : prix élevé du maïs , pousseront les producteurs à produire d’avantage de maïs , au détriment d’autre produits , ce qui réduit l’offre et augmente les prix et donc qui fait diminuer la demande ) . Les producteurs joues un risque permanent , parce quand on produit, il y a un risque sur la quantité

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