La monstruosité au théatre dans phèdre, rhinocéros et Médée

Enzo Martin                                                                                                2nd5

                                        Dissertation

        Jean Racine est un Dramaturge (auteur de pièces de théâtre) et un poète français, né le 22 décembre 1639 à La Ferté Milon et mort le 21 avril 1699 à Paris. Il a écrit beaucoup de Tragédies, ce qui lui a permis d’être aussi connu du public. Nous allons parler de la Monstruosité au théâtre dans Phèdre, Rhinocéros et Médée.  Dans rhinocéros, une pièce écrite par Ionesco, le Monstre est la « Rhinocérite », une maladie qui transforme la population en Rhinocéros. Médée est une pièce écrite par Corneille ou le monstre est Médée une personne qui veux tuer ses enfants pour venger son mari. Phèdre est une pièce écrite par Racine ou le monstre est Phèdre qui veux tuer Hippolyte car il a refusé d’aimer Phèdre . La citation, « Je me livre en aveugle au transport qui m’entraîne » fait référence a quelqu’un qui se confie ,se rend sans savoir et sans voir ce qu’il fait. Cette citation laisse pensez a une obligation, ce qui montre que Oreste n’a vu ce qu’il faisait en tuant Pyrrhus . Dans quelles mesurent peut on voir la monstruosité au théâtre? Dans un premier temps nous allons parler de la monstruosité de certain personnage au théâtre  . Pour finir, nous traiterons  de l’amour et de la passion qui sont souvent création de doute et de monstruosité.

        Dans Médée, Médée apprend que sont mari la quitte pour une autre femme. On remarque dans son monologue que Médée veut se venger de son mari en tuant ses enfants. Dans son monologue Médée utilise des mots du champs lexical de la haine et de la vengeance : « vengeance », « venger », « rage ». On peut voir dans tout son monologue que la monstruosité prend le dessus, c’est comme si Médée était posséder. Médée dit aussi « Nature,je le puis sans violer ta loi » qui signifie qu’elle veut violer la loi de la nature humaine et ce rapporte donc a la monstruosité. On remarque aussi de la folie monstrueuse a la fin du monologue, moment fatidique ou elle a fait le choix de tuer ses enfants et ou elle emploie des mots du champs lexical de la perte avec : « je vous perd », « Jason vous perdra » et « il ne vous verra plus » . Médée est donc un personnage qui représente la monstruosité lié a l’amour qu’elle avait pour son mari et qui c’est envolé et qui l’a fait souffrir au point de vouloir tuer ses enfants .                               Dans Phèdre, on voit Phèdre qui avoue être un monstre car elle avoue a sa confidente qu’elle aime Hippolyte, ce qui est un crime ; Oenone va même utiliser une anaphore pour montrer sa stupéfaction avec : « o désespoir ! O crime ! O déplorable race ! ». Après, Phèdre avoue son amour a Hippolyte  qui  rejette les paroles de Phèdre. Phèdre va mème utiliser le champ lexical de l’horreur : « fureur » « poison » « sang » « haine » « cruelle » « frapper ». Pour finir, elle avoue avoir condamné Hippolyte a la mort, ce qui est un acte monstrueux. Médée utilise aussi le champ lexical de la monstruosité dans son monologue avec : « fureur », « flamme funeste », « horreur ».                                              Dans Rhinocéros, le monstre est la maladie car elle transforme les habitants du village en Rhinocéros et donc en monstre . On remarque que lors de la transformation de Jean, Jean souhaite remplacer la loi de la morale par la loi de la nature donc par les animaux et donc la monstruosité : « Si je comprends bien, vous voulez remplacer la loi de la morale par la loi de la jungle ! ». Il y a donc un effet de ressemblance avec Médée qui elle veux violer la loi de la nature humaine. Au moment de l’apparition du premier rhinocéros, Ionesco a voulu jouer sur la stupéfaction de la part de Jean et de la Serveuse avec la répétition de phrase entre les deux personnages : « mais qu’est ce que c’est ? » et « Oh ! Un rhinocéros ! ».

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