Google, machine à penser
Étude de cas : Google, machine à penser. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zozo4426 • 2 Mars 2016 • Étude de cas • 698 Mots (3 Pages) • 1 276 Vues
« Google, machine à penser » de G. Cayette
La culture d’entreprise désigne l’ensemble des valeurs partagées et véhiculées au sein de celle-ci. Google entreprise fondée en 1998 par deux jeunes entrepreneurs, véhicule et partage des valeurs qui lui sont bien particulières. En effet, on peut constater que chez Google, les employés ont tendance à être ouverts d’esprit, et le partage est une valeur d’autant plus sollicité, incitant donc les collaborateurs à communiquer, partager, échanger. D’ailleurs on remarque que les locaux ont été conçus pour favoriser ces échanges, ce qui constitue une véritable identité propre à Google.
La finalité d’une entreprise est sa raison d’être. Pour Google, sa principale finalité est avant tout économique, puisqu’elle vise à faire du profit et croître à travers le monde dans le but d’assurer sa pérennité. Cependant elle tend également à être sociale puisqu’elle accorde une grande importance l’épanouissement personnel de ses employés.
Concernant l’innovation chez Google, l’entreprise a mis en place un mécanisme basé sur l’organisation du temps de travail des ingénieurs et des développeurs en deux parties ; 80% de leur temps de travail est consacré à la mission qui leur a été confiée, mais 20% de leur temps de travail est entièrement réservé à des recherches personnelles, ce qui leur permet d’avoir un temps sur lequel ils sont libres de proposer de nouveaux concepts, ou idées. Ainsi, l’entreprise est plus attractive pour les jeunes ingénieurs diplômés.
A l’interne, l’entreprise est organisé de manière très simple, ils ont inventés une structure où les informations circulent librement les employés travaillent dans de grands espaces, ensemble. L’entreprise veille à autonomiser ses collaborateurs. Il n’y a pas de contrôle au sein de l’entreprise, chacun planifie son temps comme il le souhaite, ce qui lui laisse une certaine liberté, et il n’y a pas de supérieur qui vérifie que le travail est fait en temps et en heure. De ce fait, les salariés sont plus motivés, donc plus efficaces. En revanche, lorsqu’une nouvelle recrue entre chez Google, on l’associera à une personne appelé « pote », cette personne est là pour la guider dans un premier temps, mais sera de plus toujours présente pour l’aider, la conseiller.
La politique de rémunération chez Google a aussi ses particularités, en effet Google a inventé un système de prime accordé non pas par le supérieur hiérarchique, mais par l’opinion de ses collègues. Et ce basé sur des critères quelque peu originaux, car « plus on est sympas, disponible et efficace plus on gagne ».
Le modèle économique est le plan mis en œuvre par une entreprise pour générer des revenus et tirer un bénéfice de ses opérations. Celui de Google s’appuie essentiellement sur la publicité. Elle représente environ 97% de son chiffre d’affaires. Le moteur de recherche de Google est au cœur du système publicitaire mis en place par la société. Les recherches de l’utilisateur sont « analysées » et les publicités auxquelles il se trouve exposé, sont donc ciblées. Les entreprises privées qui souhaite réaliser de la publicité chez Google peuvent maintenant « acheter » un mot clé leurs assurant que l’internaute qui consulte l’annonce publicitaire est intéressé par le domaine dans lequel la société exerce son commerce.
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