Culture Générale Bts 1ère année - devoir 4
Commentaire de texte : Culture Générale Bts 1ère année - devoir 4. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ninoupet • 6 Novembre 2015 • Commentaire de texte • 2 178 Mots (9 Pages) • 1 933 Vues
1.Préparation de la synthèse de documents
1.1 Le document 1 est un article écrit par Alexandre D. . Cet article a été mis en ligne dans un blog concernant l’identité alimentaire en 2009. Il est de type argumentatif. Dans cet écrit, l’auteur, en prenant l’exemple de la Belgique, nous montre que l’identité alimentaire d’un pays démarre par une idée qui va se développer par la suite.
Alexandre D. démontre en premier que l’identité alimentaire d’un pays est d’abord une élaboration très étudiée dans laquelle plusieurs personnes émettent leurs idées.
Au préalable, un pays qui veut se donner une identité alimentaire doit se référer à d’autres cultures pour pouvoir après se différencier.
Cette solution n’est pas toujours facile car l’alimentation locale est réelle mais il ne faut pas oublier que celle-ci peut se retrouver dans d’autres pays. Afin de pouvoir se démarquer, il faut premièrement changer l’appellation de la recette en y ajoutant par exemple « de Bruxelles » dans le cas de la Belgique ou deuxièmement toujours dans le cas de la Belgique, modifier une recette en enlevant un ingrédient et en le remplaçant par un ingrédient typique du pays. Comme par exemple, le boeuf bourguignon qui est un plat français à base de vin et qui devient une carbonnade flamande si on remplace le vin par de la bière.
L’identité alimentaire se construit par l’intermédiaire de quatre personnes.
Les restaurateurs, les consommateurs, les écrivains qui polémiquent sur la cuisine et les commerciaux.
En deuxième position, il faut que l’identité alimentaire perdure dans le temps. Pour cela, les personnes étrangères au pays concerné sont ceux qui donneront une importance à l’identité alimentaire du pays.
1.2 Le document 2 est un extrait d’un rapport d’information sénatorial publié en juillet 2008 par Catherine Dumas. Il est de type argumentatif. Cet extrait relate le discours qui s’est tenu au Sénat pour le projet d’inscription de la cuisine française au patrimoine français.
En premier plan, Catherine Dumas nous explique l’importance de notre identité alimentaire.
La force de celle-ci est marquée par la multitude de produits existants en France grâce à notre situation géographique. Cependant, Catherine Dumas explique aussi que toutes ces multitudes de produits sont aussi fondées par le savoir faire des hommes qui contribuent par leur travail à nous apporter une richesse des produits. Sans oublier, le rôle des autorités françaises qui protègent nos produits par des règlementations comme le Label AOC et le Label « patrimoine rural ». En France, nos produits se réfèrent toujours à une région comme par exemple « le poulet basquaise ».
En second plan, l’auteur nous démontre combien notre cuisine a un effet positif et enrichissant pour notre pays. Elle explique aussi que la cuisine française est une référence mondiale. De nombreux chefs étrangers viennent en France afin de se former et de s’enrichir de notre cuisine. Nos chefs cuisiniers français sont eux aussi très demandés dans les autres pays. Cette importance culinaire mondiale enrichit notre patrimoine. Cette ferveur de la cuisine française est aussi un atout économique très important. Les touristes viennent dans notre pays pour notre identité historique mais aussi pour notre cuisine. ( comme elle cite l’exemple du président de la Maison Androuët qui est référencée dans les guides touristiques pour ses fromageries qui a une importance telle qu’elle peut-être comparée à la visite de la Tour Eiffel.) On peut aussi dire que notre identité culinaire a une forte influence du point de vue de notre économie. C’est un secteur qui crée de l’emploi et qui génère de très gros chiffres d’affaires.
1.3 Le document 3 est une chronique écrite par Eve Mongin et publié sur le blog appartenant au journal « Libération » en février 2009. Cet écrit est argumentatif. Eve Mongin nous démontre dans cet écrit quelques références culinaires propres aux italiens dans leur conception de leur identité alimentaire et celle des autres pays.
Tout d’abord, l’auteur nous relate les résultats d’un sondage banal sur les relations de voisinage en Italie mais qui en fait est basé sur des querelles se basant sur les odeurs de cuisine qui ne sont pas italiennes et qui sont étrangères à l’Europe. Ensuite, Eve Mongin nous explique que les italiens pensent que leur identité alimentaire est plus importante que les autres pays. L’auteur note la différence entre les italiens et les français. Les italiens ne cherchent pas à connaître et s’imprègner des autres cultures pour la cuisine étrangère. Cette indifférence est due au fait que l’Italie n’a pas réussit à fonder un empire colonial et de ce fait ne peut se nouer de contacts avec d’autres cultures.
Eve Mongin nous explique aussi l’exemple du maire de la ville de Lucca en Toscane qui a interdit que des restaurants venant d’autres cultures que l’Italie s’installent dans sa ville. Cette interdiction a value de nombreuses réactions au sein de la presse. L’auteur nous démontre que cette interdiction n’est pas fondée et elle prend comme exemple la Sicile qui met en avant le plat de couscous comme un plat typique alors qu’il n’est autre qu’issu de l’occupation arabe de cette région de la Sicile.
1.4 Le document 4 représente des images et est composé de deux aquarelles dessinées par Yves Lasserre en mai 2010 et nommées Terroirs en périls. Ces aquarelles sont illustrées de façon humoristique pour démontrer la difficulté de la cohabitation culinaire française avec d’autres cultures culinaires.
Dans ces deux aquarelles, Yves Lasserre représente une valeur française sûre : la vache Charolaise qui est un produit régional et aussi un homme représentant ce qui pourrait qualifier l’emblême française : le bérêt. Celui-ci est arboré du blason AOC et aux couleurs de la France. Ces deux produits sont ici représentés comme étant des produits du terroir français.
Ces deux personnages principaux sont mis en présence avec des produits venus de l’étranger. La vache charolaise est confrontée à une vache asiatique de couleur jaune, aux yeux bridés et portant un chapeau chinois orné d’un drapeau du pays et coiffée de deux nattes. Le représentant au bérêt est lui confronté à un sandwich d’une taille énorme nommé « hamburger » qui coule et qui est orné d’un fanion où est écrit « Burger Land » qui démontre sa provenance
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