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LIN3003

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Par   •  5 Mars 2018  •  Dissertation  •  1 627 Mots (7 Pages)  •  1 321 Vues

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1. (Semaine 2) Le texte 2 commence en affirmant que « nous admettons encore largement la conception classique selon laquelle le langage signifie la pensée ». Pouvez-vous démontrer à l’aide de deux exemples convaincants comment se manifeste cette croyance dans le quotidien? (3 points)

En effet, la vision des gens peut changer selon le langage. (différence entre le russe et le français, l’anglais et le chinois, etc.) Le langage influence la pensée et influence la mémoire. Ce que nous pensons dans notre tête (pensée) nous l’exprimons dans notre langue propre. L’un va avec l’autre. La pensée et le langage sont différenciés par leurs propriétés. En fait, la pensée et le langage sont internes à chaque individu et arbitraires selon l’éducation, les coutumes, etc. Dans le temps, lorsque nous étions des primates et que la communication n’était pas aussi élaborer nous réussissions à ce comprendre soit par les signes ou par l’intonation de notre voix, nous pouvions communiquer.

Par les faux amis, en autres, les francophones et les mandarins pensent différemment ou même comparativement à des Russes. Certains mots ont une autre signification dans différents langages. Exemple : si un Français parle de c’est gosses, il parle d’un jeune enfant garçon ou fille. Comparativement à un québécois, le terme gosse signifie une région de l’anatomie masculine qui signifie les testicules. L’exemple est spécial, mais l’exemple démontre bien un aussi grand écart entre deux mots qui n’ont pas du tout la même signification d’un peuple à l’autre.

Pour les Québécois, nous avons plusieurs noms pour exprimer les couleurs, certains peuples comme le sango une langue de Oubangui ont un mot pour signifier une panoplie de couleurs. Par exemple, le sango peut, dire «vuko» qui signifie pour nous le violet, l’indigo, le bleu, le noir, le gris et le marron foncé, mais pour eux ce seul mot englobe toutes ces couleurs. Par contre, nous pouvons remarquer que les femmes font la distinction entre les variations de couleur et pourrons coordonnée les couleurs qui peuvent aller ensemble même s’il y a un mot pour toutes c’est couleurs.

2. (Semaine 2) Tout comme Chomsky, Auroux a réfléchi à la nature du langage et à son rapport avec la grammaire. Après avoir visionné l’entrevue, et en vous appuyant sur des lectures personnelles pour aller au-delà de la matière fournie dans le cours, remplissez le tableau ci- dessous. Associez chacun des deux énoncés proposés, portant sur la grammaire, au chercheur approprié. (3 points)

Chomsky Auroux

Emplacement dans l’esprit. Elle est...

• Interne à l’individu

• Externe à l’individu

Externe à l’individu

Interne à l’individu

Origine. Elle est...

• créée par l’homme

• innée chez l’homme

Innée chez l’homme

Créée par l’homme

Utilité.

Elle sert d’outil pour…

• réfléchir sur le langage

• développer la langue maternelle

Développer la langue maternelle

Réfléchir sur le langage

3. (Semaine 3) D’après le texte, pourquoi dit-on qu’un enfant qui apprend à parler vit la même situation qu’un anthropologue? Que veut dire cela? (3 points)

L'anthropologue qui est face à un nouveau langage qui ne connaît pas et un enfant à certaines ressemblances. Ils se questionnent sur les mots et leur signification.

Par exemple, pour l'enfant nous voulons lui faire comprendre de manger donc nous allons faire le mouvement de manger afin qu'il associe le mot à l'action de manger. Lorsque l’enfant commence à parler, il débute par des sons et tente de s’exprimer.

C'est un peu le même processus lorsqu'un anthropologue essaie d'apprendre une langue, par contre, il associe l'action au mot qu'il connaît déjà. Par exemple, il faut qu'il tente de comprendre exemple le mot «eat» (ça signification) est-ce que cela veut dire manger ou le nom propre de l'aliment ou dîner, etc.

L’enfant apprend par les actions et les signes et fait des liens très tôt dans son développement. Selon Quine, il affirme que l'enfant qui apprend à parler et l'anthropologue qui essaie de comprendre une autre langue est une approche inductive de l'acquisition des concepts ne peut pas fonctionner.

Par contre, nous avons tous remarqué que les enfants si nous leurs montrons une vache à chaque fois qu'ils vont en voir une diront vache. Par contre, au fil du temps leur acquisition linguistique se peaufinera leurs intuitions prendra de plus en plus de place.

Dans l'exemple que mes deux chiens sont brun, nous ne pouvons en venir à la conclusion que tous les chiens sont bruns, mais seulement mes deux chiens à moi. Donc, nous devons être inductifs et non déductifs. Comme dans la langue anglaise plusieurs mots s'écrivent pareil, mais selon le contexte de la phrase elle n'a pas la même signification (sens multiples). L'anthropologue étudie l'être humain et des groupes humains le qui, quand, quoi, et comment tandis que l'enfant étudie le langage dans son apprentissage et viens à se poser les mêmes questions qui, quand, quoi et comment. De plus, l’enfant tente de comprendre les variantes et la signification des mots dans l'espace-temps tout comme les questions que peut se poser l’anthropologue.

4. (Semaine 3) Selon Pacherie, il existe des cas où il n’est pas clair qu’un objet appartient ou non à une catégorie. Donnez deux exemples qui appuient cette affirmation. (3 points)

Dans cette phrase, Pacherie résume bien cette théorie «on décide de ranger un objet dans une catégorie en fonction de son degré de similitude avec le prototype.» Exemple: Si nous prenons le mot l’objet trombone, il sert à attacher nos feuilles ensembles, il

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