Utiliser les écrivains de la littérature française pour valider leurs thèses et les transmettre au lecteur

Au cour de l’histoire, un grand nombre d’écrivain ont su usé de la littérature française pour y affirmer leurs thèses et les transmettre au lecteur, tel que Voltaire dans Candide, ou De l'esprit des lois de Montesquieu. Notons, qu’une argumentation est un discoure visant à obtenir l’adhésion du lecteur à son point de vue défendue. Lors de la publication de leurs œuvre, beaucoup eurent recoure à l’argumentation direct, étant explicite et nécessitant peu de réflexion de la part du lecteur.Toute fois cette constatation, nous amène à nous demander si les notions morales ou abstraites défendues par le biais de l’argumentation directe, permettent t’elle d’obtenir pleinement l’adhésion du lecteur, ou faut il usé de l’argumentation indirect ?

Dans un premier temps nous analyserons l’argumentation directe, puis dans un second temps nous étudierons l’argumentation indirecte. Pour clôturer cela, notre dernière partie portera sur la complémentarité de l’argumentation directe et indirecte. Dans le but de défendre ses idées, l’écrivain peut se tourner vers l’argumentation directe, qui expose clairement thèse et arguments.

Afin de mettre en œuvre cette voie d’argumentation, un genre littéraire se démarque comme étant le plus adapté, l’essai. On peut qualifier d’essai tout ouvrage personnel argumenté dans lequel l‘auteur exprime ses idées ou défend un point de vue sur un sujet, sans prétendre épuiser celui ci. En général, l’auteur traite celui-ci sans prétendre arriver à des conclusions définitives.

Etant par définition un genre littéraire large, l’essai peut se présenter de manières protéiformes. Ainsi, les Réflexions ou sentences et maximes morales de La Rochefoucauld ont tout autant leur place en temps qu’essai que les Pensées de Pascal.

Cependant, tout genre littéraire peut laisser place à l’argumentation directe sous forme d’un dialogue ou monologue délibératif. Prenons l’exemple de Zola qui, dans sa lettre ouverte J’accuse expose clairement son opinion concernant l’affaire Dreyfus grâce à un monologue délibératif, ou encore Mme de la Fayette, qui dans son roman La Princesse de Clèves, adopte l’argumentation directe à travers le dialogue entre Mr de Nemours et Mme de Clèves.

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