Petit Pays de Gaël Faye
Analyse sectorielle : Petit Pays de Gaël Faye. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar XAavaaa • 8 Janvier 2022 • Analyse sectorielle • 909 Mots (4 Pages) • 938 Vues
Lecture sur le texte Petit Pays de Gaël Faye :
Question 1 :
a) Quand Gabriel fût dans la maison il a tout de suite été « attiré » par la bibliothèque « mon regard a tout de suite été attiré par la bibliothèque » ligne 4. Il explique qu’il n’avait jamais vu autant de livres dans un seul lieu, on comprend directement qu’il s’intéresse à cette bibliothèque si « impressionnante ». Il était émerveillé par tous ces livres qu’il voulait découvrir. Directement il s’interrogea et posa plusieurs questions à Mme Economopoulos. Puis directement il prit en main les livres, il s’exprime cette sensation comme si c’était divin, il emploi même le terme « caresser » comme si c’était un animal, ce qui prouve encore une fois son émerveillement « Mes doigts couraient sur les rayonnages, caressaient les couvertures, leur texture si différente les unes des autres ». Ce qui prouve une fois de plus l’émerveillement pour cette bibliothèque. Donc on peut s’appuyer sur ces deux éléments de ce texte : « mon regard a tout de suite été attiré par la bibliothèque... » et « mes doigts courait sur les rayonnages, caressaient les couvertures ... »
b) Quand Gabriel emprunte des livres à Mme Economopoulos et vit pleinement ses lectures, il le montre en se mettant à la place des personnages comme le premier livre qu’il a lu était l’histoire d’un vieux pêcheur et il expliquait que son lit était comme un bateau puis il s’emportait dans ses imaginations en lisant ses livres. Son imagination prenait le dessus, il vivait le moment comme si c’était lui le pêcheur. Il se compare même au personnage, ligne 31, 32 « j’avais l’impression que c’était moi dont il était question, que j’aurais pu écrire ces lignes ». En une seule soirée il lut un livre complet, ce qui prouve une fois de plus son réel plaisir. Puis le soir d’après il en emprunta un nouveau, il entendait même des, son imagination débordée « j’entendais le bruit des fers qui se croisent, le galop des chevaux, le froissement des capes de chevalier, le froufrou de la robe en dentelle d’une princesse ». Par la suite il lut un autre live, une sorte de journal intime, puis en lisant il trouvait sa place il se retrouvait en cette personne. Il était dépendant de cette lecture, il s’évadait avec cette lecture, il avait créé son monde à lui et rien ne pouvait le faire sortir de son nouveau monde. Ce qui prouve qu’il vivait pleinement la lecture.
Question 2 :
On voit dès le début que la maison de Mme Economopoulos a fait naître le goût de la lecture a Gabriel grâce à son immense bibliothèque, avec ses livres énormément passionnant pour Gabriel. Tout commença en impressionnant Gabriel avec cette bibliothèque « qui couvrait entièrement un des murs de la pièce », après sa curiosité s’installa, il s’intéresse à cette bibliothèque et commença à poser des questions à Mme Economopoulos comme « Vous avez lu tous ces livres ? » ligne 6. Puis par la suite Gabriel lui demanda « Un livre peut nous changer ? » et Mme Economopoulos s’exprima avec passion, compara même un livre comme un « coup de foudre » ligne 11 comme si on pouvait aimer un livre comme on aime une personne. A partir de ce moment Gabriel s’intéressa davantage. Puis il toucha les livres et là sa curiosité se multiplia, puis le soir en lisant l’histoire du vieux pêcheur, c’est là où commença son goût pour la lecture et plus il lisait, plus aimait. De la ligne 33 à 37, Gabriel explique qu’il aimait bien raconter l’histoire du livre qu’il avait lu a Mdme Ecnomopoulos, et donc elle adorer lui en prêter d’autre car cela lui faisait plaisir. Il aimait lui rendre visite et lui raconter son ressenti sur les livres et tous les questionnements qu’il pouvait ressentir. Il découvrait un autre monde dans tous les livres, et de lui-même il s’en créa un… il ne pouvait plus s’en passer. Il explique aussi ligne 48 à 50, qu’il se découvrait lui-même, il identifiait ses goûts, ses envies, sa manière de voir et de ressentir l’univers. Grâce aux livres et a Mdme Economopoulos, il a pu grandir et mûrir davantage en prenant confiance en lui car elle n’avait aucune méchanceté et était très compréhensive, elle savait l’écouter et le rassurer.
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