Le dormeur du val, Arthur Rimbaud

Le dormeur du val

 Lorsqu’il publie le second Cahier de Douai en 1870, d’Arthur Rimbaud est le chef du symbolisme (une réaction au naturalisme.) qui a 16 ans à l'époque a était inspire par une guerre pas spécifique. Mais par le rapport historique on pourrait en déduire que c’est la guerre franco-prussienne de 1870, et plus particulièrement la bataille de Sedan . En plus on pourrait dire que ce poème a un rapport avec un autre poème écrit par Arthur « Le mal ».

« Le dormeur du val », publie dans ce cahier, relève bien esthétique encore peu innovante avec l’utilisation du sonnet, de l'alexandrin, de la rime et évoquent des thèmes typiques : la nature et la guerre. Et décrit un soldat endormi dans l’herbe mais la chute relevée que le jeune soldat est mort.  En premier on va annoncer les deux différents axes de lecture qui sont : un poème descriptif (d’un paysage merveilleux) et (une nature protectrice) et le deuxième axe fait une dénonciation transmit par des symboles (le dormeur), (le double sens des mots) et (la mort). Pour mettre en évidence la contradiction qu’il y a entre les deux axes. Et mettre en évidence la problématique qui est : Comment le poète s’y prend-t-il pour dénoncer indirectement l’horreur de la guerre ? Nous terminerons par nous intéresser à la « chute » totalement inattendue de la fin du poème, accentuée par le contraste de la lumière avec l'obscurité de la mort. 

Tout d'abord, nous pouvons remarquer que le première axe est basée sur un cadre agréable et un paysage merveilleux dans laquelle il y a une présentation, caractérise par l’énonciation de la nature en attribuent des aspects humains pour lui donner une valeur plus importante. On utilise des personnifications « la rivière chante » V.1

Qui est une métaphore ; « la montagne fière » V.3 ; « berce-le » V.11. En effet, nous pouvons noter la présence du champ lexical de la lumière « d'argent », « soleil », « luit », « rayons » aussi un champ lexical d’un sentiment de fête « chante » V.1 ; « FollementV.2 ; « Argent ». Qui fait relation avec le merveilleuse qui est ce lieu, et avec des allitération en « L » :« Haillons » V.2 ; « vals »V.4 ; « Soleil »V.3 qui montre le mouvement de l’eau qui donne de la tranquillité. Dans cette premier parti l’auteur utilise le registre merveilleux ; pour montre la nature dans une ambiance agréable, calme, tranquille et avec aucun défait. Dans le V2 et V3 avec un rejet externe met en évidence d’argent (beauté de la nature) avec un autre rejet externe dans le V.3 et V.4 qui met en évidence luit. Par contre la dénonciation dans la deuxième strophe du personnage qui semblait être malade qui est le jeune soldat. La nature est omniprésente dans le poème, Mais il est présente sur toutes ses formes .L’eau : « rivière »V.1 ; »mousse »V.4 ; « baignant »V.6, en terre : « montagne »v3 ; « val »V4, Air : « la nue »V.5 ; « les parfums »V.12, puis en feu : « soleil »V3 ; »lumières »V.8.Dans cette même axe on voit une deuxième parti qui est une nature protectrice, car il a un sprint de mère « Berce-le »V.11 ; Et il est entre de protéger le jeune soldat «Il a froid » , grâce au verbe « bercer », on voit plus clairement  que la nature c’est une femme . Aussi voir que la mère nature veut essayer traiter son jeune soldat le mieux qu’elle peut : « son lit vert » V.8 ; « dans le frais Cesson bleu » V.6.

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