Cortège, Guillaume Apollinaire

     J’ai décidé de travailler un poème nommé «Cortège» qui est tirée d’un récit qui se nomme « Alcool » de Guillaume Apollinaire qui est un écrivain précurseur du surréalisme et il l’a écrit en 1913. C’est un poème moderne et révolutionnaire pour l’époque.

Quel est l’intérêt de ce poème ?

L’intérêt de ce poème est de montrer au lecteur que Guillaume        Apollinaire se sent revivre et aussi de montrer au lecteur qu’avant de connaître les autres par cœur, il faut d’abord se connaître par cœur nous même.

     Pour commencer, Apollinaire nous mets beaucoup en avant cette idée, je pense de mort d’où le nom du poème « Cortège » qui peut faire référence à un cortège de personne après le décès d’une personne. Pour accentuer cette idée de mort l’auteur dit au vers 4 « Baisse ta deuxième paupière la terre t’éblouit » je pense qu’avec ce vers l’auteur fait une métaphore et qu’il veut dire par la que quelqu’un est mort et donc est dans une tombe dans de la terre d’où le « la terre t’éblouit » car cette personne est entouré de terre. Il y a aussi le champ lexical de la « nuit » : sombre, brume, obscurcir et ombre et tout ces mots me font penser a un cimetière par exemple et donc nous avons toujours l’idée de la mort. Ensuite, pour accentuer cette idée de mort, il y a le champs lexical de la « lumière » : brille, éblouit, lumières et illuminant, je pense que c’est peut être la lumière que l’on voir quand on meurt. Dans ce poème, il y a aussi le champs lexical de « l’oiseau » : oiseau, vol et      nidifie mais l’auteur dit aussi dans le poème

« Baisse ta deuxième paupière

Ni à cause du soleil ni à cause de la terre

Mais pour ce feu oblong dont l’intensité ira s’augmentant » et grâce à ces deux idées je pense que l’auteur fait une métaphore en voulant nous décrire le phœnix mais sans vraiment le faire et donc cela renforce l’idée de la mort et du fait de revivre car quand le phœnix meurt et      ensuite il renaît, comme Apollinaire après sa rupture avec Annie      Playden. Donc cette idée de mort prend fin avec le passage ou il « ressuscite » (v.61 a 63)

« Tous ceux qui survenaient et n’étaient pas moi-même

Amenaient un à un les morceaux de moi-même

On me bâtit peu à peu comme on élève une tour »

     Ensuite, nous pouvons constater qu’ Apollinaire connaît bien les autres « Moi qui connaît les autres » (v.23) mais il ne se connaît même pas vraiment lui même et pour appuyer cette idée l’auteur fait une     exagération car il dit qu’il serait capable de « refaire ces gens a milliers » (v.25) grâce a des pieds et des cheveux. Sa très bonne connaissance des autres l’amène a s’interroger sur ses 5 sens, car c’est grâce au sens qu’il connaît les autres donc il va énumérer par la suite les 5 sens « vue » (v.25,26) cette idée de vue est omniprésente dans le poème   ensuite il y a « l’odorat » (v.33), « le goût » (v.40), « le toucher » (v.42) et enfin « l’ouïe » (v.44). C’est donc ici que l’idée de « Cortège » devient  intéressante, cette idée se divise en deux parties :

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